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La Bible un livre pour notre époque?

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Message  Invité Dim 15 Avr 2012 - 13:06

Qui croire la science ou la Sainte Bible ?

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Nos chers savants rivalisent dans la formulation des chiffres plus au moins astronomiques indiquant l’âge de leurs trouvailles. Voulez-vous un bel exemple ? Prenons ce cas : «on nous dit que l’origine de la Terre se situe entre 4 et 5 milliards d’années » Or, entre 4 et 5 milliards d’années il y a un milliard de trop. Pourquoi ne pas faire preuve d’humilité et reconnaître les premières paroles de la Bible [size=24]«Au commencement Dieu créa »
A la lecture du premier chapitre de la Genèse, nous découvrons qu’au cours de six périodes de temps de longue durée, des milliers d’années et non des heures, la terre ferme apparut dans ce qui était d’anciennes mers.

Puis on fit la distinction entre le jour et la nuit (peut-être parce que la poussière cosmique qui entourait la terre fut enlevée). La vie végétale apparut, suivie des animaux aquatiques, ailés, terrestres et de l’homme. A bien des égards, ce récit ressemble à ce qu’on trouverait dans un ouvrage scolaire. Mais que dire de certaines périodes de temps à propos desquelles le récit biblique est en contradiction avec les théories modernes de la science ? Devons nous admettre que la Bible se trompe ? NON PAS FORCEMENT. Rappelons-nous que la science, à son degré le plus élevé, est de la connaissance en perpétuelle mutation. Des théories que l’on soutenait vigoureusement hier seront peut-être demain réduites à l’oubli. C’est pourquoi, il est très possible qu’une croyance scientifique opposée à la Bible puisse tomber en désuétude à l’avenir.
Je me souviens qui fut un temps, quand on développa l’usage du DDT, par exemple, on espérait que cette arme nouvelle résoudrait à jamais le problème posé par les insectes nuisibles. Elle permettrait de protéger les plantes et de tenir en échec les insectes porteurs d’épidémies comme la malaria. Cependant, un journal allemand a dit que cette «bénédiction pour l’humanité,(…)une réalisation dépassant tous les espoirs de la chimie, est devenue plus tard une bénédiction plutôt contestable(…). La percée victorieuse du DDT en Allemagne a pris fin». Et pas seulement en Allemagne, mais aussi dans beaucoup d’autres pays où son emploi a été proscrit. La science n’avait pas prévu les effets négatifs que ce produit aurait sur les autres formes de vie, y compris l’homme. L’agriculture contemporaine mondiale produit suffisamment pour nourrir les 7 milliards d’habitants ! Cependant, une grande partie de la population mondiale souffre encore de la faim. L’importance quantitative de cette production n’a pas été obtenue sans grands investissements, de grands efforts et de fortes atteintes au milieu naturel. Ici et là, l’agriculture dite biologique s’efforce de minimiser ces dernières
par une utilisation restreinte des produits de l’industrie chimique : engrais, insecticides, pesticides ou adjuvants divers. Des résultats ponctuels sont obtenus, mais la possibilité de leur généralisation reste incertaine. L’incertitude majeure concerne cependant les mesures à prendre pour qu’une nouvelle révolution verte permette de nourrir, dans quelques décennies, une population mondiale doublée.
La où la science moderne échoue, la Sainte Bible nous affirme que Sous le Royaume de Dieu, il y aura aussi abondance de nourriture pour satisfaire la faim physique de l’humanité tout entière.
«Il y aura abondance de grain sur la terre; sur le sommet des montagnes, ce sera la profusion.
Son fruit sera comme au Liban, et ceux qui sont de la ville fleuriront comme la végétation de la terre
» Psaume 72 :16
Souvenons-nous d’Alfred Nobel, qui donna son nom au fameux prix. C’était un homme de paix, et pourtant il inventa la dynamite. Pourquoi ? Il écrivit à un ami : «J’aimerais inventer une substance ou une machine qui aurait une force de destruction de masse si terrible que la guerre en serait rendue impossible à tout jamais. » Depuis la morte d’Alfred Nobel, deux guerres mondiales ont apporté la preuve que son invention n’a pas eu les résultats qu’il escomptait. C’est triste à dire, mais la science, qui a apporté tant d’amélioration dans la vie de millions de personnes, a aussi fourni à l’homme les moyens de s’autodétruire. Que penser de tel chercheur, qui dans son laboratoire, nuit et jour travaille à la mise au point d’un vaccin capable de sauver des vies humaines ? On le louerait comme un bienfaiteur pour l’humanité. Or, son ami, lui-même chercheur, qui dans un laboratoire proche du sien, nuit et jour travaille sur le même projet, mais cette foi-ci, pour en faire une arme biologique de destruction ? Comment définirions-nous un tel scientifique ? A chacun d’entre nous de trouver l’appellation. Ah ! Si les scientifiques pouvaient prédire l’avenir ! Mais voilà cela leur est impossible, bien sûr, par contre la Bible le peut.
Qu’on fait les Églises assaillies et passées au crible de la science et de la philosophie ? Loin de prendre position en faveur des enseignements de la Bible, elles ont succombé aux pressions, elles ont fait des compromis sur des articles de foi aussi fondamentaux que la création et l’authenticité de la Bible.
QUELLES EN ONT ÉTÉ LES CONSÉQUENCE
CE ?
Depuis le concile Vatican II, on remarque deux tendances distinctes au sein de l’Eglise de Rome. Dans presque tous les pays qui comptent un nombre considérable de catholiques, le clergé est divisé en deux catégories : les modernistes ou libéraux et les intégristes ou conservateurs.
Les libéraux, en général les jeunes prêtres, expriment ouvertement leur désir de voir introduire des réformes qui rapprocheraient l’Eglise du monde moderne.
Ce genre d’ecclésiastique n’est pas un phénomène nouveau, mais jusqu’ici on en a rarement vu un si grand nombre qui soient aussi fermes et aussi résolus à parler, franchement. Il est vrai que Vatican II a autorisé certaines réformes, mais l’élément libéral de l’Eglise pense qu’elles sont insuffisantes, et de plus qu’elles ne sont pas toujours mises en œuvre.
Les conservateurs comptent pour la plupart des ecclésiastiques plus âgés, ceux qui détiennent, en grande partie, l’autorité et le pouvoir, (la curie) en un mot les pourprés, les monseigneurs, à leurs avis, l’Eglise n’a pas besoin de réformes radicales. Ils disent qu’il vaut mieux que tout continue comme pour le passé. Au vu de ces choses, la crédibilité des Eglises de la chrétienté a baissé peu à peu, et la foi de nombreuses personnes a été ébranlée. En ne se défendant pas, les Eglises ont laissé la porte grande ouverte aux masses qui n’avaient plus qu’à les quitter. Bien des gens en sont venus à regarder la religion comme une simple relique sociologique, tout juste bonne à marquer les grands moments de la vie : la naissance, le mariage et la mort. En somme, beaucoup ont abandonné la recherche du vrai Dieu. Les propos suivants parus dans un livre catholique révèlent que de nombreux catholiques sont troublés par l’attitude du clergé à l’égard de la Bible : « Les esclaves qui travaillaient dans les mines de plomb romaines en Sardaigne portaient des anneaux de fer aux deux chevilles. Ces anneaux étaient reliés entre eux par une chaîne d'une vingtaine de centimètres, qui les entravait et rendait leur marche difficile Depuis le Moyen Age, il y a un incessant conflit entre ceux qui veulent "enchaîner" la Bible et ceux qui veulent la "libérer" complètement, afin qu'elle puisse avoir une pleine efficacité dans la vie des hommes. L'Eglise Catholique a longtemps enchaîné la Bible en ne diffusant que sa traduction en latin, et en refusant qu'elle soit traduite dans les langues courantes, ce qui aurait permis que tout le monde la comprenne. » Malachi Martin, "Le Déclin et la chute de l'Eglise romaine" (New York: GP Putnam Sons, 1981), page 26.



A SUIVRE.....Si les Eglises ont failli devons nous les suivre ?


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Message  wiidy Dim 15 Avr 2012 - 16:26

moi je dirai la bible elle a donné tellement de précision sur les fait de science ^^ comme pour la terre elle même La Bible un livre pour notre époque? - Page 4 983845 merci Caleb pour cette article sa merapelle un peu mon etude passé avec le frére ^^
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Message  Invité Lun 16 Avr 2012 - 5:39

Si les Eglises ont failli devons nous les suivre ?

Les propos suivants parus dans un journal catholique révèlent que des nombreux catholiques sont troublés par l'attitude du clergé à l'égard de la Bible.: "La Bible devrait être le Livre de tous les foyers, le Livre de chaque Chrétien. Sous ce rapport, nous avons beaucoup péché. Nous avons abandonné notre héritage, qui est resté inutilisé. N'est-il pas triste de constater que de nombreuses familles catholiques ne possèdent pas la Bible complète et que la plupart de nos coreligionnaires, y compris nos prêtres, n'ont jamais lu entièrement les Écritures ou même le Nouveau Testament?"
Dans un reportage paru sur France 3, le journaliste déclara: "Depuis le début du 20eme siècle la société humaine à profondément changée. la science a fait des progrès fantastiques, la morale traditionnelle est remise en cause. Et, face à ces bouleversement, l'église à refusé d'évoluer."MAIS NOUS? NOUS ALLONS FAIRE CONFIANCE EN LA BIBLE!
Parlons de la franchise des rédacteurs des livres sacrés. Il n’est pas dans la nature de l’homme imparfait de reconnaître ses erreurs ou ses échecs, surtout dans ses écrits. Personnes aurait l’idée d’aller raconter à tout le monde ses défauts, ses erreurs, n’est-ce pas ?
La plupart des écrivains de l’Antiquité n’ont consigné que leurs succès et leurs vertus. La preuve nous l’avons en déchiffrant les hiéroglyphes égyptiens, où selon les traductions rappellent les grandes victoires mais jamais leurs pertes. La même chose nous la retrouvons dans l’histoire de la puissance assyrienne et les autres qui vinrent par la suite et cela jusqu’à nos jours. Personne n’est fier de ses échecs. En revanche, Moïse, rapporta qu’il avait manqué à ses devoirs et que, par conséquent, il n’avait pu conduire Israël jusqu’en Terre promise. Yona parla de sa rébellion, et Paul reconnut ses mauvaises actions passées. Quant à l’apôtre et évangéliste Matthieu, rapporta que les apôtres ont parfois fait montre de peu de foi, ont recherché les places en vue et qu’ils ont même abandonné Jésus lorsqu’il a été arrêté. Pensons également à l’apôtre Pierre, souvenons-nous que ce dernier avait tout laissé pour suivre le Seigneur Jésus. Fut un témoin de la transfiguration de Jésus et celui à qui le Fils de Dieu confia les clefs du Royaume. Malgré tout, le soir de l’arrestation de Jésus, par crainte de l’homme, il menti et renia le Seigneur Jésus. En une certaine occasion, l’apôtre Paul, qui était lui aussi
un disciple de Jésus relativement nouveau, reprit publiquement Pierre pour son comportement dans la congrégation d’Antioche. Pierre, accepta cette réprimande et par la suite en parla, définissant Paul comme notre bien aimé frère Paul.
Si les rédacteurs de la Bible avaient voulu falsifier quelque chose, n’aurait-ce pas été les faits qui ne les avantageaient pas ?Ils n’auraient certainement pas d’une part révélé leurs manquements et, d’autre part, écrit des choses erronées sur d’autres sujets. La franchise des rédacteurs de la Bible ajoute donc du poids à leurs déclarations quand ils affirment avoir écrit sous la direction de Dieu.
Pierre était prêt à parler comme il était pour agir. Disait clairement ce qu’il pensait avec une grande franchise telle que plait a beaucoup de personnes.
Nous pouvons dire que bien souvent il parlait à propos. Il n’aura pas été un homme très instruit, un homme de lettres, avec des grands diplômes, mais il était un homme intelligent, un bon penseur. UN PENSEUR ? OUI, car, à plusieurs fois posa des demandes très intéressantes, et pour cela il faut savoir bien penser. [size=18]La Bible est donc d’une harmonie parfaite.

L’accomplissement des prophéties bibliques constitue la preuve circonstancielle la plus solide confirmant l’authenticité des Écritures Saintes. A ce propos, ne lis-t-on dans l’Evangile selon Jean chapitre 17 verset 17 : «TA PAROLE EST LA VÉRITÉ »
Résumons-nous ; Par son esprit, la force agissante de Dieu, vint sur les écrivains des textes hébreux et grecs, achevant ainsi le canon des Écritures avec l’autorisation voulue, de sorte que la Bible entière est la Parole de Dieu, c'est-à-dire «LA VÉRITÉ »


A SUIVRE.......





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Message  wiidy Lun 16 Avr 2012 - 7:25

merci Caleb se sont toujours ces articles que je cherche pour cherché les erreurs de l'église catholique et les mensonges qu'ils enseignent ^^ La Bible un livre pour notre époque? - Page 4 117403
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Message  Invité Lun 16 Avr 2012 - 11:13

SUITE.....POURQUOI CERTAINES TRADUCTIONS COMPORTENT UNE DIZAINE DE LIVRES EN PLUS ?

Je viens d’écrire que les Ecritures hébraïques étaient composées de 39 livres allant de la Genèse à Malaki. Cependant, les Bibles catholiques contiennent dans la partie appelée à tort l’ «Ancien Testament » sept livres supplémentaires. Ces écrits ajoutés sont Tobie, Judith, la Sagesse, L’Ecclésiastique (a ne pas confondre avec l’Ecclésiaste) Baruch, 1 et 2 Livre des Maccabées, des additions au livre d’Esther et trois additions au livre de Daniel (le cantique des trois jeunes, l’histoire de Suzanne, et Bel et le dragon). Ces livres sont appelés « Apocryphes ». La date exacte de leur rédaction est incertaine, mais tout porte à croire qu’elle n’est pas antérieure au IIe ou IIIe siècle av. n. è. Apocryphes comme déjà écrit et pour mémoire signifie « caché, faux, contrefait, illégitime soigneusement dissimulé». Ce terme s’applique à des livres dont la paternité ou l’autorité est douteuse, et autrefois, il désignait des ouvrages cachés au public parce qu’ils pouvaient être pernicieux.
Eusebius Hiéronimus (Jérôme) qui est regardé comme « le meilleur hébraïsant » de l’Eglise primitive et qui acheva la Vulgate en 405 E.V se déclara catégoriquement contre les livres apocryphes. C’est d’ailleurs lui qui, le premier les qualifia explicitement d’«apocryphes » dans le sens de non canoniques. Écrivant à une dame nommée Laeta à propos de l’éducation de sa fille, Jérôme lui donne ce conseil : «Qu’elle se garde de tous les apocryphes, et si jamais elle veut les lire, non pour y chercher les dogmes authentiques, mais seulement le respect pour les symboles, qu’elle sache bien que ces livres n’appartiennent pas aux auteurs dont leur titre porte le nom, que bien des opinions fautives sont mêlées à leur texte, enfin qu’il faut user d’une grande prudence quand on cherche de l’or dans la boue. »Lettres CVII
Si l’on peut reprocher à Jérôme sa langue acérée, son caractère querelleur et tendancieux (nous verrons plus loin le pourquoi) on doit cependant lui reconnaître le mérite d’avoir, à lui seul réorienté la recherche biblique vers le texte hébreu inspiré. Il a scrupuleusement étudié et comparé des manuscrits hébreux et grecs de la Bible aujourd’hui perdus. Son œuvre a également devancé des massorètes juifs. C’est pourquoi la Vulgate est un outil précieux pour qui veut étudier les diverses variantes du texte biblique. Jérôme a atteint son but : il a produit une œuvre digne de passer à la postérité;
Historique de livres apocryphes.
Les livres apocryphes ont vu le jour pendant la période comprise entre Nehémia (456-443 av.E.V.) et Christ. La plupart ayant été écrits au deuxième siècle avant notre ère.
Quelque apocryphe, un de ces récits est précieux, car il rétabli la liaison entre les périodes précitées, il s’agit du premier livre des Macchabées. Étant purement historique, il reste étranger à toute préoccupation doctrinale, et sauf quelques erreurs mineurs, son exactitude en général est solidement établie. C’est le seul ouvrage exempt des défaillances caractérisant les apocryphes;
Joseph Flavius, l’historien juif du premier siècle, montra clairement l’existence de tels livres et de leur exclusion du canon hébreu quand il écrivit : «Depuis le temps d’Artaxerxés jusqu’à nous a été rédigée l’histoire complète de la nation, mais il n’a pas été retenue de la même valeur que les documents précédents, puisque manque l’exacte succession des prophètes ». Contre Apion.
Origène, au début du troisième siècle E.V. après des études approfondies, fit une nette distinction entre ces écrits et eux du vrai canon.
Athanase, Cyril de Jérusalem, Grégoire de Nazances et Anfilochius, tous du IV siècle, compilent des catalogues des écrits sacrés suivant le canon hébreu et ignorant ces écrits rajoutés ou le considérant de moindre importance.



A SUIVRE....Résumons en quelques lignes leurs contenus :

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Message  Invité Jeu 19 Avr 2012 - 15:07

Merci Caleb
la suite stp!
Te lire me fait me poser une question mais je vais créer un autre fil pour ne pas souiller le tien. mais je crois que la suite de ton article sera déjà un début de réponse à mes questions.

la suite stp stp stp

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Message  wiidy Ven 20 Avr 2012 - 0:17

hate de voir cela Line .^^ bounce bounce
merci Caleb pour cette article tourjours bien présenté respectant le théme donné ^^ j'attend la suite comme Line ^^
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Message  Invité Ven 20 Avr 2012 - 5:09

Résumons en quelques lignes leurs contenus :



Tobie. Ce fidèle Juif et sa famille de la tribu de Naphtali, avaient été emmenés captifs en Assyrie par le roi Salmanasar. Un jour, épuisé par son travail de fossoyeur, il s’endormit au pied d’un mur. De la fiente chaude tomba d’un nid d’hirondelles sur ses yeux, et il devint aveugle. Ce livre est rempli de fables rabbiniques et d’allusions à la démonologie babylonienne. Loin d’être historique, il raconte des fictions et des superstitions. Les doctrines qu’il avance sont d’origine post-babylonienne. D’après la plupart des critiques, ce conte fut écrit au deuxième siècle av. J.C, d’autres disent au premier. Ce livre est rempli de nombreuses erreurs comme celui-ci : dans sa jeunesse, Tobie, voit la révolte des tribus septentrionale, survenu en 997 av J.C., après la mort du roi Salomon (Tobie 1 :4,5), ensuite qu’il fut déporté a Ninive avec sa tribu en 740 (chap. 1 :11-13). Il aurait eu donc 257 ans, or au chapitre 14 : 1-3 nous apprenons qu’il mourut à l’âge de 102 ans.
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Judith (Yehoudith) Ce livre raconte l’histoire d’une vive juive très belle de la ville de « Béthulie ».
Neboukadnetsar envoie son officier Holopherne en campagne vers l’Orient pour détruire tous les cultes autres que celui de sa personne. Les Juifs sont assiégés à Bétulie. Judith fait alors mine de trahir la cause des Juifs, si bien qu’elle est admise dans le camp d’Holopherne, où elle donne un faux rapport des conditions qui règnent dans la ville. A l’occasion d’un festin pendant lequel Holopherne s’enivre, avec l’épée de l’homme elle réussit à lui trancher la tête qu’elle rapporte ensuite à Béthulie. Le lendemain, profitant de la confusion qui s’empare du camp ennemi, les Juifs remportent une victoire complète. Peut-on nous fier d’un tel livre ?
Dans son introduction au livre de Judith, la traduction catholique «Nuovissima versione della Bibbia (Nouvelle traduction de la Bible) et la note en marge fait observer : «Nabuchodonosor était roi de Babylone et ne régna jamais a Ninive du moment que cette dernière avait été précédemment détruite par son père Nabopolassar »
Dans la version de l’abbé Crampon 1905 nous y lisons : «Nabuchodonosor, quelques uns croient qu’il s’agit d’Assourbanipal. Le traducteur ne trouvant à cet endroit du texte original aucun nom donné au roi d’Assyrie, y aurait mis un nom célèbre entre tous
»
Et dans la Bible de Jérusalem page 494 édition de 1956 est noté : «Il semble que l’auteur ait multiplié délibérément les entorses à l’histoire pour détacher l’attention d’un contexte historique précis et la reporter tout entière sur le drame religieux. C’est un récit habilement composé. Il a été écrit en Palestine, à l’époque grecque, à la fin du 2e ou au début du 3e siècle avant notre ère. » Or, de l’aveu de tous les critiques, le texte grec n’est point primitif, et l’étude des nombreux sémitismes qu’il renferme appuie le sentiment de ceux qui admettent un original hébreu.
Addition au livre d’Esther (10 :4 à 16 :24)
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Ce récit historique dérive de légendes nationales qui amplifient la victoire raconté par l’écrit canonique. Ces additions sont introduites à des endroits différents selon les versions : certaines les rejettent à la fin du livre (comme Jérôme dans sa traduction, tandis que d’autres les greffent tout au long du texte canonique.
Dans la première partie apocryphe, Mordekaï est présenté comme un des captifs emmenés par Néboukadnetsar en 617 av.n.e ; il occupe ensuite une position importante à la cour royale dans la deuxième année d’Assuérus (le texte grec dit Artaxerxès), un bon siècle plus tard. (Quel brave vieillard le père Mordekaï, c’est moi qui souligne).
L’affirmation, selon laquelle Mordekaï occupait si tôt une position importante sous le règne du roi, contredit la partie canonique du livre d’Ester qui selon des biblistes l’attribuent à Ezra, mais tout porte à croire qu’il fut l’œuvre de Mordekaï, celui-ci était bien placé pour connaître, dans leurs moindres détails, tous les faits rapportés dans le récit.
On pense que les additions apocryphes au livre d’Esther sont l’ouvre d’un Juif égyptien qui les aurait écrites au cours du 2e siècle av.n.e. Ce livre comporte d'autres traditions (Assuérus est identifié à Artaxerxès comme écrit plus haut, Haman n'est plus agaggite mais macédonien, etc.), un message « religieux » plus prononcé (la version grecque inclut une prière à Dieu, la description d'un rêve prophétique de Mardochée etc.


A SUIVRE...... SUITES DES LIVRES AJOUTES

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Message  Invité Ven 20 Avr 2012 - 13:38

wiidy a écrit:hate de voir cela Line .^^ bounce bounce
merci Caleb pour cette article tourjours bien présenté respectant le théme donné ^^ j'attend la suite comme Line ^^

En fait je me demandais s'il était bien pour nous de lire ces écrits apocryphes. Mais avec l'article de Caleb j'ai la réponse! La Bible un livre pour notre époque? - Page 4 117403

Caleb a écrit:
Résumons en quelques lignes leurs contenus :


Spoiler:
A SUIVRE...... SUITES DES LIVRES AJOUTES

Viiiiiite la suiiiiiiiite STP !!!!!!!!!!
Trop hâte Caleb bounce bounce bounce

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Message  Invité Ven 20 Avr 2012 - 17:05

SUITES DES LIVRES AJOUTES

La Sagesse (dite de Salomon), a pour but de réconforter les fidèles en leur montrant que s’ils endurent de nombreux maux pendant que les impies prospèrent, ils seront finalement comblés de bénédictions pour avoir suivi les précieux conseils de la sagesse, et verront les châtiments infligés aux méchants.
L’influence grecque est très visible dans ce livre. Certains pensent qu’il contient les opinions du philosophe Platon, surtout la croyance en l’immortalité de l’âme, et même à la préexistence des âmes. Cet ouvrage se réclame du roi Salomon qui (régna à Jérusalem de 1037à 998 a.n.e) comme auteur, et portant il cite des écrivains postérieurs tels que Isaïe (778-732 av.n.e) ou le prophète Jérémie (647-580 av.n.e.) ; il va jusqu’à citer la Septante qui ne commença pas à paraître avant 280 av J.C. La rédaction du livre de la Sagesse est attribuée à un Juif hellénisé d’Alexandrie en Egypte (devenue à la fois capitale de l’hellénisme sous les Ptolomées et grande ville de la Diaspora), qui l’écrivit vers le milieu du 1er siècle av.n.e

L’Ecclésiastique surtout il ne faut pas le confondre avec le livre de l’Ecclésiaste, écrit par le roi Salomon. Ce livre est l’œuvre d’un philosophe nommé Jésus Ben Sirach. Pendant des siècles, le livre fut connu seulement par les versions grecques (sous deux formes), syriaques et latines.
En 1896, le texte hébreu, qui était encore connu de Jérôme et fut utilisé par les rabbins jusqu'au 12e siècle, réapparut parmi les nombreux manuscrits découverts dans la Geniza (dépôt des livres saints hors d'usage) de la synagogue karaïte du Vieux-Caire. L'auteur, vivait probablement vers l’an 200, si l'on s'en tient aux renseignements donnés par le traducteur grec, à la fin du règne de Ptolémée VII Évergète ( 170 - 117). La tradition juive penche vers cette dernière opinion. Si cela s’avère être exact, le livre de l’Ecclésiastique serait le plus ancien des livres apocryphes. Même s’il en était ainsi, cet ouvrage montre que l’adoration juive dégénérait déjà dans le ritualisation. Certains de ses extraits sont cités dans le Talmud.

Baruch, il passe pour avoir été rédigé par Baruch, le secrétaire de prophète Jérémie, pendant qu’il était avec les captifs à Babylone. (Baruch 1 :1,2) alors que, selon le récit biblique, il se rendit en Egypte comme Jérémie et rien ne prouve qu’il soit jamais allé à Babylone (Jérémie 43 :5-7). Dans sa préface au livre de Jérémie, Jérôme déclara : «Quant au livre de Baruch (…) nous l’avons laissé de côté » (Ouvres complètes de S. Jérôme, par F.Z. Collombet, Paris 1842 p.131. Jérôme parle de cet ouvrage d'une manière qui marque qu'il n'en faisait pas la même estime que des autres livres canoniques. Il dit qu'il n'a pas jugé à propos de commenter le livre de Baruch que l'on joint à Jérémie dans l'édition des Septante, parce que ce livre ne se lit pas, chez les Hébreux et qu'il contient une Épître qui porte faussement le nom de Jérémie. Il dit, ailleurs, qu'il ne l'a pas traduit comme il a fait Jérémie, parce qu'il n'est point en: hébreu et que les Juifs ne le reçoivent point dans leur Canon. On ne trouve point Baruch dans les anciens catalogues des Écritures citées dans les Pères et dans les Conciles.

Complément au livre de Daniel
1. Le cantique des trois jeunes hébreux dans la fournaise ardente : Un additif, long de 67 versets, est inséré entre les versets 23 et 24 au chapitre 3 du livre prophétique de Daniel. Ce chant n’est qu’une légende qui s’est formée dans la tradition des Juifs ; il n’est donc pas inspiré.
2. L’histoire de Suzanne ; Cette courte histoire relate un épisode de la vie d’une femme d’une grande beauté, la femme de Joakim, un Juif fortuné vivant à Babylone. Alors que cette femme, Suzanne se baigne, deux vieillards juifs s’approchent d’elle et la pressent de commettre l’adultère avec eux. Comme elle refuse, ils inventent une fausse accusation contre elle. Elle est jugée et condamnée à mort, mais le jeune Daniel confond adroitement les deux vieillards, et Suzanne est disculpée. On n’est pas certain de la langue originelle de ce livre. On considère qu’il fut écrit au 1er siècle av.n.e. Dans la Septante, il était placé avant le livre canonique de Daniel, et après celui-ci dans la Vulgate. Certaines traductions l’ajoutent en 13eme chapitre au livre de Daniel.
3. La destruction de Bel et le dragon (ou serpent dans certaines versions) Jérôme déclare dans ses écrits que ce 14eme chapitre ajouté au livre de Daniel est une fable. Le roi Cyrus essaie de décider Daniel à adorer son idole appelé Bel. Au lieu de cela, le prophète dénonce au roi la tromperie des prêtres. En répandant sur le sol du temple des cendres qui révèlent la présence de traces de pas, Daniel prouve que la nourriture prétendument mangée par l’idole est en réalité consommée par les prêtres païens et leurs familles. Les prêtres sont mis à mort et Daniel détruit l’idole. Le roi demande à Daniel d’adorer un dragon (serpent) vivant. Comme Daniel le détruit, la populace déchainée le jette dans la fosse aux lions. Pendant les sept jours où Daniel y est enfermé, un ange saisit Habacuc (Habaqouq) par les cheveux et le transporte, ainsi qu’un bol de bouillie, de Judée à Babylone pour nourrir Daniel. L’ange ramène ensuite Habaqouq en Judée, Daniel est relâché de la fosse, et ses opposants y sont jetés et dévorés.

1 et 2 Macchabées j’en ai écrit quelques lignes. Mais une question : Ces livres font-ils parties de la Bible ?
Les catholiques les considèrent comme des livres bibliques à part entière (bien que l’appellation « deutérocanoniques » leur confère un statut secondaire, et qu’ils soient certainement moins lus), mais ce n’est pas le cas pour la plupart des autres confessions chrétiennes. Le fait qu’aucun rédacteur chrétien de la Bible ne cite les livres apocryphes constitue un des principaux arguments externes à opposer à leur canonicité.
Certes, cela n’est pas en soi une preuve décisive, car quelques livres, pourtant considérés comme canoniques, tels qu’Esther, l’Ecclésiaste et le Chant de Salomon, ne sont pas non plus cités par les écrivains chrétiens. Il est cependant significatif que ceux-ci ne citent aucun des livres apocryphes, pas même une fois.
C’est surtout Augustin (354-430), qui fut à l’origine du mouvement visant à introduire des écrits apocryphes dans le canon de la Bible, même si, dans ses ouvrages postérieurs, il reconnut lui-même qu’il y avait une nette différence entre les livres du canon hébraïque et ces « livres extérieurs ». Cependant, suivant l’exemple d’Augustin, l’Eglise catholique ajouta ces écrits au canon des livres sacré qui avait été établi au concile de Carthage en 397. Dans l’introduction au livre des Macchabées nous lisons dans la Bible de Jérusalem: «Les deux livres des Macchabées ne faisaient pas partie du canon scripturaire des Juifs, mais c’est un document précieux pour l’histoire de son temps, à condition que l’on tienne compte du genre littéraire, et des intentions de l’auteur. Ils se rapportent à l’histoire des luttes menées contre les souverains Séleucides pour obtenir la liberté religieuse et politique du peuple juif. » Et dans la NVB) Nuovissima versione della Bibbia nous lisons : « Que son style et vocabulaire se rapprochant beaucoup à celui des écrivains hellènes est très riche et recherché, adapté a celui qui aime le langage chantant et chatouillant ».
Il fallut néanmoins attendre le concile de Trente, en 1546, sous le pontificat du pape Paul 3 (un pape exécrable, pensez un peu, il avait donné sa propre sœur à Borgia, afin d’être nommé cardinal, et fut aussi l’amant de sa propre fille). Pour que l’Eglise catholique romaine confirme catégoriquement l’introduction des apocryphes dans son catalogue des livres bibliques. Elle estima cette décision nécessaire du fait qu’à l’intérieur même de l’Eglise les opinions sur ces écrits demeuraient contradictoires.
Vous souvenez-vous de John Wycliffe, prêtre catholique et bibliste (j’en ai parlé les pages antérieures) ? Qui par la suite avec l’aide de Nicolas de Hereford, réalisa au 14eme siècle la première traduction de la Bible en anglais, n’inclut point les apocryphes dans son œuvre. Dans la préface de sa traduction, il déclara que ces écrits étaient «dépourvus d’autorité en matière de croyance » Déduction de cette déclaration : Les livres apocryphes ne faisaient pas parti des Écritures inspirées et n’étaient pas reconnus comme tels aux premiers siècles de notre ère.
Par conséquent, une version de la Bible qui les omet n’est pas pour autant incomplète. La même chose advint avec Lefèvre d’Etables en 1530 voir pages antérieures, avec la parution de la Bible en entier qu’il fit imprimer à Anvers. Si la traduction suivait la Vulgate, du moins dans ses grandes lignes, il avait néanmoins selon ses dire : «purgée de ces gloses innombrables, (ou mots obscurs) qui comme des plantes parasites, avaient envahi le champ des Ecritures », faisant allusion aux textes apocryphes.

A SUIVRE..... QUELQUES LIVRES APOCRYPHES DES ÉCRITURES GRECQUES CHRETIENNES

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Message  Invité Ven 20 Avr 2012 - 18:12

Caleb a écrit:
SUITES DES LIVRES AJOUTES


1 et 2 Macchabées j’en ai écrit quelques lignes.

Euh ...... ça veut dire quoi Shocked Rolling Eyes Shocked

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Message  Invité Sam 21 Avr 2012 - 6:28

line a écrit:
Caleb a écrit:
SUITES DES LIVRES AJOUTES


1 et 2 Macchabées j’en ai écrit quelques lignes.

Euh ...... ça veut dire quoi Shocked Rolling Eyes Shocked

Euh.....ça veut dire ma ptite Line que j'en ai parlé tout à fait dans les premièrs sujets

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Message  wiidy Sam 21 Avr 2012 - 6:38

merci pour ces precisions Caleb ^^ vivement la suite ^^
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Message  Invité Sam 21 Avr 2012 - 6:54

Quelques apocryphes des Ecritures grecques chrétiennes

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Ces livres ont deux caractéristiques en commun : d’une part, dans leur forme générale, ils ressemblent aux écrits des Écritures Grecques Chrétiennes et appartiennent pour la plupart aux catégories littéraires des Évangiles, des Actes, des Épîtres et de la Révélation ! D’autre part, ils n’appartiennent ni au canon des Écritures Grecques Chrétiennes, ni aux écrits de ceux qui sont reconnus comme les pères de l’église.
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Une partie des documents fut écrite pour des groupes d’initiés comme les gnostiques (Celui qui connaît les mystères religieux.) Si la plupart des gnostiques se considéraient comme chrétiens, certaines sectes n’assimilèrent que quelques éléments chrétiens mineurs dans un corps de textes gnostiques non chrétiens. Ils écrivirent des évangiles apocryphes (comme l’évangile de Thomas et l’évangile de Marie) pour étayer leur thèse selon laquelle Jésus ressuscité révéla à ses disciples l’interprétation juste, gnostique, de ses enseignements. Ils rejetaient les souffrances et la mort expiatrice du Christ, ainsi que sa résurrection, ils rejetaient aussi d’autres interprétations littérales et traditionnelles des Évangiles. Pour eux, qui prétendaient détenir des connaissances provenant d’une tradition secrète, ces ouvrages étaient apocryphes, c'est-à-dire des « livres tenus cachés ».
Une autre partie fut écrite pour tous, dans les églises dont les auteurs étaient membres, mais ils ne réussirent pas à s’imposer comme appartenant au canon orthodoxe de la Bible. Certains écrits, comme l’évangile selon les Hébreux, pourraient avoir joué un rôle important dans la vie quotidienne des Juifs chrétiens. D’autres étaient lus dans les cercles gnostiques, comme la Lettre d’Eugnostos trouvée en 1945, lorsqu’un paysan égyptien trouva près de Naj Hammadi, douze manuscrits contenant plus de cinquante écrits gnostiques en copte. Ces manuscrits auraient été copiés au 4ème siècle dans les monastères de la région. On ignore si les moines de ces monastères étaient eux-mêmes des gnostiques ou s’ils avaient rassemblé ces écrits afin d’étudier l’hérésie. D’autres encore, comme l’enfance de Thomas et les Actes de Pilate satisfaisaient la curiosité de l’ensemble du peuple de l’église en comblant les trous énigmatiques des écrits bibliques par les détails les plus fantaisistes sur des aspects inconnus de la vie de Jésus.
On peut encore considérer un autre facteur quand il s’agit de savoir si une Bible est complète ou non. En effet, des mots, des phrases et même des versets entiers, qui figurent dans certaines versions ne se trouvent pas dans d’autres. A partir du 2eme siècle E.V, notamment apparurent une foule d’écrits qui affirmaient être divinement inspirés, être canoniques et concerner la foi chrétienne.
Un grand nombre de ces écrits ne sont connus qu’à travers quelques fragments parvenus jusqu’à aujourd’hui, ou par des citations et des allusions chez certains auteurs.
Ces apocryphes trahissent le désir de fournir des renseignements que les écrits divinement inspirés omettent délibérément, par exemple, sur les activités de Jésus et les événements qui marquèrent sa vie de sa première jeunesse jusqu’à son baptême. Ou alors, ils sont produits dans le but de défendre des doctrines et des traditions qui n’ont aucun fondement dans la Bible ou qui la contredisent. Ainsi, le prétendu Evangile de Thomas et le Protévangile de Jacques fourmillent de récits fantaisistes des miracles que Jésus aurait opérés pendant son enfance. Toutefois, ils ne réussissent qu’à donner de Jésus l’image d’un enfant capricieux et irritable, doté de pouvoirs impressionnants. (Je vous invite à mieux le lire dans le vraie Evangile selon Luc 2 :51,52).
Les Actes apocryphes, par exemple les « Actes de Paul » et les « Actes de Pierre », insistent lourdement sur la nécessité d s’abstenir de toutes relations sexuelles et présentent même les apôtres exhortant les chrétiennes à se séparer de leurs maris ce qui est complètement contraire au conseil authentique que l’apôtre Paul adressa aux chrétiens de Corinthe : « Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur : que la femme ne se sépare pas de son mari » 1 Cor.7 :10 Bible de Jérusalem
Tout comme les livres apocryphes plus anciens ont été éliminés des Ecritures hébraïques qui étaient reconnues avant l’ère chrétienne, de même ces écrits apocryphes postérieurs n’ont été considérés
ni comme inspirés ni canoniques, et n’ont de ce fait pas été introduits dans les plus anciens catalogues des Ecritures grecques chrétiennes.
Par exemple, notez les textes suivants tirés de la Bible de Glaire : «Car le Fils de l’homme est venu sauver ce qui avait péri » (Mat. 18 :11) «Car il était obligé de leur remettre un prisonnier pendant la fête » (Luc 23 :17) «Car ils sont trois qui rendent témoignage dans le ciel : le Père, le Verbe Et l’Esprit Saint » (1 Jean 5 :7)
Si vous cherchez ces versets dans des versions modernes, telles que la Bible d’Osty, la Traduction œcuménique de la Bible, la Bible de Jérusalem et la Traduction du monde nouveau, vous ne trouverez pas les deux premiers textes, ni la partie en italique dans le troisième texte.
POURQUOI VOUS POURRIEZ DEMANDER ?
Les biblistes ont démontré que ces versets n’avaient jamais fait partie des manuscrits originaux.
On ne les trouve dans aucun manuscrit du quatrième siècle ou antérieur au quatrième siècle. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, les copistes étaient plus enclins à ajouter qu’à retrancher quelque chose du texte. C’est ce qu’indique nettement le fait que les manuscrits le plus anciens et les plus dignes de foi sont les plus condensés.
Ces dernières années, ont été publiées nombreuses traductions des Écritures saintes, qui ont contribué à aider des nombreuses personnes aimant la Parole divine à comprendre la signification des écrits originaux, par contre d’autres traductions ont éliminé le nom divin du texte sacré. Pourtant, ce nom apparaît presque 7000 fois dans les Écritures Hébraïques et plus de 200 dans les Ecritures Grecques chrétiennes, pour un total de plus de 7200. La forme de Yahvé est généralement préférée par les hébraïsants, mais aujourd’hui il n’est plus possible de déterminer avec certitude la prononciation exacte du nom.
Pour nous Témoins chrétiens de Jéhovah est un immense privilège, accompagné d’une grande responsabilité, que, de porter haut le nom divin, forme francisée de Jéhovah, depuis le Moyen Age
En 1278, un moine espagnol, Raymond Martin l’utilisa sous la forme Yohoua, et, d’autres éditions postérieures de son ouvrage, présenteront le nom de Jéhovah. Comme certainement vous le savez, les Hébreux écrivaient le nom divin sous la forme d’un tétragramme יהוהtraduit en français il donnerait YHWH.
J’aimerais vous citer certaines traductions de la Bible en langue française :
 La Crampon 1905 contient le nom de Jéhovah dans les écritures hébraïques, et contient les livres apocryphes
 La Crampon révisée en 1938n à changé le nom de Jéhovah en Yahweh, contient les livres apocryphes
 La Darby mentionne le titre d’Eternel
 La Bible de Jérusalem mentionne le nom de Yahweh, et contient les livres apocryphes
 La TOB traduction œcuménique porte le patronyme de Seigneur, contient les livres apocryphes
 La Traduction Osty, mentionne le nom de Yahvé, contient aussi les livres apocryphes
 La version de Louis Segond mentionne le patronyme de Seigneur
 La Bible en Français courant édition de 1982 avec le patronyme de Seigneur
Une question se pose : Est-il donc mal d’utiliser une graphie comme Yahweh ou Yahvé ?
Pas de tout. L’avantage du vocable Jéhovah consiste en ce que celui-ci a plus de chances d’éveiller tout de suite un écho chez le lecteur du fait qu’il a été adopté par la plupart des pays et les langues.
Quoiqu’il en soit, ce qui compte, c’est que nous employions le nom par excellence et que nous le proclamions devant nos semblables.
«Louez Jéhovah, invoquez son nom. Publiez parmi les peuples ses grandes œuvres, proclamez que son nom est élevé ». Isaïe 12 :4 Crampon 1905
Ce nom (Jéhovah) est employé pour la première fois dans une version anglaise en 1530, quand William Tyndale déjà cité, achève sa traduction des cinq premiers livres de la Bible, appelé aussi le Pentateuque. Son texte ne comporte qu’une seule mention du nom divin sous la forme Iehouah, en Exode 6 :3.
Dans une note de la même édition, Tyndale explique : «Iehovah est le nom de Dieu(…)En outre, chaque fois que vous voyez le mot SEIGNEUR, en grandes lettres (sauf erreur d’impression) c’est Iehovah qui apparaît en hébreu ».
C’est un dur travail pour un traducteur comprendre les informations dans une langue et les rendre
compréhensibles à des personnes qui lisent ou en écoutent une autre. Certains traducteurs bibliques se sont attachés à accomplir leur travail avec certitude que ce qu’ils traduisaient était la Parole de Dieu. D’autres étaient simplement fascinés du défi sur le plan académique. Sans doute ils considéraient le contenu de la Bible à la manière d’un précieux héritage culturel, pour d’autres encore la religion étant leur métier, donne à l’imprimerie un livre portant leur nom comme traducteur ou éditeur est source de lucre. Certains traducteurs bibliques, ont démontré un profond et sincère respect pour le nom divin s’en servant régulièrement dans leur traduction. D’autres préfèrent la forme Yahweh, d’autres ont choisit une forme du nom divin adapté à leur langue, toujours reconnaissable avec clarté à celle qui apparaît dans le texte hébreu.
Comme vous aurez noté tout au long de cet écrit, bien dans la majorité des langues, le nom divin apparaisse dans des anciennes traductions des Écritures Hébraïques, les traductions modernes bien souvent l’ont éliminé ou le relèguent dans quelques notes. Ainsi, survient dans la langue française, italienne, comme dans d’autres langues européennes, africaines, sud-américaines, indiennes ou des îles du Pacifique.
Mais savez-vous qu’en Allemagne nazie, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, un comité de théologiens et pasteurs collaborèrent avec le Troisième Reich à la réalisation d’un Nouveau Testament revu et expurgé de tout renseignement positif aux hébreux et quiconque indication de descendance juive de Jésus Christ ?
Plus récemment, les traducteurs d’une version anglaise, sont allés dans une direction contraire, cherchant à éliminer toute responsabilité des hébreux en rapport avec la mort du Christ. Au dire des mêmes traducteurs : «les féministes auraient été vraiment heureux si au lieu de mentionner Dieu le Père, aurait été mieux Dieu Père et Mère », allant jusqu’à la place de Fils de Dieu, ont proposé un vocable indiquant fille (child). Puisqu’ils étaient dans les modifications, pourquoi ne pas ôter également le principe de la soumission des femmes à leurs maris et celle des enfants par rapport aux parents ? Par conséquent, si vous ne pouvez trouver certains mots ou certains versets dans une version moderne de la Bible, ne soyez pas inquiet. Elle est sans doute plus proche des textes originaux, qu’une traduction plus ancienne, dont les traducteurs, ne disposaient même pas de manuscrits du quatrième siècle, tels que les précieux codex Vaticanus et Sinaiticus.

A SUIVRE... FAISONS UN EXERCICE:L’APÔTRE PIERRE EST-IL OUI OU NON ALLÉ A ROME ?

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Message  Invité Sam 21 Avr 2012 - 18:22

Caleb a écrit:Quelques apocryphes des Ecritures grecques chrétiennes

Les Actes apocryphes, par exemple les « Actes de Paul » et les « Actes de Pierre », insistent lourdement sur la nécessité d s’abstenir de toutes relations sexuelles et présentent même les apôtres exhortant les chrétiennes à se séparer de leurs maris ce qui est complètement contraire au conseil authentique que l’apôtre Paul adressa aux chrétiens de Corinthe : « Quant aux personnes mariées, voici ce que j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur : que la femme ne se sépare pas de son mari » 1 Cor.7 :10 Bible de Jérusalem
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Merci pour ces infos Caleb!
La suite dès que possible STP

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Message  Invité Sam 21 Avr 2012 - 18:56

L’APÔTRE PIERRE EST-IL OUI OU NON ALLÉ A ROME ?

Faisons un exercice de mémoire

L’histoire de l’Eglise apostolique romaine déclare que le premier pape a été saint Pierre.
Où l’église a-t-elle puisé cette affirmation ? Pas dans la Sainte Bible en tout cas. Mais alors où ?
Certainement dans un écrit de Jérôme : « Livre des hommes illustres » dont voici un court extrait : «Simon Pierre vint à Rome la deuxième année du règne de l’empereur Claude pour confondre Simon le magicien. Il y occupa, pendant vingt cinq années la chaire pontificale, jusqu’à la quatorzième et dernière année de Néron, époque à laquelle il reçut la palme de martyr. Il y fut mit en croix la tête en bas, se jugeant indigne de mourir de la même manière que son divin maître »
Puisque Jérôme précise des dates certaines, examinons son texte pour voir si sa relation concorde avec l’emploi chronologique des années de la vie de l’apôtre Pierre.
1. La deuxième année du règne de l’empereur Claude est l’an 42 de notre ère
2. La quatorzième année du règne de Néron est l’an 68. Or de l’an 42 à l’an 68, c'est-à-dire pendant les vingt cinq ou vingt six ans que l’apôtre Pierre est censé avoir occupé le siège pontifical de Rome, où en réalité était Pierre ?
Consultons la Sainte Bible : Je me sers de la Bible de Jérusalem (Tableau chronologique)
1. En 42, il revient d’Antioche à Jérusalem pour se justifier auprès des anciens d’avoir mangé avec des in-circoncis (Actes 11 :1-8)
2. En 44 il est emprisonné à Jérusalem (Actes 12 :3-19)
3. En 49-50, il est à Jérusalem où avec Jacques préside le collège central en présence de Paul et les autres anciens (Actes 15 :7-11)
4. Vers 54 se trouve à Antioche où il est repris ouvertement par l’apôtre Paul (Actes 4 :; Galates 2 : 11-14)
5. Vers les années 62-64, il repart en Asie Mineur, accompagné de sa femme (1 Cor. 9 :5). Jusqu’en l’an 59, il ne quitte pas son travail de prédicateur de la Bonne Nouvelle. Alors ; Comment admettre, avec Jérôme, qu’il ait résidé vingt cinq ans à Rome, alors que nous constatons d’après la Sainte Bible que entre 42 et 59, il se trouve quelque part en Asie Mineur ?
A ces preuves positives, il y a lieu de joindre quelques preuves négatives pour les années suivantes.

 Dans l’épître aux Romains, datant de l’an 56 environ, il n’est pas dit un mot de la présence de Pierre à Rome.
 Dans celles adressées depuis Rome, aux Éphésiens, Philippiens, Colossiens et Philémon, datant de 60-61, pas un mot non plus.
 Dans le livre des Actes des Apôtres qui narrent le voyage et l’emprisonnement de Paul à Rome jusqu’en l’an 62, non seulement pas un mot, mais même pas une allusion à la prétendue présence de Pierre à Rome. Or, il est impensable et impossible que l’écrivain Luc, si méticuleux qu’il était, ait omis un fait si important et considérable, lui qui est si précis ? (Luc 1 :1-4)
 Vers 65, Paul adresse à Timothée sa seconde lettre, dans ses salutations, ait omis Pierre ? (2Tim.4 :19)
De lors que devient l’affirmation de Jérôme lequel écrivit au 4e siècle de notre ère ? Mise aux oubliettes ? Quand on connaît ce principe de l’historien «On peut mentir aux hommes sur les objets même religieux, lorsque ces erreurs sont utiles ! » Bravo Jérôme, je ne te connaissais pas sous cet angle. Mon cher Jérôme tu connais certainement cette célèbre maxime latine, puisque tu es un champion de cette langue : «falsum in uno, falsum in toto » en français devient : «menteur sur un point, il est aussi dans l’ensemble ».
Maintenant je comprends, pourquoi toutes ces petites brebis égarées de l’église romaine, tenues volontairement dans l’ignorance par les pourprés de Rome, affluent vers les pâturages verdoyants de la Parole de Dieu. Ici elles sont sûres de trouver une herbe bien fraîche, saine et salutaire.



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Message  Nic Mar 24 Avr 2012 - 11:13

Grazie Caleb pour ces explications claires et concordante,
Comme tu dit, cela montre vraiment que beaucoup de gens sont aveugler par le Diable, heureusement la vérité finit toujours par triomphé
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Message  Invité Mar 24 Avr 2012 - 12:26

SUITE;;;;;;faisons un exercice biblique

Nous avons un autre exemple en lisant le texte du livre de l’Exode chapitre 20 ou se trouve le décalogue.
Cette division du décalogue ou dix commandements (Exode 20 :2-17) est la division naturelle. C’est celle que donnent Josèphe, historien cité à plusieurs reprises (Antiquité judaïques, liv.3 chap. 5 :5 dans œuvres complètes de Flavius Josèphe et Philon, philosophe juif du 1er siècle également.)
Selon eux, le chapitre 20 verset 3 constitue le premier commandement, les versets 4-6 le deuxième et le verset 17, qui interdit toute convoitise, le dixième.
D’autres comme Augustin, vois dans les versets 3-6 un seul commandement, mais il divise le verset 17 en deux commandements, le neuvième interdisant de désirer la maison de son semblable,
et le dixième interdisant de convoiter les âmes vivantes de son prochain. Pour justifier sa division des Dix commandements, Augustin se fondait sur l’énoncé parallèle et postérieur de ceux-ci en Deutéronome 5 :6-21, qui emploie deux verbes hébreux différents au verset 21 pour interdire la convoitise des biens d’un semblable, alors qu’Exode 20 :17 utilise deux fois le même verbe hébreu. La division d’Augustin a été adoptée par l’Eglise catholique. (Traduction du Monde Nouveau avec notes page 116 note)
La même explication est donné dans la traduction catholique de l’abbé Crampon édition 1905 et la révisée de 1937.
A propos d’Augustin, une importante encyclopédie écrivit : « le plus grand penseur de l’antiquité chrétienne, creuset dans lequel la religion du Nouveau Testament se fondit le plus complètement à la tradition platonicienne de la philosophie grecque.
Défendons fidèlement la Parole de Dieu

Des personnes sont mortes pour défendre l’idéal religieux en propageant la vérité biblique.
Vous avez sans doute à la mémoire les dernières scènes ou images du film les Visiteurs, au moment où ils retournent dans leur temps. Faisons nous aussi en jargon cinématographique un flashback ou retour en arrière. Imaginons-nous dans l’Espagne de 1559. Nous voyons arriver quelques 200000 espagnols se rouer vers la ville de Valladolid, ville située dans le Nord espagnol. Pourquoi toutes ces personnes se rendent dans la ville ? Elles étaient attirées par un grand autodafé, au cours du quel «deux victimes furent brûlées vives et dix autres étranglées ». Étaient-elles des vulgaires criminels ?
Non, simplement déclarés « hérétiques ».
Philippe II, jeune roi d’Espagne, très apprécié par la populace, présidait l’événement. Quand un condamné implora sa grâce et sa miséricorde, le roi répondit : «Si mon fils était un misérable comme toi, je porterais moi-même les fagots pour le brûler » Mais enfin quel crime avait commis cet homme pour mériter un tel châtiment ? [size=18]Il était trouvé en possession d’une Bible.

Nous en avons parlé et écrit quelques temps en arrière qu’en ce 16 ème siècle, était très dangereux pour ceux qui lisaient la Bible de se trouver en Espagne, et très peux purent s’échapper des griffes de l’Inquisition torquemadesque.
Je vous prie de bien vouloir m’excuser, si je viens encore une fois écrire des faits marquants l’Histoire de la Bible, mais pour notre mémoire je tenais à nous rappeler comment elle , la Bible est parvenue jusqu’à nous. Une chose est sûre et certaine : «La Parole de Dieu subsiste à jamais, rien ne pourra empêcher sa diffusion »
Les gens croient facilement les promesses faites par des hommes ou des femmes haut placées. Bien séduisant soient-elles aux regards de ceux qui aspirent à une vie meilleur, comparées à celles de la Parole de Dieu, ces promesses ne sont que des fleurs fanées.
A ce propos j’aimerais vous citer une anecdote d’un célèbre homme qu’était monsieur Nikita Krutchev surnommé "Nikita la Tornade" qui déclara un jour «Les hommes politiques de tous les pays sont tous pareils. Ils vous font de promesses de construire des ponts même là où il n’y a pas de rivières » Ce n’est pas le cas de la Sainte Bible. Jéhovah Dieu fit écrire par son fidèle serviteur et prophète Isaïe les paroles citées plus haut : «La parole de Dieu demeure à jamais » Is. 40 :8
Quelques chapitres plus loin au chapitre 50 : 11 nous lisons «Ainsi en va-t-il de ma parole. Elle sort de ma bouche, et elle ne revient pas auprès de moi à vide. Elle accomplit d’abord ma volonté, elle exécute avec succès sa mission. » Traduction du Cardinal Lienart
Jéhovah a fait mettre par écrit sa Parole pour notre profit, et il a veillé qu’elle soit préservée. Comme écrit dans diverses pages que vous avez lu, plus d’un dirigeant a essayé de détruire les écrits sacrés.
Me servant du livre apocryphe des Macchabées je résume ceci : «En 168, A.n.E ; le roi Antiochos Epiphane, érigea un autel au dieu grec Zeus (Jupiter) au dessus de l’autel de Jéhovah dans la cour du temple. Dix jours après, le 25 kislev (novembre, décembre) commis le dernier outrage en sacrifiant sur cet autel des cochons (animaux impurs selon la loi mosaïque).
Avec ce geste, le temple de Jéhovah fut dédié à Zeus. Fit également rechercher les livres sacrés de la loi, ce que nous appelons aujourd’hui la Torah, pour les brûler, déclarant passible de mort celui qui serait trouvé en leur possession.
Tant soient les copies trouvées ou brûlées à Jérusalem et en Judée, il lui était impossible de les faire toutes disparaître. Nous devons nous rappeler qu’à ce moment là, des colonies juives étaient éparpillées en divers pays et chaque synagogue possédait sa propre collection des rouleaux manuscrits.
»
En 303 E.V. l’empereur Dioclétien ordonna de raser tous les lieux de réunion chrétiens et de «jeter au feu les Saintes Écritures » cette destruction dura environ dix ans.
Malgré la violence de sa persécution, Dioclétien, ne pu annihiler le christianisme, et Jéhovah ne permit que les agents de l’empereur détruisent toutes les copies, ne serait-ce qu’une simple portion de la Parole inspirée.
Quand le latin tomba dans les oubliettes, ce ne furent pas les dirigeants païens et idolâtre, mais des soi-disant chrétiens, le pape Grégoire VIIe, fils du charpentier Banizon, né des relations incestueuses du frère de sa mère et d’elle. Pape très orgueilleux qui prêcha la première croisade, et Innocent 3e, vraiment pas de tout innocent, un des papes les plus sauvages et tyranniques que Rome ait connu.
Il envoya Dominique, moine castillan, qui sera par la suite béatifié et fait un saint (sic), avec ses croisées, incendier la ville de Béziers et exterminer les albigeois. La ville fut assiégée et prise : «Alors commença un énorme carnage tel que nous n’en trouverons un autre exemple dans les pages de l’Histoire. L’horrible Dominique, la croix dans la main, la bulle papale dans l’autre, animait les combattants les excitants au massacre, au viol et à l’incendie ! Il remplit si bien les ordres pontificaux, que soixante mille cadavres de tous les sexes et tout âge, hommes, femmes, enfants et vieillards furent enterrés sous les décombres fumants de leur ville réduite en cendre. »
OUI ! Ces papes qui se disent les représentants de Dieu sur terre, les vicaires du Christ, s’opposaient ouvertement et violence a ce que la Bible soit traduite en langue vernaculaire. Mais de cela j’en ais assez écrit.
J’aimerais avec votre permission, reprendre la citation du livre Les Bibles du 15eme déjà cité où monsieur Wendell Prime a écrit :
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«Trente ans après l’invention de l’imprimerie, l’Inquisition sévissait avec une terrible efficacité en Espagne. Cette cérémonie judiciaire de l’Eglise catholique romaine était célébrée en grande pompe et avec beaucoup de solennité : les condamnés avançaient en procession jusqu'à un lieu public où, après le sermon (un simulacre de procès c’est moi qui ajoute), la sentence condamnant l’inculpé à être brûlé sur un bûcher était exécutée ! L’exécution avait généralement lieu un dimanche entre la Pentecôte et l’Avent, ou le jour de la Toussaint. Le premier autodafé ]attesté fut ordonné à Séville en 1481 par l’inquisiteur espagnol Tomas de Torquemada, le dernier eut lieu au début du 19emesiècle. Entre 1481 et 1808, plus de 340000 personnes subirent le supplice de l’autodafé, dont 32000 furent brûlés vives. C’est à cause de la Bible que ces martyrs avaient été livrés aux flammes du supplice. Cet instrument destructeur que fut l’Inquisition se révéla également redoutable en Italie, au Nord comme au Sud. Néron transforma certains chrétiens en lumières du monde : il les enfermait dans des sacs recouverts de bitumes, et les faisait brûler, telles des torches qui illuminaient le spectacle de ses orgies. Quant aux rues des villes européennes, elles étaient embrasées par les autodafés des Bibles.
Les Bibles n’étaient pas comme leurs lecteurs que l’on pouvait appauvrir, dépouiller, torturer, mutiler et bannir. «Une seule feuille oubliée pouvait percer l’épaisseur de ce ténèbres"

A SUIVRE.... DEFENDOONS AVEC FOI LA PAROLE DE DIEU

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Message  Invité Mar 24 Avr 2012 - 18:25

Nic a écrit:Grazie Caleb pour ces explications claires et concordante,
Comme tu dit, cela montre vraiment que beaucoup de gens sont aveugler par le Diable, heureusement la vérité finit toujours par triomphé
Eh oui! Nous apprenons des choses grâce à toi Caleb et ton argumentation est très simple!
Merci

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Message  wiidy Mer 25 Avr 2012 - 0:29

merci Caleb pour tes recherches comme toujours j"attends la suite oooo mais tu nous a laissé un exo biblique que je relirai encore ^^
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Message  Invité Mer 25 Avr 2012 - 6:17

Défendons avec foi la Parole de Dieu

Jamais auparavant, il n’avait été fait ce qui est fait aujourd’hui dans le domaine de la traduction de la Bible. A côté des traducteurs Wicliffe, l’Alliance Biblique Universelle, plusieurs autres organisations missionnaires s’y emploient, comme par exemple la New World Bible Translation Committe.
La plus récente traduction de ce comité est celle de 1984, révisée en 1995 ; il s’agit d’une édition à gros caractères comportant un appendice détaillé, 125000 références marginales, 11400 notes en bas de page et une concordance. Voici un exemple de notes en bas de page. Genèse 1 :11 nous lisons « Et Dieu dit encore : “ Que la terre fasse pousser de l’herbe, de la végétation portant semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leurs espèces*, dont la semence est en lui, sur la terre. ” Et il en fut ainsi.” Vous notez qu’après le mot semence se trouve un petit astérisque. Or le renvoie en bas de page nous explique ceci : «Lit. : “ selon son espèce (genre) ”. Héb. : leminô ; gr. : génos ; lat. : genus. Le mot “ espèce ” désigne ici une espèce créée ou une famille, selon l’ancienne acception ou définition du terme, et non pas au sens où l’entendent aujourd’hui les évolutionnistes. »
L’appareil critique de cette édition permet aux étudiants de la Bible de comprendre pourquoi certains textes doivent être rendus d’une certaine manière pour être exacts, tandis d’autres peuvent être traduits correctement de plusieurs façons. Les références marginales les aident aussi à se rendre compte de l’harmonie des livres de la bible. Les références fournissent divers renseignements : pensées, événements ou récits parallèles ; renseignements biographiques ou géographiques ; passages qui relatent l’accomplissement des prophéties selon la Bible elle-même ; renvois à des phrases, expressions ou versets entiers d’autres parties de la Bible ; modèles de l’alliance de la Loi et leur accomplissement relaté dans les Écritures grecques. Tout cela constitue une importante somme de connaissances bibliques.
Comme vous aurez noté, des millions de personnes sont à l’œuvre pour mettre la Bible à la portée du commun des mortels n’importe où il habite.
Voici quelques citations de personnalités en rapport à la Bible.
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La Bible fait bondir la tête et le cœur des hommes, tressaillir les collines. C'est le livre des sursauts, des images grandioses et tragiques, des grandes revendications sociales, des prophéties annonçant l'égalité fraternelle des hommes, amenant la disparition de la guerre entre les peuples, l'apaisement des nations irritées et de la nature elle-même... Jean Jaurès Fondateur du socialisme français
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Que les savants continuent à multiplier leurs découvertes! Qu'à force de recherches ils scrutent jusqu'au moindre des détails les récits qui nous ont été conservés de ces âges obscurs! Tout ce qu'ils réussissent à faire, c'est à rendre plus persuasives l'admirable simplicité et l'exactitude fondamentale des vérités enregistrées dans les livres sacrés qui ont éclairé jusqu'à aujourd'hui le pèlerinage de l'homme. Winston Churchill Ancien premier ministre britannique, 1874-1965
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Après plus de 60 ans de lecture quasi-journalière de la Bible, je n'ai pas encore manqué de la trouver toujours nouvelle et merveilleusement en accord avec les besoins changeants de tous les jours. Cecil B. DeMille 1881-1959, producteur de films (Ben Hur, Les 10 commandements)
Comment expliquer la fascination qu’exerce la Bible encore de nos jours ?
Pourquoi des hommes vivant à l’époque de la conquête de l’espace s’intéressent-ils à un livre qui ne parle pas de l’invention de la bicyclette ?
Chaque lecteur de la Bible apportera une réponse personnelle à ces questions.

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Message  Invité Mer 25 Avr 2012 - 19:39

Après plus de 60 ans de lecture quasi-journalière de la Bible, je n'ai pas encore manqué de la trouver toujours nouvelle et merveilleusement en accord avec les besoins changeants de tous les jours.
Cecil B. DeMille 1881-1959, producteur de films (Ben Hur, Les 10 commandements)
Tellement vrai !

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Message  Invité Jeu 26 Avr 2012 - 9:36

***Défendons avec foi la Parole de Dieu***


Nous avons considéré comment pendant des siècles, la Sainte Bible a joué un rôle primordial dans l’élaboration de nos lois, de nos systèmes d’éducation, de nos idéaux démocratiques, sans oublier la conception des droits de l’homme. Il est décourageant, à notre époque où tant de gouvernements parlent de liberté, tant de journaux sont pleins de « vérité », tant d’organismes sont occupés à protéger cette liberté, de constater qu’en un grand pays d’Europe, même l’esprit de liberté est en décadence. Et il nous faut bien constater que cette décadence correspond à une mainmise de l’Eglise romaine sur des organismes sociaux, à l’octroi d’une importance excessive à cette Eglise et comme la conséquence de deux guerres épuisantes. Dans un pays de liberté, la religion est une affaire privée. Elle ne saurait devenir une source de conflit entre les citoyens qu’a partir du moment où une croyance quelconque intervient dans les affaires de l’Etat. Question spirituelle, question sentimentale, elle doit rester spirituelle et sentimentale.
Si beaucoup de média ridiculisent certains prédicateurs et proclamateurs de la Bible, ici je ne veux pas en aucun cas entrer en controverse avec qui que soit, nous devons relever, et pour me répéter, la mainmise de l’Eglise romaine sur le média, a la concession d’une importance excessive a cette Eglise et avec la conséquence, les deux guerres mondiales très épuisantes.
Tenez, à propose de la Première Guerre mondiale, les rapports établis suite au désastre des troupes italiennes à Caporetto, prouvent que le clergé avait soumis les troupes italiennes à une propagande défaitiste. Après avoir freiné par tous les moyens possibles et imaginables, l’entrée en guerre de l’Italie, l’Eglise essaya par la suite de démoraliser les combattants. Vous pouvez consulter, comme moi, les journaux de l’époque. A titre d’exemple, j’ai pu relever dans le Crapouillot de mai 1937 ceci : «des fantassins italiens furent fusillés à cause d’idées lancées par les services spéciaux du Vatican »
Ils auront de comptes à rendre au moment venu par Jéhovah Dieu.
En effet selon son fidèle serviteur Jérémie, dieu fit écrire : « Malheur aux bergers qui détruisent et dispersent les brebis de mon pâturage ! ” C’est là ce que déclare Jéhovah.
2 C’est pourquoi voici ce qu’a dit Jéhovah le Dieu d’Israël contre les bergers qui font paître mon peuple : “ C’est vous qui avez dispersé mes brebis ; et vous les disséminiez, et vous ne vous êtes pas occupés d’elles. ”
“Voici que je m’occupe de vous pour la méchanceté de vos manières d’agir”, c’est là ce que déclare Jéhovah.
3 “Et moi je rassemblerai le reste de mes brebis de tous les pays où je les avais disséminées; oui, je les ramènerai sur leur terrain de pâture et, à coup sûr, elles seront fécondes et deviendront nombreuses. 4 Oui, je susciterai sur elles des bergers qui les feront vraiment paître; elles n’auront plus peur, elles ne seront plus terrifiées, et il n’en manquera aucune”, c’est là ce que déclare Jéhovah »
Jérémie 23 :1-3
Revenons à l’importance de la Bible dans la vie de nos jours.
D’une manière ou d’une autre, elle a profondément marqué la plupart des politiciens et des réformateurs religieux et sociaux. Voici encore quelques citations :
Abraham Lincoln : «Je crois, que la Bible est le don le plus précieux que Dieu ait jamais fait à l’homme »
Albert Einstein (La bible et le science p 166) «Si nous purifions le judaïsme des prophètes et le christianisme enseigné par Jésus de tout ce qui est venu ensuite... nous avons une religion capable de préserver le monde de tous les malaises sociaux. Tout le monde a le devoir sacré de faire de son mieux pour le triomphe de cette religion. »
Faraday: Un jour, un de ses amis le trouve en pleurs, la tête appuyée sur la Bible; il lui demande s'il est malade: "Non, répond Faraday, ce qui m'afflige c'est de voir que les hommes s'égarent alors qu' ils ont ce livre béni pour les guider."
La Bible est également au centre de bien des changements culturels qui se produisent actuellement dans le monde.
Sur toute la terre, la Parole de Dieu, continue d’occuper une place très importante. Et dans beaucoup de régions, de groupes d’hommes et de femmes deviennent chrétiens en lisant les Écritures et en répondant à leur appel.
La Bible se révèle donc indispensable si l’on veut estimer à leur juste valeur les nouveaux courants culturels qui se répandent dans le monde. Grâce a elle nous pouvons réapprendre à éduquer.
Oser la question des valeurs comme si nous les avions perdues et qu’il fallait en découvrir d’autres est un faux problème. Les valeurs existent et sont bien présentes dans les pages sacrées de la Bible. Ma mentalité individualiste fait que chaque personne ne le considère pas toujours comme des références et veut inventer ses propres codes et agir selon ses intérêts. On n’envisage même plus la formation morale des jeunes comme une nécessité vitale et tout est fait pour neutraliser l’éducation religieuse.
Les pouvoirs publics baissent les bras et les lois ne sont pas appliquées à cause de la peur qu’ils ont des jeunes. Les parlementaires faute de pensées et de projets, sapent les socles anthropologiques de notre société, qui a mis des siècles à s’élaborer en votant de nombreuses lois pour satisfaire des odes et des intérêts subjectifs parfois pervers.
Ils font perdre du crédit au sens des valeurs quand ils osent prétendre que l’adultère n’est plus une faute punissable et qu’on peut changer de conjoint comme on change de chemise. Notre société et les adultes ne savent plus éduquer la nouvelle génération. L’éducation a été réduite à la séduction, au plaisir immédiat et à la négociation.
Pour sortir des impasses suicidaires et démagogiques actuelles de la violence juvénile et de la personnalité socialement déstructurées et immatures, nous devons : remplacer l’envahissement de l’explication psychologique par de la pédagogie.
Soutenir les efforts à faire pour apprendre au lieu d’enfermer dans la recherche du plaisir pour lui-même, enraciner l’enfant dans la réalité des choses au lieu de vouloir immédiatement son épanouissement; éduquer au sens des relations plutôt que de faire uniquement dans la communication et le sentiment. Appliquons l’autorité donnée par la Parole de Dieu, ses principes et ses interdits. Faute de quoi, nous produirons des personnalités sans intériorité, impulsives, fragiles et narcissiques. [size=18]Nous avons besoin c’est vrai, d’une révolution ; une révolution de mentalités pour oser s’engager dans une réelle attitude éducative et avoir recours aux valeurs de la vie qui nous humanisent.

Ce qui compte, c’est avant tout le respect de l’autre, quelle que soit sa confession (ou son absence de confession) et son origine ethnique. Nous devons nous habituer à une société pluraliste, dotée d’une éthique commune et humaine, mais où chacun puise dans ses traditions pour vivre ensemble. Reste à savoir qui aujourd’hui doit transmettre cette valeur aux jeunes. La Bible déclare que la cellule de base des sociétés, c’est la famille. C’est à elle et a elle seule que revient la priorité de transmettre avec une main de fer dans un gant de velours, ces valeurs premières.
La famille doit, bien sûr, être la première à inculquer cette valeur. A enseigner les principes moraux aux enfants. Mais il faut faire attention au concept de famille et, là aussi, éviter les débordements, prendre leurs responsabilités et tenir compte des réalités.
« Ces commandements que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants, et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras. Tu les attacheras sur ta main pour te servir de signe, et ils seront comme un frontal entre tes yeux. Tu les écriras sur les poteaux de ta maison » Deut.6 :6-9 Crampon 1905.
Dans la Bible, tous ses livres transmettent un message semblable : La justification du nom de Jéhovah par le moyen du Royaume céleste en les mains de son Fils Jésus.
Le récit de la création, les grands événements des Écritures Hébraïques, la vie, la mort et la résurrection de Jésus Christ, la naissance de la congrégation chrétienne et l’effusion de l’esprit saint à la Pentecôte de l’an 33, la conversion de Corneille et sa famille ainsi que celle de Saul de tarse devenu plus tard l’apôtre Paul. Tous ces événements dévoilent l’amour de Dieu envers les hommes et les femmes, les garçons et les filles, les jeunes et les moins jeunes. Dieu leur demande de se tourner sincèrement vers lui. En étudiant la Bible, en la méditant chaque jour, en recherchant sincèrement les directions de Dieu, nous ne trouverons pas des paroles destinées exclusivement à des croyants d’autrefois. Non, nous y verrons que Dieu s’adresse à nous personnellement dans notre vie d’aujourd’hui.
En voulez-vous une preuve ?
« Ce livre de la loi ne doit pas s’éloigner de ta bouche ; il faudra que tu y lises à voix basse jour et nuit, afin d’avoir soin de faire selon tout ce qui y est écrit, car alors tu feras réussir ta voie et alors tu agiras sagement » Josué 1 :8
« Ta Parole est une lampe pour mon pied et une lumière pour ma route » Psaume 119 :105


SUIVRE....N’entachons pas la Sainte Bible

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Message  Invité Jeu 26 Avr 2012 - 19:14

Caleb a écrit:
Faraday: Un jour, un de ses amis le trouve en pleurs, la tête appuyée sur la Bible; il lui demande s'il est malade: "Non, répond Faraday, ce qui m'afflige c'est de voir que les hommes s'égarent alors qu' ils ont ce livre béni pour les guider."
Sad
Caleb a écrit:Dans la Bible, tous ses livres transmettent un message semblable : La justification du nom de Jéhovah par le moyen du Royaume céleste en les mains de son Fils Jésus.
Le récit de la création, les grands événements des Écritures Hébraïques, la vie, la mort et la résurrection de Jésus Christ, la naissance de la congrégation chrétienne et l’effusion de l’esprit saint à la Pentecôte de l’an 33, la conversion de Corneille et sa famille ainsi que celle de Saul de tarse devenu plus tard l’apôtre Paul. Tous ces événements dévoilent l’amour de Dieu envers les hommes et les femmes, les garçons et les filles, les jeunes et les moins jeunes. Dieu leur demande de se tourner sincèrement vers lui. En étudiant la Bible, en la méditant chaque jour, en recherchant sincèrement les directions de Dieu, nous ne trouverons pas des paroles destinées exclusivement à des croyants d’autrefois. Non, nous y verrons que Dieu s’adresse à nous personnellement dans notre vie d’aujourd’hui.
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Message  Invité Ven 27 Avr 2012 - 5:28

N’entachons pas la Sainte Bible

Les vieux documents ont leurs ennemis naturels : le feu, l’humidité, la moisissure. La Bible n’était pas immunisée contre de telles agressions. Avant de devenir le livre le plus diffusé au monde, il lui a fallu résister aux outrages du temps. Unique et passionnante histoire que celle de la préservation de la Bible.
Je viens d’écrire à propos de l’inspiration divine de la Bible, qu’aucun homme même le plus cultivé n’aurait pu rédiger un recueil si parfait et harmonieux. Nous avons vu comment elle nous est parvenues grâce aux traducteurs, mais aussi à leur persévérance malgré les difficultés et la grande opposition rencontrée. Beaucoup même ont perdue leur vie.
Que des théologiens ou des traducteurs déforment la Bible est d’ailleurs loin d’être un fait isolé dans l’Histoire du livre Saint. Voici un exemple très explicite :
Un porte parole de la New International Version, traduction protestante publiée en anglais en 1978,
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]a écrit : " Jéhovah est bien le nom distinctif de Dieu, et idéalement nous aurions du l’employer, mais nous avons consacré plus de 2 millions de dollars à cette traduction, et le meilleur moyen de gâcher l’argent aurait été de traduire par exemple le psaume 23 par « Yahveh est mon berger… ». Du coup nos traducteurs auraient travaillé en vain, personne ne se serait servi de cette traduction… !"
D’autres exemples illustrent comment les religions de la chrétienté ont présenté la Sainte Parole de Dieu, la Bible, sous un faux jour.
Par leurs actions, ceux qui prétendent suivre la Bible entachent souvent la réputation du livre qu’ils disent révérer. C’est ainsi que de soi-disant chrétiens se sont entretués au nom de Dieu, alors que la Bible exhorte les disciples du Christ à «S’aimer les uns les autres » Jean 13 :34,35.
Des ecclésiastiques, et, je ne parle pas seulement des pourprés, écorchent leurs ouailles en leur soutirant dans certains pays, un argent durement gagné. A eux s’appliquent ces célèbres paroles de l’empereur Tibère : «Le bon berger doit tondre les brebis et non les écorcher », mais une condamnation plus grave vient de Jéhovah à l’encontre de tels bergers. Dans le livre du prophète Ézéchiel 34 nous lisons cette condamnation : «(…) Malheur aux bergers (…), qui ne cherchent que leur propre pâture. N’est-ce pas leur troupeau qui doivent paître les bergers ? Mais vous, le lait, vous le buvez ; la laine, vous vous en revêtez (…) Vous ne fortifiez pas les brebis chétives ; la malade, vous ne la soignez pas ; la blessée, vous ne la pensez pas ; l’égarée vous ne la ramenez pas ; la perdue, vous ne la cherchez pas ; vous les traitez toutes avec violence et dureté (…) je les recueillerais d’entre les peuples et les rassemblerais de divers pays (…) Je le paîtrais dans de bons pâturages. »
Il est vrai que dans la lettre apostolique adressée au jeune Timothée, l’apôtre Paul lui écrivit : «(…) l’ouvrier est digne de son salaire »1 Tim 5 :17, mais le verset qui le précède dit que les anciens ou surveillants qui président de façon correcte, doivent être : «jugés d’un double honneur».
Le seul honneur que certains traducteurs sans scrupules ont voulu mentionner est d’ordre financier. Ainsi, certaines traductions comme dans la version des moines de Maredsous le même verset est rendu ainsi : «Les anciens sont dignes d’une double rémunération », attitude aux antipodes du commandement biblique suivant : «Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » Mat 10 :8
Quelques huit cent ans avant ces paroles, le prophète Isaïe écrivit : « Holà ! Vous tous les assoiffés ! Venez vers l’eau. Et ceux qui n’ont pas d’argent ! Venez, achetez et mangez. Oui, venez, achetez du vin et du lait, sans argent et sans prix » 55 :1
A la fin du premier siècle E.V. Jean, prisonnier dans l’île grecque de Pathmos écrivit : «(…) Viens, que celui qui a soif vienne et celui qui le désire prenne de l’eau de la vie gratuitement » Rév. 22 :17 Il ne convient donc pas de juger la Sainte Bible d’après les dires ou les actions de ceux qui se content de la citer ou qui affirment l’appliquer dans leur vie.
«Je trouve davantage de signes d’authenticité dans la Bible que dans aucune autre histoire profane »
Sir Isaac Newton.
Lors d’un procès, la crédibilité d’un témoignage tient souvent à des faits mineurs. Des détails concordants peuvent être l’indice d’un témoignage fidèle et honnête, tandis que des graves incohérences laissent à penser qu’il a été fabriqué.
D’un autre côté, un récit minutieux à l’excès, millimétré, sonne parfois faux.
Que dire du « témoignage » des rédacteurs bibliques sous ce rapport ? On peut les qualifier de remarquablement cohérents. Il s’avère harmonieux même sur les détails minimes. Cette concordance n’est toutefois pas calculée ce qui pourrait faire croire que les auteurs se sont concertés. On voit au contraire que les recoupements sont tout à fait fortuits, que les récits concordent souvent sans que leurs rédacteurs l’aient cherché.
J’aimerais à ce propos, citer l’exemple de trois prophètes et écrivains bibliques : « Ézéchiel, Jérémie et Daniel ». Tous les trois étaient contemporains, mais en des lieux divers.
Jérémie, prêtait service comme prophète de Jéhovah Dieu pour les Hébreux, résident à Jérusalem et en Juda, il était aussi en contact avec les corrompus roi juifs.
Daniel, se trouvait à la cour du roi de Babylone, puisqu’il fut conduit en captivité quand il était encore adolescent en 617 av.n.e. Il continua à prêter service à la cour jusqu’à la chute de Babylone survenue comme l’on sait en 539 av.n.e, puis des médo-perses. A lui furent transmises les prophéties concernant la succession des puissances mondiales et leur destruction par le moyen du Royaume de Dieu en les mains de son Fils Christ Jésus.
Ézéchiel, fils du prêtre Buzi. Fut parmi les prisonniers emmenés à Babylone en 617 av.n.e, en compagnie de Yoiakin et Daniel par Neboukadretsar. Il prêtait service parmi la population hébraïque et ses chefs dans la région de Babylone, où il continua l’œuvre de prophète. Bien qu’à Jérusalem les hébreux eussent le temple avec le grand prêtre et Jérémie, prêtre et prophète, ceux qui résidaient en Babylonie ne furent pas abandonnés par Jéhovah. Ézéchiel, se trouvait au milieu d’eux comme prophète du vrai Dieu, et, aussi même s’il n’y avait pas de sacrifices, il était là pour les conseillers, les instruire dans la loi divine. Jérémie, de son côté adressa une lettre aux prisonniers de la diaspora babylonienne, disant leur de rester tranquilles et en paix, car ils devraient attendre 70 ans avant d’être libérés. Sans aucun doute, Ezéchiel eu le moyen d’entendre les paroles de cette lettre, et peut être aussi d’écouter lire le rouleau que Jérémie envoya par la suite prédisant la chute de Babylone.
Daniel de son côté, reconnut que Jérémie était un vrai prophète de Jéhovah, et, étudiant ses prophétie relatives aux 70 ans de déportation, pu renforcer et encourager les hébreux, expliquant leur que la délivrance était proche (lire Daniel 9 :2)
[size=18]Passons aux Écritures grecques chrétiennes.

Parlons des quatre évangélistes : Mathieu, Marc, Luc et Jean Tous les quatre racontent que la nuit de l’arrestation de Jésus, l’un de ses disciples, Pierre, prit une épée, frappa l’esclave du grand prêtre et lui coupa l’oreille. Seul l’évangéliste Jean précise que le nom de l’esclave était Malchus. Jn 18:10, 11 QUESTION : « Comment se fait-il que seul l’évangéliste jean fournit ce détail que semblerait de peu d’importance ? » Quelques versets plus loin, le récit nous fournit un fait mineur et absent dans les quatre évangiles : «Il (Jean) était connu du grand prêtre et de sa maisonnée) Jean 18 : 15, 16, 26.
Un autre cas, toujours pendant la nuit de l’arrestation de Jésus et son simulacre de procès, nous le trouvons dans l’évangile selon Mathieu au chapitre 26 : 67,68 quand devant le sanhédrin : «(…) Certains le frappèrent (Jésus) en lui disant : prophétise Christ ! Qui t’as frappé ? » QUESTION : Pourquoi demander à Jésus de prophétiser qui l’avait frappé, si, la personne se trouvait en face de lui ?
Mathieu ne répond pas à cette question, mais deux des autres évangélistes nous donnent un détail important : les persécuteurs de Jésus «lui avaient couvert le visage avant de le frapper » Marc 14 :65 ; Luc 22 :64. L’évangéliste Mathieu rapporta les faits sans se préoccuper de nous fournir tous les détails.
Il existe quantité de ces prétendues contradictions. Mais en fait, il s’agit à chaque fois d’un même événement rapporté sous plusieurs angles différents. Si tous les rédacteurs de la Bible avaient dit exactement la même chose, on pourrait fortement les soupçonner d’avoir copié l’un sur l’autre.
Mais le fait que chacun a écrit en se plaçant d’un point de vue différent prouve qu’il n’y a pas eu concertation. Néanmoins, nous pouvons être sûrs qu’ils ont tous dit la vérité, car les faits qu’ils rapportent sont fondamentalement les mêmes dans chaque cas.
Dans la majorité des langues les plus connues, on a un grand choix parmi diverses traductions bibliques. Il nous faut user de discernement dans le choix de la Bible. Si une traduction n’est pas honnête sur l’identité de Dieu, bien souvent en ayant enlevé son nom, nous pourrions bien nous demander si les traducteurs n’auront-ils pas aussi altéré le texte biblique dur d’autres points ?
Si maintenant vous avez un doute concernant la validité d’une traduction, essayez de la confronter avec des traductions plus anciennes. Et, Si vous êtes un enseignant de la Parole de Dieu, privilégiez les versions qui suivent de près le texte hébreu et grec original. Démontrons notre franchise en nous intéressant suffisamment de son contenu en lui dédiant si possible chaque jour un peu de notre temps pour la lire. Certains sont parvenus à étudier davantage et plus efficacement en se levant, comme votre serviteur, un peu plus tôt le matin. Ils lisent la Bible un quart d’heure ou plus selon leur disponibilité, ou étudient un sujet adapté à leurs besoins comme le texte du jour qui est mis sur le blog. Beaucoup pensent qu’ils n’ont pas le temps matériel pour cela. Que cela n’en tienne, voici une petite suggestion : si vous avez l’habitude de lire tous les jours un quotidien ou de regarder ou écouter les informations soit par radio ou par la madone des salons (maman télé), pourquoi ne pas vous en passer un jour par semaine ? Depuis quelques années nous avons l’étude familiale, profitons-en pour lire et commenter en famille les Saintes Écritures ? Réfléchissons quelle activité nous pourrions supprimer afin d’avoir plus de temps pour lire ou étudier la Bible, seul mais serait mieux si nous avons une famille le faire ensemble.

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Message  Nic Ven 27 Avr 2012 - 13:09

Caleb a écrit:. Démontrons notre franchise en nous intéressant suffisamment de son contenu en lui dédiant si possible chaque jour un peu de notre temps pour la lire. Certains sont parvenus à étudier davantage et plus efficacement en se levant, comme votre serviteur, un peu plus tôt le matin. Ils lisent la Bible un quart d’heure ou plus selon leur disponibilité, ou étudient un sujet adapté à leurs besoins comme le texte du jour qui est mis sur le blog.

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Message  Invité Ven 27 Avr 2012 - 17:24

LA BIBLE DONNE SUR LA VIE DE FAMILLE DES CONSEILS A LA FOIS CLAIRS ET RAISONNABLES

Il y a une dizaines d’années, bien des parents on prêté l’oreille aux « idées d’avant-garde » en matière d’éducation, dérivées du principe selon lequel il était « interdit d’interdire ». on leur expliquait qu’en imposant des limites à l’enfant ils risquaient de le traumatiser ou d’en faire un frustré. Sans penser à mal, des éducateurs étaient partisans de réduire la punition à sa plus simple expression. Quels en furent les résultats ?
L’actualité est là pour nous fournir les réponses : violence sous toutes ses formes, drogue, viols en bande, voitures incendiées par des bandes de sauvageons.
«Nous faudra-t-il ouvrir des refuges pour parents maltraités ? » demande le psychologue français J.P.Ch.
Une tragédie qui eu lieu en Allemagne montre a quel point un enfant indiscipliné peut devenir asocial. Il s’agissait d’un adolescent de 15 ans qui organisa et exécuta minutieusement l’assassinat de sa mère. Les officiers de police racontèrent que, loin d’éprouver des remords, ce garçon exprima sa déception d’avoir vu échouer sa tentative de meurtre contre son père. Nombre de ces pédagogues reconsidèrent aujourd’hui le rôle de la discipline, et les parents soucieux de bien faire ne savent plus qui croire. Pourtant la Bible, disait déjà il y a plus de deux mille ans : « Éduque le garçon selon la voie pour lui ; même lorsqu’il vieillira, il ne s’en écartera pas. » Proverbes 22 :6
«Pères, n’irritez pas vos enfants, mais continuez à les élever dans la discipline et les avertissements de Jéhovah » Éphésiens 6 :4. Le nom hébreu mousar et la forme verbale yasar emportent l’idée de “ discipline ”, de “ châtiment ”, de “ correction ”, d'exhortation ”. Dans la Septante et dans les Écritures grecques chrétiennes, le nom correspondant païdéïa et le verbe païdeuô ont fondamentalement la même signification. Dérivé du mot païs, “ enfant ”, païdéïa désigne surtout ce qui est nécessaire pour élever un enfant : la discipline, l’instruction, l’éducation, la correction, le châtiment. (it-1 Discipline p.650). Le conseil immuable que la Bible adresse aux parents est donc clair : les enfants ont besoin d’une discipline cohérente et pleine d’amour. L’expérience a montré l’efficacité de ce conseil.
Les bonnes intentions ne sont pas suffisantes !
Pour pouvoir faire vraiment du bien spécialement a ceux que nous aimons, non seulement nus devons être bien attentionnés, mais nous devons aussi équilibrer nos sentiments avec la sagesse et le bon jugement. Cela est important dans le cas des parents.
Les parents se laissent souvent guider, par les sentiments sans bien réfléchir à l’effet de ce qu’il aura sur eux. Le sentimentalisme pousse beaucoup de parents à gâter les enfants, et, étant permissifs, ceci bien souvent les ruine. Des fois, les parents laissent aux petits anges faire ce qui veulent ou jouissent de plus de liberté, il est vrai que de tels parents peuvent penser que cela rendra leurs progéniture plus heureuse peut-être, mais bien souvent le résultat est que les enfants commencent à se sentir frustrés et avec le temps finissent pour avoir des graves problèmes. En effet un célèbre dicton dit si bien : «petits enfants petits problèmes, grands enfants gros em……)
Voici des exemples qui peuvent arriver : «Il n’obéissait jamais. A l’école, au collège, on l’accusait de racket, de violence. Je promettais de le surveiller. Dans l’appartement, c’était possible, mais pas dehors. Avec ses copains, il a volé des portables, puis un scooter. Chez le juge, son père a dit : « Aidez-nous, débarrassez-nous de lui.” Notre fils, qui était un bébé si mignon, était assis là, comme un étranger. »
A 45 ans, cette habitante de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) en paraît 60. Dans son F3 de la cité de la Butte-Rouge, elle vit, avec ses deux autres fils, de 10 et 12 ans, autour d’une imposante télévision allumée toute la journée, volume à fond. Depuis que son aîné, 16 ans, a été placé en centre d’éducation renforcée, elle est inconsolable et souffre de ne pas comprendre comment il en est arrivé là : « Il a eu tout ce qu’il voulait : GameBoy, PlayStation, habits et baskets de marque. Aujourd’hui, j’ai peur : il parle fort, me regarde avec de la haine. »
Au lieu d’exiger l’obéissance, souvent les parents disent quelque chose comme : «Que je attrape plus à faire ceci ou cela, compris ? » cette déclaration est une claire indication que le garçon peu continuer de faire comme avant, mais il doit faire attention de ne pas se faire surprendre. D’autres diront : «Nous aimerions que tu fasses tes devoirs » Ou quelque chose du genre, ceci exprime le désir des parents, l’enfant de son côté peu opposer ce que lui voudrai faire.
Pour se faire obéir « il est essentiel » que es parents commencent à formuler la demande en termes explicites, il est également nécessaire que l’enfant sache que vous êtes sérieux. Vous ne lui demandez pas de faire quelque chose, vous ne désirez pas qu’il le fasse, mais vous lui dites simplement de le faire. Un pseudo pédiatre déclara : «Quand l’enfant apprend que ses parents agissent avec sérieux, il ne cherchera pas de les persuader a le laisser faire ce qu’il aimerait ». Les parents qui ont suffisamment de poigne pour faire front et fermes a une obstiné désobéissance, recueilleront les fruits de leurs efforts accomplis. En effet il leur faudra moins d’efforts, car l’enfant apprendra à obéir immédiatement aux requêtes raisonnables comme dit le sage Proverbe biblique : «Corrige l’enfant et tu seras tranquille, et il sera source de joie pour toi »


A SUIVRE.....L’Eglise face à la Bible,

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Message  Invité Ven 27 Avr 2012 - 21:11

Caleb a écrit:
Pour pouvoir faire vraiment du bien spécialement a ceux que nous aimons, non seulement nus devons être bien attentionnés, mais nous devons aussi équilibrer nos sentiments avec la sagesse et le bon jugement.
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Message  Invité Sam 28 Avr 2012 - 6:31

L’Eglise face à la Bible,

Aujourd’hui, des barrières raciales, nationales et ethniques séparent les individus. Ces obstacles artificiels sont à l’origine des guerres dans lesquelles des innocents du monde entier ont été massacrés. « Il y a longtemps que notre clergé a cessé de servir Dieu (dit le grand écrivain catholique espagnol José Bergamin), rapaces, fainéants, privés de toute vie religieuse véritable, nos prêtres se sont mis ouvertement au service de la petite poignée d’hommes qui exploitaient le peuple avec une cruauté qui remonte aux pires moments de l’époque féodale. Ayant accumulé des richesses formidables, l’Eglise espagnole est devenue elle-même un des plus redoutables oppresseurs des travailleurs »
En vérité, le Christ a prêché l’amour de Dieu et du prochain, le détachement des biens de ce monde et l’humilité, toutes choses en contradiction flagrante avec le fonctionnement de hiérarchie vaticane (…) Pleins aux as, les prélats du Vatican ambitionnent des responsabilités toujours plus hautes, plus honorifiques et plus lucratives. Banques, Mont de Piété, compagnies de navigation, de chemin de fer, exploitations minières, entreprises commerciales, partout on retrouve les capitaux de l’Eglise se chiffrant par des milliards. Ce clergé n’a pas tenu compte des paroles du Seigneur Jésus : «Oui, il est plus facile à un chameau d’entrer par le trou d’une aiguille à coudre qu’à un riche d’entrer dans le Royaume de Dieu. » Luc 18 :25
Lorsque HITLER mit l’Europe en feu et en sang, un groupe de chrétiens refusa catégoriquement de participer au massacre. Ils étaient persuadés que la Sainte Bible dit vrai quand elle enseigne qu’aucune nation ni aucune race n’est supérieure à une autre « Il n’y a ni Juif ni Grec, il n’y a ni esclave ni homme libre, il n’y a ni mâle ni femelle ; car vous êtes tous une seule [personne] en union avec Christ Jésus » Galates 3 :28. Lorsque la machine de guerre nazie répandit la terreur en Europe, des milliers de chrétiens Témoins de Jéhovah furent terriblement persécutés. Ils le furent, parce qu’ils restaient fermement attachés à leurs croyances, et condamnaient courageusement la cruauté nazie. Cette attitude pacifique valut aux Témoins de Jéhovah d’être les premiers à connaître les camps de concentration dès 1933.
Selon Monsieur Detlef Garbe, directeur du Mémorial du camp de concentration de Neuengamme, «l’objectif visé était la destruction de ce mouvement religieux. Il ne devait plus y avoir des Témoins de Jéhovah en Allemagne ».
En effet, Hitler jura d’anéantir ce petit groupe de chrétiens criant a tue voix : «Cette engeance sera exterminé en Allemagne», mais il ne pu les réduire au silence.
Ces chrétiens soumis aux pires violences ont fait très tôt l’expérience de l’univers concentrationnaire, puisqu’on les retrouve en nombre dans les camps d’Oranienburg, Saschsenhausen, Dachau, Buchenwald, Ravensbrück, Mauthausen et Auschwitz.
Au total on peut estimer le nombre des arrestations à 6000 au moins (soit le tiers de l’effectif global en Allemagne à cette époque), et celui des morts et disparus se situant entre 2000 et 3000. Les Témoins de Jéhovah «se sont exprimés dès le début, dit madame Christine King, professeur et vice-présidente de l’Université du Staffordshire. Ils se sont exprimés avec un courage immense qui a valeur de message pour nous tous. »
Ils ne voulaient pas « Lever l’épée contre leur prochain » C’est leur désir de plaire à Dieu qui les ^poussa à adopter cette attitude (Isaïe 2 :3,4 ; Mika 4 : 3,5) Sur eux s’appliquaient les paroles contenues en Psaume 74 : 8, 10, 22; «Ils ont dit en leur cœur : «Détruisons-les d’un coup ! »Ils ont brûlé dans le pays, tout lieu d’assemblée sainte. (…)Jusqu’à quand, ô Dieu, blasphémera l’oppresseur ? L’ennemi va-t-il outrager ton nom jusqu’à la fin ?(…) Lève-toi, ô Dieu, plaide ta cause, rappelle-toi l’insensé qui te blasphème tout le jour !) »

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]QUEL FUT LE COMPORTEMENT DES POURPRES A LA MEME EPOQUE ?

La réponse est facile. Le but de l’église romaine était de faire resurgir le Saint Empire Romaine Germanique et ceci tous les historiens sont concordants et sans aucun mérite de ma part. Après les remous causés par la perte d la Première Guerre Mondiale, l’église romaine reprend son activité politique. En premier, en Autriche, soutenant le prince Starhemberg, ses sbires et le chancelier Dollfus. Les socialistes furent exterminés grâce a l’armement italien, fourni aux sbires du prince, par les fascistes mussoliniens, via la nonciature de Vienne. La capitale autrichienne devient la cité de Dieu, annoncé en septembre 1933 pas Jean Sobiesky.
A quelques kilomètres de Vienne, en Allemagne, les Témoins de Jéhovah, comme écrit plus haut, annoncent publiquement long les rues citadines, de maison en maison, la Parole sainte, le danger pour la nation et le monde d’un éventuel grave conflit, ainsi que l’attitude adultérine de l’Eglise qui rejette la Parole de Dieu. Elle, s’emploie à hisser au pouvoir Adolf Hitler.
Ce dernier il est vrai signa un concordat en échange des services reçus, mais resta sans effet.
Je ne voudrais pas passer pour menteur en disant que l’Eglise ne reçu pas la persécution par les suppôts hitlériens. Les franciscains, par exemple, furent persécutés il est vrai, nous avons vu il y a quelques années de cela un excellent film «Le Franciscain de Bourges », retraçant la vie que le moine offrit pour sauver des personnes, mais a Rome, les jésuites s’en moquaient, puisque Hitler soutenait le franquisme en Espagne et cela arrangeait beaucoup les jésuites, car ces derniers avaient grand peur des républicains espagnols surtout des communistes, espérant toutefois que le Führer attaquerait la Russie, ce qui permettrait a l’Eglise de récupérer la partie russe de la Pologne et l’Ukraine. Etant une grande puissance capitaliste, l’Eglise avait une telle haine pour le communisme, quelle n’hésita pas un seul instant a favoriser l’anschluss et l’invasion de la Tchécoslovaquie, puis la Pologne et comme nous le savons fort bien malheureusement, la Seconde Guerre mondiale avec tout le massacre qui s’en suivit.
Mais ce que nous savons le moins, furent toutes les tractations, les compromissions que précédèrent le débarquement des alliés qui fut retardé permettant la préparation de l’après guerre, suffocant ainsi la révolution qui pouvait s’en suivre. Je m’explique : prenons le cas des parachutages des armes qui furent presque inexistants à cause de la peur d’armer les peuples des quels avaient vraiment peur. Ceci nous l’avons vu lors de la guerre en Irak, où chaque jour qui passe, les soldats yankee sont les points de mire des snipers irakiens et le voyons en Afghanistan où se produit la même chose.
Une question m’a toujours hanté mon esprit : Pourquoi l’Eglise de Rome a gardé le silence ? Comment le Vicaire du Christ n’a-t-il pas suivi son exemple en prêchant son message aux belligérants ?
Sans aucune controverse de ma part, j’aimerais que l’on fasse un court retour dans le passé.
Le pontife de l’époque fut élus au trône pontificale en l’an 1938 (l’année de ma naissance), resta fidèle jusque dans l’intimité à sa formation et goûts germaniques. J’ai voulu faire des recherches en feuilletant différents journaux, et dans l’Humanité à la rubrique Vatican, j’ai trouvé cette courte biographie, d’Eugène Pacelli, mais combien intéressante à mon avis. « Dès 1917, Eugène Pacelli, nonce apostolique en Bavière, choisit comme conseiller particulier le docteur Ludwig Kaas, professeur de droit canonique à l’université de Bonn. Ludwig Kaas, avait déjà eu comme étudiants des futures personnalités importantes dans le monde de la politique, tel Robert Schumann, Konrad Adenauer, monsieur Artajo , qui sera ministre espagnol des affaires étrangères du régime franquiste du caudillo Franco. En 1928, monsieur Kaas, devient l’homme le plus influent du parti allemand du centre et il est le directeur de conscience du futur Brüning, fourrier d’Hitler. En 1950, lors de l’année sainte déclarée par le pape Pacelli (Pie XII), nous le retrouvons à Rome, au Vatican, cette fois-ci pourprée comme monseigneur et conseiller privé du pape Pie XII. Toute la suite papale est composée exclusivement de personne allemandes : son confesseur est allemand, la gouvernante sœur Pasqualina, allemande, la langue parlée en privé ce n’est pas le latin de Cicéron, mais la langue de Goethe et comme écrit quelques lignes plus haut, son conseiller privé ibid (égale). A la mort de monseigneur Kaas, c’est un autre allemand, monseigneur Hudal qui sera le conseiller privé du pape Pacelli » Comme vous aurez noté l’histoire de ce pape, est une histoire germanophile, et je pense que c’était à cause de cet amour pour la langue germanique qui l’empêcha d’intervenir contre le petit moustachu, c’est puérile ce que j’écris là, mais c’est ce que je pense. Cette période est vraiment ténébreuse et qui sait si un jour pourra vraiment être éclairée.
«Je ne connais d’autre supériorité que la bonté » écrivit Ludwig, non le Ludwig monseigneur, mais le compositeur Beethoven, c’est pour cela que je ne tiens aucunement l’intention et loin de moi de le faire, un procès d’intention. Le but de mon écrit n’est pas de polémiquer, mais de faire bien comprendre l’histoire de la Bible et de son utilité.
Je pose à nouveau la question Que fait encore de nos jours l’Eglise de Rome? Bientôt grâce aux prophéties de la Bible nous le saurons.


suivre;;;;;;La Bible, l’archéologie et les prophéties

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Message  wiidy Sam 28 Avr 2012 - 17:09

wouahhhhhh hâte de lire la suite je l'attends avec impatiente bounce bounce d'ailleur cela me donne envie de faire des recherches sur ce sujet merci Clab a quand la suite ^^ ???? La Bible un livre pour notre époque? - Page 4 916144
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