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La Bible un livre pour notre époque?

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Message  Invité Lun 30 Avr 2012 - 14:00

wiidy a écrit:... merci Clab a quand la suite ^^ ???? La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 916144
Je crois que tu voulais dire merci Caleb! lol! lol! lol!
Je me joins à toi pour lui demander la suite!!!

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Message  Invité Lun 30 Avr 2012 - 17:22

Alors, la foi chrétienne devrait-elle vaciller sous le poids des théories proposées par les savants et les archéologues ?
Souvenons-nous qu’il s’agit seulement de théories et d’opinions humaines, sensibles aux changements et aux caprices du temps et de la science. Il faut aussi tenir compte de l’élément humain avec ce qu’il comporte d’orgueil et d’ambition. Aussi les paroles du professeur Barret ont-elles l’accent de la vérité (Revue d’archéologie biblique, numéro de janvier/février 1981) " La piété, le patriotisme,, l’idéologie, l’éducation et leurs contraires influencent le jugement de l’archéologue comme ils le font dans le cas de l’historien. Dans les moments de lucidité, chaque archéologue en a conscience ̶ les meilleurs savants le pensent d’eux-mêmes et les autres le pensent de leurs confrères"
Alors ne perdons pas de vue deux facteurs essentiels :
L’archéologie ne nous informe, en général, qu’a titre provisoire. Les résultats assurés d’aujourd’hui ne seront demain peut-être plus que des curiosités.
On reste à côté de la question lorsqu’on dit que l’archéologie confirme ou infirme le témoignage de la Bible. Car celle-ci nous parle de Dieu et de ses relations avec les Hommes, et là-dessus l’archéologie ne peut rien nous apprendre.
[size=18]Puisqu’il en est ainsi, pourquoi tant de gens refusent-ils de croire que la Bible est la Parole de Dieu ?

Manifestement, parce que la Bible prétend être non seulement de l’histoire, mais encore de l’histoire inspirée et, de plus, un récit des rapports de Dieu avec les hommes.
Il est vrai que l’archéologie peut fournir les preuves que les nombreux événements relatés dans la Sainte Parole divine, se sont réellement produits, que les villes et les personnes mentionnées ont réellement existé, mais en aucune façon cette science ne peut prouver le caractère miraculeux de ces événements. Elle ne peut prouver, par exemple, que les villes de Sodome et Gomorrhe furent détruites par Dieu à cause de leur méchanceté et leur dépravation : que les murailles de Jéricho tombèrent au moment voulu grâce à une intervention divine. De même, l’archéologie pourrait confirmer que Jésus-Christ a réellement vécu, mais elle ne pourrait pas prouver qu’il était bien ce qu’il prétendait être le Fils Unique engendré de Dieu, et qu’il est mort pour nos péchés.

QUE DIRE DE SES PROPHÉTIES ?
Une prophétie est «l’annonce d’un événement futur, le récit d’un événement avant qu’il n’arrive».
La Bible est autant un livre de prophéties qu’un livre d’histoire, et les prophéties surtout témoignent qu’elle est bien inspirée. Prédire des faits avec exactitude est le propre de la divinité, et pour prouver notre dire voici que le prophète Isaïe écrivit sous inspiration : « Que toutes les nations se rassemblent, que tous les peuples s'unissent ! Qui parmi eux a proclamé cela et nous a fait connaître les choses anciennes ? Qu'ils produisent leurs témoins et qu'ils se justifient, qu'on les entende et qu'on dise : C'est la vérité !10 C'est vous qui êtes mes témoins, oracle de Yahvé, vous êtes le serviteur que je me suis choisi, afin que vous le sachiez, que vous croyiez en moi et que vous compreniez que c'est moi : avant moi aucun dieu n'a été formé et après moi il n'y en aura pas.11 Moi, c'est moi Yahvé, et en dehors de moi il n'y a pas de sauveur.12 C'est moi qui ai révélé, sauvé et fait entendre, ce n'est pas un étranger qui est parmi vous, vous, vous êtes mes témoins, oracle de Yahvé, et moi, je suis Dieu, »Bible de Jérusalem
Il existe c’est vrai différentes façons de prouver que les prophéties de la Bible se sont réellement accomplies. Nous avons notamment le témoignage des historiens. Flavius Joseph, par exemple, déjà cité à plusieurs reprises dans mon écrit, historien juif du premier siècle, rapporte que cinq ans après la chute de Jérusalem en 607 av.N.E., Néboukadretsar dévasta Amon et Moab, accomplissant ainsi la prophétie d’Ezékiel que voici : « Et la parole de l’Éternel vint à moi, disant : 2 Fils d’homme, tourne ta face vers les fils d’Ammon, et prophétise contre eux, 3 et dis aux fils d’Ammon : Écoutez la parole du Seigneur, l’Éternel ! Ainsi dit le Seigneur, l’Éternel : Parce que tu as dit : Ha ha ! Contre mon sanctuaire, quand il a été profané, et contre la terre d’Israël quand elle a été désolée, et contre la maison de Juda, quand elle est allée en captivité : 4 à cause de cela, voici, je te donne en possession aux fils de l’orient, et ils établiront chez toi leurs parcs, et placeront chez toi leurs demeures ; ils mangeront tes fruits et boiront ton lait. 5 Et je ferai de Rabba un pâturage pour les chameaux, et [du pays] des fils d’Ammon un gîte pour le menu bétail ; et vous saurez que je suis l’Éternel. 6 Car ainsi dit le Seigneur, l’Éternel : Parce que tu as battu des mains et que tu as frappé du pied, et que tu t’es réjoui dans tout le mépris que tu avais en ton âme contre la terre d’Israël, - 7 à cause de cela, voici, j’étendrai ma main sur toi et je te livrerai en proie aux nations, et je te retrancherai d’entre les peuples, et je te ferai périr d’entre les pays ; je te détruirai, et tu sauras que je suis l’Éternel.
8 Ainsi dit le Seigneur, l’Éternel : Parce que Moab et Séhir ont dit : Voici, la maison de Juda est comme toutes les nations ; 9 à cause de cela, voici, j’ouvre le côté de Moab par les villes, par ses villes, jusqu’à la dernière, la gloire du pays, Beth-Jeshimoth, Baal-Méon, et Kiriathaïm ; 10 [je l’ouvre] aux fils de l’orient, avec [le pays] des fils d’Ammon ; et je le leur donnerai en possession, afin qu’on ne se souvienne plus des fils d’Ammon parmi les nations
; » Bible version de Darby
Oui, les fouilles archéologiques ont témoigné à maintes reprises de l’accomplissement des prophéties.
Jéhovah Dieu, n’a jamais manqué à sa parole selon Isaïe 46 :11: «Oui, je l’ai prononcé, et je le ferai survenir » .
Josué, serviteur de Dieu qui avait conduit les Israélites en Terre promise, écrivit : «De toutes les bonnes promesses que Jéhovah avait faites à la maison d’Israël, pas une promesse ne resta sans effet, tout se réalisa » Josué 21 :45 ; 23 :14


CES PROPHETIES SONT ELLES REELLES?

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Message  wiidy Lun 30 Avr 2012 - 17:33

line a écrit:
wiidy a écrit:... merci Clab a quand la suite ^^ ???? La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 916144
Je crois que tu voulais dire merci Caleb! lol! lol! lol!
Je me joins à toi pour lui demander la suite!!!


affraid affraid affraid oups désolé Caleb pour ton prénom oups
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Message  wiidy Lun 30 Avr 2012 - 18:09

merci pour l'article Caleb ^^ sa fait plaisir surtout que j'aime cela les recherches et comparés avec ce que je peut trouvé.
Line merci de m'avoir fait remarqué mon erreur pour le prénom de Caleb merci La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 302150
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Message  Invité Lun 30 Avr 2012 - 20:16

SUITE???????


En ce qui concerne Babylone, la nation qui causa la désolation d’Israël et emmena ses habitants en captivité, le prophète Jérémie prédit ce qui suit : « A cause de la colère de Jéhovah, elle ne sera plus habitée, ce ne sera plus qu’une solitude ; quiconque passera près de Babel s’étonnera et sifflera à la vue de ses plaies(…) Jamais plus personnes n’y habitera ; elle sera sans habitants d’âge en âge. » Jérémie 50 :13,39 version catholique Crampon 1935.
Cette prophétie se réalisa-t-elle ?
Laissons la parole au célèbre et illustre archéologue français André Parrot : «Nous avons visité Babylone pour la première fois en 1938, pour la dernière, vingt ans après, en 1950. A plusieurs reprises, entre ces deux dates, nous y sommes revenus. Ce fut toujours la même impression : un anéantissement. A proximité de Bagdad, la ville reçoit à peu près quotidiennement sa cargaison de touristes. Ils rentrent généralement déçus (…) On ne leur a montré que de monceaux de ruines (…) tout, ou presque, était en briques crues.(…)La destruction due à la main des hommes s’est trouvée aggravée par les ravages de la nature. Celle-ci a finalement raison de tout ce qui a été ramené au jour (…) Tout ce que Koldewey (un archéologue) avait patiemment ramené à la lumière, est donc voué à une disparition certaine. » Selon Babylone et l’Ancien Testament (opéra cité)
Faisons un peu d’histoire.
Babylone devint "le joyau des royaumes". (Isaïe 13:19) Idéalement située sur la route marchande reliant le Golfe Persique à la Méditerranée, la ville faisait office d’entrepôt géant pour le commerce maritime et terrestre entre l’Est et l’Ouest. Pourtant, au VIIIème siècle avant notre ère, avant même que la ville n’atteigne le sommet de sa gloire, le prophète Isaïe annonça que Babylone serait ‘balayée avec le balai de la destruction’. (Isaïe 13:19 ; 14:22,23) Isaïe décrivit d’ailleurs dans le détail la chute de Babylone : L’envahisseur rendrait la ville vulnérable en ‘asséchant’ l’Euphrate, touchant donc au système défensif que représentait le fleuve. Isaïe fournit même le nom du conquérant : "Cyrus", grand roi de Perse, ‘devant qui s’ouvrirait les portes à deux battants, de sorte que les portes ne seraient pas fermées’. — Isaïe 44:27-45:2.
Des prédictions bien audacieuses, n’est-ce pas ? La prophétie s’est-elle réalisée ? Laissons répondre l’Histoire.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Ce fut pendant la nuit en l’an 539 avant notre ère, soit deux siècles après la prophétie d’Isaïe, les armées médo-perses sous les ordres de Cyrus le Grand campent non loin de Babylone. Mais dans la ville, on reste confiant, malgré l’avertissement du Prophète Daniel qui prédit à Belshatsar, roi de Babylone que son royaume sera renversé et donné aux Mèdes et aux Perses cette nuit même (Daniel 5). D’après l’historien grec Hérodote (Vème siècle av. n. è.), leurs provisions auraient permis aux babyloniens de tenir des années. Et puis, il y avait l’Euphrate, et les imposantes murailles de la ville. Pourtant, dit la chronique de Nabonide, cette même nuit "les troupes de Kurash (Cyrus) entrèrent sans combat à Babylone". Comment cela fut-il possible ?
Selon Hérodote, c’est alors pour les habitants de la ville "un jour de fête ; ils dansent pendant ce temps et se livrent aux plaisirs". Mais, à l’extérieur, Cyrus a dévié les eaux de l’Euphrate. Quand le niveau d’eau leur arrive à mi-cuisses, ses soldats avancent dans le lit de la rivière. Ils longent les murs d’enceintes et entrent par ce qu’Hérodote appelle "les poternes menant au fleuve",
les portes imprudemment laissées ouvertes (voir Daniel 5:1-4 ; Jérémie 50:24 ; 51:31,32). La chute soudaine de Babylone devant Cyrus est confirmée par d’autres historiens, dont Xénophon (vers 431à 352 av. n. è.), ainsi que par des tablettes cunéiformes retrouvées par les archéologues.
Pendant une courte période, la cité servit de résidence officielle au prince héritier, jusqu’à ce qu’une révolte locale, en 482 av.N.E., poussât Xerxès 1er a raser les temples et la ziggourat, et à fondre la statue du dieu de la ville, Marduk.
En 330 av.N.E., Alexandre le Grand s’empare de Babylone, manifesta l’intention de reconstruire la ville pour en faire la capitale de son vaste empire, mais mourut avant d’avoir pu réaliser son projet.
Souvenons-nous des paroles du prophète Jérémie rapportés plus haut : «Jamais plus personnes n’y habitera ; elle sera sans habitants d’âge en âge. » Après 312 av.J.C, Babylone fut pendant un certain temps la capitale des Séleucides qui prirent la succession d’Alexandre. Mais lorsque la nouvelle capitale, Séleucie du Tigre fut fondée au début du 3ème siècle avant Jésus Christ, la plus grande partie de la population de Babylone y fut transférée. Les temples furent maintenus quelques temps, mais la ville déclina et il n’en restait presque plus rien lors de la montée de l’Islam au 7ème siècle E.V.. Incontestablement, les faits prouvent de façon irrécusable que les prophéties bibliques concernant Babylone continuent de se vérifier.
Mes chers amis, pouvons-nous imaginer des villes comme Washington, new York, Londres, Tokyo ou Paris, devenues à ce point un endroit désertique que pendant des siècles on douterait de leur emplacement ? C’est ce qui arriva à une des plus grandes cités de l’Antiquité, je cite la ville de Ninive capitale de l’Assyrie. Cette désolation est également la réalisation d’une prophétie biblique. Jéhovah condamna cette ville par la bouche de son fidèle serviteur Tséphania disant : « Il fera de Ninive une solitude, une terre aride comme le désert » Tse. 2 :13,14

A SUIVRE DESTRUCTION DE NINIVE

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Message  Invité Mer 2 Mai 2012 - 10:46

Caleb a écrit:

En ce qui concerne Babylone,
Laissons la parole au célèbre et illustre archéologue français André Parrot : «Nous avons visité Babylone pour la première fois en 1938, pour la dernière, vingt ans après, en 1950. A plusieurs reprises, entre ces deux dates, nous y sommes revenus. Ce fut toujours la même impression : un anéantissement. »

JEHOVAH l'avait annoncé : “ Je la balaierai avec le balai de l’anéantissement. ” — Isaïe 14:22, 23
Merci Caleb, la suiteeeeeeeeeee bounce bounce bounce

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Message  Invité Mer 2 Mai 2012 - 11:39

Faisons l’historique de la Ville de Ninive nous servant du livre biblique du prophète Nahum 3.1-19.

Ninive, la capitale de ce royaume d'Assyrie, semble avoir été fondée par Nimrod, le rebelle, peu avant le déluge (Gen. 10 : 8-12). Ses habitants, animés du même esprit que « ce puissant chasseur devant Jéhovah » prenaient plaisir à « faire la chasse » aux nations, considérées comme des proies (Nah. 2 : 11-13). Le livre de Dieu, qui a consigné l'orgueil de Ninive « dès le jour où elle exista » (v. 8), nous fait assister ici à sa fin subite, à l'exécution du verdict. Celui qui brise est monté contre elle. Ninive est ironiquement invitée à se défendre : « Garde la forteresse, surveille le chemin, fortifie tes reins, affermis beaucoup ta puissance » (v. 1). Or nous savons bien, par expérience, que « si Dieu ne garde la ville, celui qui la garde veille en vain » (Ps. 127 : 1).
Dans ces conditions, toutes les précautions de Ninive pour se prémunir contre un agresseur, ne peuvent que se révéler inutiles. La ville est en effet attaquée, prise d'assaut, pillée et détruite. On raconte qu'au cours du siège contre la ville, le fleuve Tigre dont les eaux jusque là isolaient et protégeaient la ville, s'enfla à la suite d'une crue subite (v. 6, 8) qui emporta une partie du rempart. Par cette brèche s'introduisirent des soldats impitoyables. Ils sont décrits, envahissant les rues et les maisons ! Suivent alors des scènes de meurtre et de pillage (v. 3-4, 8-10).
Le livre de Nahum contenait des prophéties très claires relatives à la destruction de Ninive, et il y est écrit : « Les portes des fleuves sont ouvertes, et le palais s'est fondu. » - « Ninive a été comme un vivier d'eau. » - « Il s'en va passer comme un débordement d'eau, il réduira son lieu à néant. »
L’historien Diodore de Sicile rapporte encore des faits qui prouvent l'entier accomplissement des autres paroles du prophète. Il raconte que le roi d'Assyrie, orgueilleux de ses précédentes victoires, et ignorant la révolte des Bactriens, s'était abandonné à la plus honteuse inertie, qu'il avait ordonné une réjouissance publique, et qu'il avait fait distribuer aux soldats du vin en grande abondance ; que, pendant la fête même, le général ennemi, averti par des déserteurs, attaqua à l'improviste l'armée des Assyriens qui, ayant bu avec excès, ne furent plus en état de se défendre ; il fit passer la plupart d'entre eux au fil de l'épée, et força les autres à se réfugier dans la ville.
Ninive est vidée, dépouillée, et dévastée. Toute résistance s'avère impossible, le cœur de ses habitants se fond… une poignante douleur est dans tous les reins (v. 10). Ainsi passe le monde avec sa gloire, son arrogance, ses mépris et ses blasphèmes. L'histoire, telle que les hommes l'écrivent, se plaît à décrire la grandeur assyrienne, sa belle architecture, les trésors accumulés, l'or et l'argent, tous leurs pillages dans les nations asservies ; par contre elle reste à peu près muette sur son effondrement.
Pour les historiens, Ninive, affaiblie, est tombée sous les coups de butoir d'une coalition de vassaux, révoltés par sa domination oppressive et cruelle. Pour Dieu, le malheur est venu sur elle, parce qu'elle était une « ville de sang, pleine de fausseté, de violence et de rapine » (v. 1). Récoltant ce qu'elle avait semé (Gal. 6 : 7), elle a connu le même sort que celui qu'elle avait fait subir à la ville égyptienne de Thèbes, un demi-siècle auparavant. Jéhovah Dieu lui-même va avilir Ninive et la donner en spectacle (v. 7a).
« Qui la plaindra ? » (v. 7b ; voir Jér. 15 : 5). Un égoïsme forcené habite en général dans les habitants de ce monde. Ceux qui ne sont pas personnellement frappés, ne tardent pas à s'accommoder du malheur des autres.

Même les marchands, auparavant « plus nombreux que les étoiles », l'ont abandonné. « D'où te chercherai-je des consolateurs » ? , avait demandé le prophète (v. 7), lui dont le nom signifiait précisément consolateur. « Il n'y a pas de soulagement à ta blessure ; ta plaie est très-maligne », doit-il déclarer à la fin de son livre (v. 19).
Le fait que beaucoup de prophéties s’accomplirent à leur époque même donna aux hommes sincères la conviction que Dieu a le pouvoir de mener à bien son dessein envers et contre toute opposition.
Que lui, et Lui seul, ait pu prédire des événements et les faire advenir fut une preuve de sa Divinité sans égale (Is. 41 : 21-26 ; 46 : 9-11) Rappelons-nous de la prophétie de Jérémie, dite des soixante-dix années de déportation à Babylone.
La première année du roi Cyrus, le roi a donné ordre concernant la maison de Dieu qui est à Jérusalem. Ce temple devait être reconstruit pour être un lieu de culte. Le retour de tout un peuple déborde le cadre de son histoire particulière ; il intéresse le destin du monde entier. Selon le mot d’une américaine, Mary Ellen Chase, qui tenait un cours intitulé : «La Bible comme littérature » : «L’avenir du monde était en marche avec cette migration. S’il existe une Bible telle que nous la connaissons, une foi juive, un christianisme et des siècles de civilisation occidentale, c’est à elle que nous le devons. Sans le retour à Jérusalem, Juda aurait sans doute partagé le sort d’Israël, se serait mêlé aux populations de l’Orient et aurait perdu finalement ce qui le distinguait comme peuple. »
Existe-t-il un autre livre dont les prophéties se sont réalisées de cette façon ou, la Bible est-elle un livre comme les autres ? Qu’en pensez-vous ?



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Message  Invité Mer 2 Mai 2012 - 16:00

Caleb a écrit:
Le fait que beaucoup de prophéties s’accomplirent à leur époque même donna aux hommes sincères la conviction que Dieu a le pouvoir de mener à bien son dessein envers et contre toute opposition.
Que lui, et Lui seul, ait pu prédire des événements et les faire advenir fut une preuve de sa Divinité sans égale (Is. 41 : 21-26 ; 46 : 9-11)
“ Je l’ai dit, déclare Jéhovah ; je vais aussi le faire. ” Isaïe 46:9-11
Caleb a écrit:
Existe-t-il un autre livre dont les prophéties se sont réalisées de cette façon ou, la Bible est-elle un livre comme les autres ? Qu’en pensez-vous ?
NON La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 320538 La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 320538 La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 320538

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Message  Invité Mer 2 Mai 2012 - 17:08

SUITE......

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Dieu n’a pas seulement promis un Messie qui délivrerait les humains des effets du péché et de la mort ; il a également fourni un grand nombre de prophéties qui permettraient de l’identifier.
Voici quelque-ne, dont la réalisation échappait au pouvoir de Jésus
o Il avait été annoncé des siècles à l’avance que le Messie promis naîtrait à Bethléhem, d’une vierge (comparer Mika 5 :2 avec Mat. 2 :3-9 ; Isaïe 7 :14avec Mat.1 :22,23)
o Il serait trahi pour 30 pièces d’argent Zekaria 11 :12,13 ; Mat.27 :3-5). Aucun de ses os ne serait brisé, et on jetterait les sorts sur ses vêtements. Comparer Psaume 34 :20 avec Jean 19 :36 ; Psaume 22 :18 avec Mat. 27 :35
Indiscutablement, les promesses de Dieu sont dignes de confiance. Ce sont les humains qui sont sujets à l’erreur. Les vrais chrétiens continueront donc de se tenir dans l’attente, conformément au commandement de Jésus.
L’accomplissement à notre époque, de certaines prophéties bibliques, montre que nous vivons «les derniers jours » (2 Tim. 3 :1-5). Je ne veux pas rentrer dans le catastrophisme que c’est une pure réalité des fait et l’accomplissement des prophéties de la Bible, mais malgré tout nous assistons à cet accroissement des angoisses parmi les gens conformément à ce que Jésus avait annoncé dans l’évangile selon Luc 21 : 25,26 "Les hommes défailliront de peur et à cause de l’attente des choses venant sur la terre habitée"
Un grand quotidien rapporté ceci : (Le fait est qu’aujourd’hui le sentiment qui nous domaine le plus, c’est la peur). Et, une revue à fort tirage, abondait dans le même sens : «Jamais l’humanité n’a autant vécu dans la crainte qu’aujourd’hui »
Quantité de facteurs contribuent à cette atmosphère de peur qui gagne le monde entier : les crimes violents, le chômage en continuelle augmentation, l’instabilité économique liée à l’endettement chronique et incurable d’un grand nombre de nations, la pollution de l’environnement à l’échelle planétaire, l’absence de liens familiaux solides et fondés sur l’amour, et le sentiments accablant que l’humanité est en grand danger de se détruire dans une guerre nucléaire. Les terribles actes connus ces dernières semaines en France, lorsque un individu à tué une dizaine de personnes dans le sud du pays avant que lui-même soit tué par les forces de police.
Le prophète Isaïe compara les méchants de la terre, les masses éloignées de Dieu, au mugissement de la « mer » en ces termes « Mais les méchants sont comme la mer agitée, lorsqu’elle ne peut se calmer, dont les eaux rejettent sans cesse algues et boue ». Is.57 :20. Et dans le dernier livre de la Bible, la Révélation (Apocalypse) 17 :1,5 est expliqué que les eaux représentent des peuples, de foules, des nations et des langues.

La Bible ou l’ouvre mondiale d’enseignement biblique

Un lever e soleil s’accompagne souvent, non de l’attente d’événements joyeux, mais de la crainte de ce que le jour pourra apporter, à l’heure où paraissent la lune et les étoiles, la peur du crime pousse les gens à s’enfermer à double tour. C’est au XXème siècle, et pas avant, qu’on s’est servi d’avions et de missiles pour semer brutalement la destruction du haut des cieux. Des sous-marins porteurs de grappes mortelles de missiles sillonnent les mers et les océans, chacun étant capable d’anéantir villes. Il n’est donc guère étonnant que les nations soient dans l’angoisse.
Ce signe inclut également l’activité mondiale des plus de 7000000 de ministres chrétiens ordonnés, les Témoins de Jéhovah, qui prêchent la bonne nouvelle du Royaume instauré de Dieu dans plus de 236 pays et territoires selon Matthieu 24 :3-14 et Luc 21 :10,11
UNE QUESTION SE POSE : POURQUOI CETTE ACTIVITE MONDIALE ?
Selon la Bible, le monde est sur le point de connaître un bouleversement stupéfiant. De même que Jésus a prédit aux gens de son époque des événements qui leur permettraient de discerner la proximité de la destruction de Jérusalem, de même il a annoncé des événements qui allaient nous permettre aujourd’hui de savoir que ce changement universel est proche.
Jésus a donné ce « signe » en réponse à la question suivante de ses disciples : «Quel sera le signe de ta présence et de la clôture du système de choses ? » Mat. 24 :3
Cependant d’aucun diront que depuis que le monde est monde bon nombre de ces choses existaient aussi dans les siècles passés
En quoi est-ce donc différent aujourd’hui ?

Premièrement : «tous les événements constituant le signe composé donné par le Christ, sont observés par une même génération. »
Et, deuxièmement: ces événements s’accompagnent « d’une transformation du comportement et des actions des hommes eux-mêmes », ainsi que Jésus l’avait annoncé en ces termes : «l’amour du grand nombre se refroidira ». Depuis la Seconde Guerre Mondiale, de nombreux régimes dictatoriaux ont créé des camps de concentration. Ainsi les régimes communistes d’Asie, ont interné de nombreux hommes femmes et enfants dans des camps appelés des « camps de rééducation »
Dans les années 1950, les Britanniques avaient établi des camps de détention d’urgence au Kenya !
Dans les années 1960, le gouvernement Indonésien a interné des dissidents dans des camps.
Dans les années 1970, le régime militaire Argentin a ouvert secrètement des camps de détention où sont morts des centaines de personnes hostiles au régime militaire du triste général V…..
Et enfin dans un pays qui prône la liberté des droits de l’homme on a ouvert des camps dit de rétention pour le sans papiers, qui à mon avis sont des prisons déguisées. Selon le rapport 2009 de la Cimade, plus de 35 500 étrangers ont été placés en centre de rétention en 2009 (32 268 en 2008), parmi lesquels 318 enfants dont 80 % avaient moins de 10 ans.
L’absence d’amour que nous constatons aujourd’hui est donc l’une des preuves que le monde vit ses derniers jours. Ainsi, il y a lieu d’être optimiste, car cela signifie que ce monde éloigné de Dieu cédera bientôt la place à un monde nouveau de justice régi par l’amour. — Matthieu 24:3-14 ; 2 Pierre 3:7, 13.
Mais est-il vraiment réaliste de croire qu’un tel changement est possible, que tous les humains peuvent apprendre à s’aimer et à vivre en paix les uns avec les autres ?
La Bible avait également annoncé que « dans la période finale de jours » des gens de toutes nations iraient figurément parlant, «à la montagne de Jéhovah » où Il « les instruirait de ses voies ». Parlant d’un des résultats de cet enseignement, la prophétie ajoutait : «Ils devront forger leurs épées en socs de charrue et leurs lances en cisailles à émonder (…) et ils n’apprendront plus la guerre. » Is. 2 :2-4.
L’attitude bien connue des Témoins chrétiens de Jéhovah envers la guerre constitue à cet égard un accomplissement évident de cette prophétie.
Martin Niemöller, pasteur protestant allemand avant et après la Seconde Guerre Mondiale, parla des Témoins de Jéhovah comme d’étudiants de la Bible très sérieux qui, par centaines, voire par milliers, sont allés dans les camps de concentration et y sont morts parce qu’ils refusaient de participer à la guerre et de tirer sur des humains. Par contraste, ce pasteur continue :
«Au cours des siècles les Eglises dites chrétiennes (c’est moi qui ajoute le mot dites) ont toujours accepté de bénir les guerres, les armes et (…) attitude absolument non chrétienne, elles ont prié pour l’anéantissement de leurs ennemis. » Qui donc porte la marque d’identification des véritables chrétiens ? Marque que Jésus a définie lui-même en disant : «A ceci tous reconnaîtrons que vous êtes mes disciples : si vous avez de l’amour entre vous. » Jean 13 :35 Comme cela ressort clairement par cette déclaration apostolique contenue dans 1 Jean 3 :10-12 «. 10 Par là sont manifestes les enfants de Dieu et les enfants du Diable : tout homme qui ne pratique pas la justice ne vient pas de Dieu, pas plus que celui qui n’aime pas son frère. 11 Car voici le message que vous avez entendu dès [le] commencement : que nous nous aimions les uns les autres ; 12 non pas comme Caïn, qui venait du méchant et qui a tué son frère. Et pourquoi l’a-t-il tué ? Parce que ses œuvres étaient mauvaises, mais celles de son frère [étaient] justes. »
Les serviteurs de Dieu ne s’entretuent pas.
L’histoire se fait, puis elle s’écrit. Le goût pour les ouvrages historiques va croissant, pour toutes sortes de raisons. Comme nous venons de le lire plus haut, les inquiétudes face au présent, la recherche de la sécurité dans nos « racines ». Les désirs des connaissances est vivace : le succès de ces livres répond pour une part à la médiocrité et à la démission des médias audiovisuels.
De l’encyclopédie œnologique au guide touristique, en passant par le manuel du bricolage ou de jardinage, aucun domaine n’échappe à la vigilance des éditeurs, pour qui des livres pratiques constituent un socle solide, peu sensible aux caprices de la mode.
Au 20èmesiècle, les ouvrages religieux et politiques battent tous les records de tirage, sinon de vente. Au cours des trente dernières années les livres consacrés à la spiritualité et à la méditation ont connu une vogue exceptionnelle. Pour les adeptes des nouveaux mouvements, ces ouvrages deviennent quasiment des livres à tenir en haute estime.
A une époque comme la nôtre, qui se meurt de certitudes en même temps que meurent les certitudes, comme le disait Leonardo Sciascia célèbre écrivain italien «La vérité ne change pas, elle reste identique, qu’elle soit enseignée par un grand orateur ou un piètre causeur »
Certains enseignements relatifs au « changement de personnalité, conduisant l’individu de son état de pauvreté spirituelle à la recherche de Dieu » sont fortement contestés. L’exemple le plus frappant est la campagne de discrimination et diffamatoire faite à l’encontre des Témoins de Jéhovah encore dans certains pays.


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Message  Invité Mer 2 Mai 2012 - 19:01

Caleb a écrit:
L’absence d’amour que nous constatons aujourd’hui est donc l’une des preuves que le monde vit ses derniers jours. Ainsi, il y a lieu d’être optimiste, car cela signifie que ce monde éloigné de Dieu cédera bientôt la place à un monde nouveau de justice régi par l’amour. — Matthieu 24:3-14 ; 2 Pierre 3:7, 13.
Encore, encore Caleb! bounce bounce bounce

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Message  Nic Mer 2 Mai 2012 - 19:41

Et l'encyclopédie continue, toujours aussi interessant les sujets...
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Message  Invité Jeu 3 Mai 2012 - 5:26

Que dire du recul des grandes religions ?

Dans notre monde occidental surtout de plus en plus de gens cherchent leur salut en dehors des Eglises traditionalistes, qui, dans une société purement matérialiste et face à des Eglises peu enclins à s’adapter à l’évolution du monde, offrent des rites inédits, une spiritualité, une aide morale et une vie de groupe étiré. On observe au sein de l’Eglise de Rome, une tendance intégriste visant à l’instauration des aspects les plus conservateurs et sectaires du catholicisme, notamment le retour au traditionalisme de Pie X et à la messe en latin.
L’heure est venue pour les Eglises de demander pardon au Christ, a Dieu, plutôt qu’aux hommes, pour leur infidélité et les trahisons de ses ministres, spécialement l’autorité constitué au sommet de leur hiérarchie.
Que faire ? Faut-il taire ou crier sur les toits l’infiltration du mal dans les Eglises dites chrétiennes ? Le silence est d’or, mais il est des silences qui tuent : plus précisément, le silence qui tait le mal pour ne pas faire de scandale, comme ce fut le cas d’un pontife lors de la Seconde Guerre Mondiale, dont on a tiré un film « Amen », peut confiner à la complicité avec qui sème l’ivraie, sous prétexte de respecter le libertinage des autres, le silence revient à laisser les choses suivre leur cours plutôt que di s’indigner du mal qui se répand autour de Dieu.
LA HIÉRARCHIE catholique cherche à faire disparaître l’usage du nom divin des offices religieux. L’an dernier, en réponse à une “ directive ” du pape, la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements a adressé des instructions à ce sujet aux conférences épiscopales tenues dans le monde entier.
Le document, en date du 29 juin 2008, dénonce le fait qu’en dépit d’instructions contraires, la pratique consistant à “ prononcer le nom propre du Dieu d’Israël, connu comme le saint ou divin tétragramme, formé de quatre consonnes de l’alphabet hébraïque, יהוה (YHWH) ”, s’est répandue ces dernières années. Le nom divin aurait été rendu par Yahweh, Jahweh, Yehovah, etc. La directive du Vatican entend bien rétablir la position traditionnelle de l’Église, pour qui le tétragramme doit être remplacé par “ Seigneur ”. Pour tout dire, le nom de Dieu “ sous la forme du tétragramme YHWH ne doit être ni employé ni prononcé ” dans les offices religieux, les chants et les prières.
À l’appui de sa position, le Vatican invoque la “ tradition immémoriale ” du catholicisme. La directive prétend que, même dans la Septante — traduction des Écritures hébraïques remontant à l’époque préchrétienne — le nom divin était régulièrement rendu par Kurios, mot grec pour “ Seigneur ”. De ce fait, conclut le document, “ les chrétiens, depuis le début, n’ont jamais prononcé le tétragramme divin ”. Or, cette affirmation fait abstraction de preuves démontrant le contraire. Les exemplaires les plus anciens de la Septante contenaient non pas le mot Kurios, mais le nom divin sous la forme יהוה. Les premiers disciples du Christ connaissaient donc le nom de Dieu. Ils le prononçaient également. Jésus lui-même a déclaré dans une prière adressée à son Père : “ Je leur ai fait connaître ton nom. ” (Jean 17:26). Et, dans le Notre Père, il nous enseigne à prier ainsi : “ Notre Père dans les cieux, que ton nom soit sanctifié. ” — Matthieu 6:9.
Tout chrétien devrait souhaiter que le nom de Dieu soit sanctifié. Les efforts du Vatican visant à faire disparaître ce nom déshonorent Jéhovah, qui a dit :
C’est mon nom pour toujours, c’est ainsi que l’on m’invoquera de génération en génération. ” — Exode 3:15, Bible de Jérusalem.
Et pourtant, depuis 2000 ans, la Bible a orienté, inspiré, aidé réconforté une multitude d’hommes et femmes dans le monde entier, comme vous aurez vu au début de ce document. L’intérêt qu’elle suscite, loin de se démentir, est toujours aussi grand, et les traductions ou versions modernes, la mettent à la portée de tous. Bien qu’elle ressemble à un ouvrage théologique, elle est très différente des livres de théologie actuellement sur le marché. Elle n’est aucunement une «collection d’idées abstraites sur Dieu». Au contraire, elle nous révèle le caractère de Dieu, en nous rapportant ses interventions dans l’histoire, en premier lieu de la nation d’Israël, et par la suite la vie des premiers chrétiens dans une Eglise naissante.
Il faut reconnaître que bien que nous en sachions beaucoup sur la Bible, nous sommes loin de tout connaître à son sujet. A ce propos, me vient à la mémoire une discussion devant les cameras de télévision, quelque temps avant la mort, du célèbre violoncelliste Pablo Casals.
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Au journaliste que lui posa cette question : «Maître, connaissez-vous bien votre violoncelle ? » Le violoncelliste répondit : «Après une bonne quarantaine d’années que je le joue, je ne suis pas parvenu à le connaître à fond, idem pour la musique » Quel bel exemple d’humilité. Pour nous aussi, en tant que lecteurs assidus de la Bible, devrions être aussi imprégnés de ses paroles.
N’oublions pas non plus que des nouvelles découvertes suscitent des questions encore jamais posées. Peut-être viendrons-nous un jour à dire face à certains de ces passages restés obscurs à nos yeux. Que signifient-ils ? Comment les comprendre ?

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Message  Invité Jeu 3 Mai 2012 - 11:56

Que faire ? Faut-il taire ou crier sur les toits l’infiltration du mal dans les Eglises dites chrétiennes ? Le silence est d’or, mais il est des silences qui tuent : plus précisément, le silence qui tait le mal pour ne pas faire de scandale, comme ce fut le cas d’un pontife lors de la Seconde Guerre Mondiale, dont on a tiré un film « Amen », peut confiner à la complicité avec qui sème l’ivraie, sous prétexte de respecter le libertinage des autres, le silence revient à laisser les choses suivre leur cours plutôt que di s’indigner du mal qui se répand autour de Dieu.
LA HIÉRARCHIE catholique cherche à faire disparaître l’usage du nom divin des offices religieux. L’an dernier, en réponse à une “ directive ” du pape, la Congrégation pour le Culte divin et la Discipline des Sacrements a adressé des instructions à ce sujet aux conférences épiscopales tenues dans le monde entier.
Le document, en date du 29 juin 2008, dénonce le fait qu’en dépit d’instructions contraires, la pratique consistant à “ prononcer le nom propre du Dieu d’Israël, connu comme le saint ou divin tétragramme, formé de quatre consonnes de l’alphabet hébraïque, יהוה (YHWH) ”, s’est répandue ces dernières années. Le nom divin aurait été rendu par Yahweh, Jahweh, Yehovah, etc. La directive du Vatican entend bien rétablir la position traditionnelle de l’Église, pour qui le tétragramme doit être remplacé par “ Seigneur ”. Pour tout dire, le nom de Dieu “ sous la forme du tétragramme YHWH ne doit être ni employé ni prononcé ” dans les offices religieux, les chants et les prières.
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Message  Invité Jeu 3 Mai 2012 - 13:22

EXAMINONS QUELQUES TEXTES BIBLIQUES

Exode 3 :1 Quel genre de prêtre était Yithro le beau-père de Moïse ?
Etant vraisemblablement le patriarche de la tribu de Madian, Yithro était tenu de l’enseigner et de la diriger sur le plan profane et religieux. Puisque les Madianites descendaient d’Abraham par Kétura, la femme que le patriarche avait prise quelque temps après la mort de Sara. Ils avaient une certaine connaissance du culte de Jéhovah que leur ancêtre avait prescrit à sa maisonnée. Les Ecritures ne nous révèlent pas le degré de pureté de leurs pratiques religieuses, toutefois à l’époque de Moïse, les Madianites gardaient encore le souvenir de la pure adoration. La positon de Yithro en tant que prêtre était tout au plus une fonction qu’il avait hérité de ses pères, ou a laquelle sa tribu l’avait nommé, plutôt qu’une tâche spécialement attribué par Jéhovah. Quoi qu’il en soit, Yithro témoigna d’une grande vénération pour Jéhovah bien qu’il n’ait pas été directement ordonné par lui.
Exode 4 :11 Jéhovah est-il responsable de tares telles que la cécité ?
NON, Jéhovah n’est pas responsable de chaque cas de tares physiques telles que la cécité et la surdité. Celles-ci sont plutôt apparues parce que Dieu a permis la venue au monde d’une race humaine imparfaite après qu’Adam et Eve, devenus pécheurs, ont perdu leur propre perfection et, partant leur capacité d’engendrer des enfants parfaits (Job 14 :4 ; Romains 5 :12). De génération en génération, les imperfections, y compris les tares physiques, se sont manifestées de plus en plus fréquemment parmi les descendants..
Jéhovah pouvait donc parler de lui-même comme de celui qui « établit » le muet, le sourd et l’aveugle dans le sens qu’il a permis qu’il en soit ainsi. Mais en fait, il n’a causé la surdité et la cécité physique qu’en certaines circonstances seulement, et dans des buts bien précis (Gen. 19 :11 ; Luc 1 :20-22, 62-64 ; Actes 13 :8-11) D’autre part, quand des gens choisissent d’être spirituellement sourds et aveugles, Dieu les laisse s’obstiner dans l’incroyance et le rejet de ses avertissements. Il « établit » ainsi le sourd et l’aveugle figurément parlant (Isaïe 6 :9,10). En revanche, il accorde l’ouïe et la vue spirituelle à ceux qui herchent à lui plaire. Ce Dieu aimant libérera l’humanité de la cécité et de tous les autres handicaps physiques par le moyen de son Royaume dirigé par son fils Christ Jésus.
En lamentations 4 :10, pourquoi des mères qui avaient mangé leurs enfants sont-elles qualifiées de « femmes compatissantes » ?
Décrivant la situation désespérée des Juifs pendant le siège de Jérusalem par les Babyloniens en 607 avant notre ère, Jérémie a écrit : «Les mains de femme compatissantes ont fait cuire leurs enfants. Ils sont devenus pour vous comme du pain de réconfort durant l’effondrement de la fille de mon peuple » Lamentations 4 :10
Des siècles auparavant le prophète Moïse avait averti les Israélites que dans l’avenir ils connaîtraient soit « la bénédiction » soit la « malédiction ». Ils goûteraient des bénédictions s’ils garderaient les commandements de Dieu, mais ils s’attireraient des souffrances s’ils rejetaient ses justes voies. Le fait qu’ils en seraient réduits à manger leurs enfants serait l’une de ces terribles conséquences (Deut.28 :1,11-15, 54, 55 ; 30 :1 ; Lev.26 :-5,239). Cela s’est effectivement produit après que Jéhovah eut abandonné cette nation désobéissante et sans foi aux mains des Babyloniens en 607 comme porté plus en avant.
Dans ce texte de Lamentations 4 :10, le prophète attire l’attention sur une évidence : une mère est naturellement sensible et pleine de compassion envers ses enfants, elle les protège (1 Rois 3 :26,27 ; 1 Thes.2 :7). Pourtant, la famine qui régnait dans Jérusalem assiégée était telle que des mères, d’ordinaire compatissantes faisaient cuire leur progéniture et se livraient au cannibalisme. Voir aussi Lamentations 2 :20.
Une situation identique s’est reproduite après que les Juifs eurent rejeté le Messie, qui les avait avertis d’un prochain siège de Jérusalem (Mat. 23 :37,38 ;24 :15-19 ;Luc 21 :20-24).
L’historien Joseph Flavius souvent cité dans ce récit décrit l’une des horreurs de ce siège, en 70 de notre ère : «Marie, fille d’Eléazar (…) tua son fils, le fit cuire, en mangea une partie et cacha l’autre »La guerre des Juifs livre VI chapitre XXI
A n’en pas douter, l’abandon des lois et des principes de Jéhovah n’est pas la voie de la sagesse.
En 1 Cor.15 :5, qui sont les « douze » auxquels Jésus est apparu ?
L’apparition dont il est question en 1 Corinthiens 15 :5, semble bien être la même que celle qui est rapportée en jean 20 :26-29, où la présence de Thomas est signalée. Toutefois, l’expression désigne le groupe des apôtres et elle comprend probablement Mathias. Parlant de la résurrection, Paul indique qu’après avoir été relevé d’entre les morts, Jésus est apparu à un certain nombre d’humains.
L’apôtre déclare que le Christ «est apparu à Cephas, puis au douze. Ensuite, il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois ». 1Cor.15 :5,6. >Jésus avait choisit 12 apôtres parmi ses disciples (Mat. 10 :2-5) Judas Iscariote, l’un des douze, le trahit, puis se pendit (Mat. 26 :20-25 ; 27 :3-10). C’est pourquoi, à l’époque de la mort et de la résurrection du Christ, il ne restait que 11 apôtres fidèles sur les 12. Entre le moment de sa résurrection et celui de son ascension dans le ciel, Jésus est apparu à différents disciples. Cependant, ce n’est qu’après ces événements, que les apôtres ont compris la nécessité de remplacer Judas. Grâce à la direction divine, Matthias fut choisi, et « Il fut adjoint aux onze apôtres » Actes 1 :6-26.
Lorsque, Jésus est apparu pour la première fois aux disciples dans une pièce dont les portes étaient verrouillées, «Thomas, un des douze(…) n’était pas avec eux ». Huit jours après, il se trouvait là, et tous ses doutes purent être dissipés (Jean 20 : 19-29). Bien que Matthias n’ait pas encore été désigné pour remplacer Judas, il était disciple de Christ depuis longtemps (Actes 1 :21,22). Puisqu’il fréquentait étroitement les premiers apôtres et que peu de temps après il leur fut « adjoint » il est vraisemblablement compris dans les « douze » dont parle le récit que Paul a rédigé par la suite relativement à l’apparition de Jésus.
A SUIVRE.....QUESTIONS BIBLIQUES PERTINENTES


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Message  Invité Jeu 3 Mai 2012 - 19:41

Instructif et utile comme d'habitude!
Merci Caleb

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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 4:36

****QUESTIONS BIBLIQUES PERTINENTES****

La Bible excuse-t-elle la polygamie ?


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Pratiquée dans plusieurs pays, notamment dans certaines régions islamisées d’Afrique, la polygamie tire ses fondements des coutumes et des traditions très anciennes ; elle repose grosso modo sur trois piliers qui en aucun cas ne sauraient ni excuser, ni justifier et son ampleur et ses dégât. Ces piliers servent uniquement d’approche simplifiée de ce phénomène...
Pilier familial : au sein de certaines familles, quand une épouse de surcroît mère d’un ou de plusieurs enfants perd son époux, il est de coutume que le cadet ou l’aînée du défunt mari reprennent la veuve en mariage.
L’explication couramment donnée est qu’il s’agit là d’une façon de prolonger l’éducation des enfants et de maintenir les biens (champs, bétail) dans la famille, éviter la dispersion des personnes et du patrimoine, est de prime à bord l’unique raison majeur avancée .
Pilier villageois : dans certains terroirs, quand une fille tarde à trouver « un mâle demandeur de sa main, ou quand une veuve avec ou sans progéniture, reste longtemps sans être « recaser », les anciens du village, tous clans confondus, s’efforcent et s’attellent à leur procurer leur mari ; de préférence, un homme déjà marié avec ou sans enfant, parent ou allié plus ou moins proche de ces « attardée de mariage et de remariage » ;
Il faut oser le dire, cette démarche vise essentiellement à éviter que de telles filles et veuves n’aient de relations sexuelles extra conjugales. Sauver et préserver l’honneur des familles, la réputation du village, voilà la justification que reconnaissent tel ou tel ancien… en aparté bien sûr.
Pour nous chrétiens Témoins de Jéhovah, considérons ce nous dit la Sainte Bible dans le livre de la Genèse 2 :18, 24 . « 18 Et Jéhovah Dieu dit encore : “ Il n’est pas bon que l’homme reste seul. Je vais lui faire une aide qui lui corresponde (…)24 C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et devra s’attacher à sa femme, et ils devront devenir une seule chair »
Vous noterez que le récit génésiaque, nous apprend que Jéhovah ne donna qu’un seul conjoint à Adam. Comme mentionné quelques lignes plus haut, dans certaines sociétés, un homme à le droit d’avoir plusieurs femmes. Mais, la polygamie contribue-t-elle au bonheur familial ?
Certains objecteront que Dieu approuve une telle disposition puisque il a toléré la polygamie chez les Israélites de l’antiquité.
La Bible il est vrai, rapporte que des serviteurs éminents tels qu’Abraham, Jacob, David, Salomon et d’autres ont eus de nombreuses épouses. Le concubinage et la polygamie permirent certainement aux Israélites de s’accroître plus rapidement (Exode 1 :7 Wink. Encore une fois, Jéhovah n’a pas institué la polygamie. Rappelons à notre mémoire que dans le texte de Genèse 2 :18,24, Jéhovah ne donna qu’une seule femme à Adam. Il a permis la polygamie jusqu’à la fondation de la congrégation chrétienne. Dieu toléra ces pratiques, c’est vrai ; mais il donna par l’intermédiaire de Moïse des lois destinées à empêcher les abus flagrants. Exode 21 :7-11.
La preuve de cette affirmation, nous la trouvons dans la discussion qu’eu Jésus sur ce sujet avec les Pharisiens contenue dans l’évangile selon Mathieu 19 :4,5 « En réponse il dit : “ N’avez-vous pas lu que celui qui les a créés, dès [le] commencement les a faits mâle et femelle, 5 et qu’il a dit : ‘ C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux seront une seule chair » QUE VOULAIT DIRE LE FILS DE DIEU ?
Il montra clairement que parmi ses disciples, la règle serait non la polygamie, mais la monogamie, conformément à ce que Dieu avait institué au commencement.
Les surveillants des Congrégations en tant que exemple pour le troupeau, ne peuvent revendiquer, en raison de leur position, un statut matrimonial différent de celui des autres membres de la congrégation chrétienne. A ce propos serait utile de lire 1 Tim. 3 :2,12 «Il faut donc que le surveillant soit irréprochable, mari d’une seule femme(…)Que les assistants ministériels soient maris d’une seule femme ».
Un chrétien n’a d’autres choix que le célibat ou la monogamie. L’un et l’autre sont parfaitement acceptables aux yeux de Jéhovah selon le principe de 1 Cor. 7 :8,9 «Or je dis aux non mariés et aux veuves : il est bien pour eux qu’ils demeurent comme moi. Mais s’ils ne se dominent pas, qu’ils se marient, car il vaut mieux se marier que de brûler de (passion). »
La Bible excuse-t-elle la polygamie ?
La polygamie, est tout à fait hors de question.


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A SUIVRE....QUE DIT LA BIBLE EN RAPPORT A CERTAINES FÊTES ?

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Message  ketty Ven 4 Mai 2012 - 8:08


C'est honteux!
Vraiment honteux oui !

C'est pourquoi nous devons être fiere de porter le nom de notre Dieu JEHOVAH, et défendons là avec zéle!!!!!
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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 9:46

QUE DIT LA BIBLE EN RAPPORT A CERTAINES FÊTES ?


Argument très brûlant, mettant chaque année, à la une, nous les Témoins chrétiens de Jéhovah, comme étant des parents irrésolus, indignes qui prennent le plaisir de faire souffrir leurs enfants, les privant de telles festivités. Permettez-moi de faire un court résumé de ces fêtes dites de fin d’année, et vous tirerez-vous-même vos conclusions par la suite. En lisant cette maquette vous aurez noté qu’à plusieurs reprises j’ai écrit que ce que nous trouvons sur les pages sacrées de la Bible a été écrit pour des buts bien précis. Elle, passe sous silence les festivités gargantuesques organisées pour fêter (sic) l’anniversaire de la naissance du Messie (moi je dis que c’est pour remplir les poches des multinationales de la grande distribution). Nulle part dans les Saintes Ecritures est fait mention que ses disciples aient participé à une telle fête. Par contre la Bible nous rappelle certaines fêtes, qui se sont mal terminées, comme dans l’histoire de Joseph fils du patriarche Jacob, rapportée au chapitre 40 du livre de la Genèse. Chaque égyptien attribuait beaucoup d’importance au jour, à l’heure de sa naissance, et il est très probable que, comme en Perse, chacun observasse l’anniversaire de sa naissance avec des grandes festivités, invitant des amis à participer à tous les divertissements de société et à goûter les meilleures préparations culinaires.
Dans le récit de Genèse 40, le divertissement se termina par une pendaison.
Une deuxième fête d’anniversaire, qui se termina mal, rapportée dans les pages sacrées de la Bible, est celle de l’anniversaire d’Hérode, au cours de la quelle Jean le Baptiseur fut décapité. Une Encyclopédie biblique explique ceci : «Dans la période pré-hellène, les grecs célébraient les anniversaires des dieux et des hommes en vue. Le vocable grec (genéthlia) indiquait ces célébrations, par contre (genèsia) indiquait la commémoration de la date de naissance d’une personne importante décédée. Dans le deuxième livre des Macchabées 6 :7, nous trouvons une référence aux genéthlia mensuels d’Anthiocos 4eme , pendant le quels les juifs furent obligés « de participer aux sacrifices »
Quand Hérode fêta son anniversaire, suivait une coutume hellène ou grecque. Une chose est sûre, il n’y a aucune preuve que, en l’époque pré-hellène, en Israël on fêtasse les anniversaires
» fin de citation.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Une dernière fête orgiaque rapportée dans la Bible se produisit dans la nuit du 5 octobre 539 avant notre ère (calendrier grégorien ; 11 octobre calendrier julien), Belshatsar donna un grand banquet pour mille de ses grands, tel qu’il est rapporté dans le 5èmechapitre de la prophétie de Daniel. Babylone était menacé par les troupes de Cyrus le Perse et Darius le Mède. Pendant le banquet et sous l’effet du vin, demanda qu’il lui soit emmené les ustensiles pris dans le temple de Jérusalem, afin que soit lui que ses invités, ainsi que leurs épouses et concubines, puissent louer les dieux babyloniens. Bien sûr, cette demande n’était pas due par manque de récipients pour boire, mais elle constitué un volontaire outrage de la part de ce roi païen, vers le Dieu des israélites, Jéhovah. Fut un acte provocateur envers Jéhovah, qui avait inspiré les prophéties annonçant la prochaine chute de Babylone. Le roi babylonien, qui semblait ne pas se faire aucun souci pour le siège de sa ville, resta profondément secoué quand apparurent subitement sur le mur de la pièce une main écrivant. Avec les genoux tremblantes, appela tous les mages et voyants afin qu’ils lui traduisent la signification du message, mais inutilement. Le récit nous dit qu’à ce moment la reine lui donna un sage conseil, celui d’écouter le prophète Daniel.
Selon certains spécialistes “la reine » n’aurait pas été la femme de Belshatsar, mais sa mère, Nitocri, retenue fille de Nebucadretsar. Daniel, par inspiration, révéla la signification du message miraculeux, qui prédisait la prise de Babylone par les Mèdes et les Perses. Bien que Daniel condamne l’acte blasphématoire du roi babylonien, c'est-à-dire, de se servir des vases du temple destinés à l’adoration de Jéhovah pour louer des dieux qui sont aveugles et ne connaissent rien, le roi ne renia pas son offre et investi le prophète à la charge de troisième gouverneur du pays.
Belshatsar, ne survécut, fut tué la nuit même de la prise de la ville, le 5 octobre 539 avant notre ère, quand, selon la Chronique de Nabonide « les troupes de Cyrus entrèrent dans la ville sans combattre »


A SUIVRE..... LA NOËL ET LE ROIS MAGES


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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 10:17

Caleb a écrit:QUE DIT LA BIBLE EN RAPPORT A CERTAINES FÊTES ?

Une dernière fête orgiaque rapportée dans la Bible se produisit dans la nuit du 5 octobre 539 avant notre ère (calendrier grégorien ; 11 octobre calendrier julien), Belshatsar donna un grand banquet pour mille de ses grands, tel qu’il est rapporté dans le 5èmechapitre de la prophétie de Daniel. Babylone était menacé par les troupes de Cyrus le Perse et Darius le Mède. Pendant le banquet et sous l’effet du vin, demanda qu’il lui soit emmené les ustensiles pris dans le temple de Jérusalem, afin que soit lui que ses invités, ainsi que leurs épouses et concubines, puissent louer les dieux babyloniens. Bien sûr, cette demande n’était pas due par manque de récipients pour boire, mais elle constitué un volontaire outrage de la part de ce roi païen, vers le Dieu des israélites, Jéhovah. Fut un acte provocateur envers Jéhovah, qui avait inspiré les prophéties annonçant la prochaine chute de Babylone. Le roi babylonien, qui semblait ne pas se faire aucun souci pour le siège de sa ville, resta profondément secoué quand apparurent subitement sur le mur de la pièce une main écrivant. Avec les genoux tremblantes, appela tous les mages et voyants afin qu’ils lui traduisent la signification du message, mais inutilement. Le récit nous dit qu’à ce moment la reine lui donna un sage conseil, celui d’écouter le prophète Daniel.
Selon certains spécialistes “la reine » n’aurait pas été la femme de Belshatsar, mais sa mère, Nitocri, retenue fille de Nebucadretsar. Daniel, par inspiration, révéla la signification du message miraculeux, qui prédisait la prise de Babylone par les Mèdes et les Perses. Bien que Daniel condamne l’acte blasphématoire du roi babylonien, c'est-à-dire, de se servir des vases du temple destinés à l’adoration de Jéhovah pour louer des dieux qui sont aveugles et ne connaissent rien, le roi ne renia pas son offre et investi le prophète à la charge de troisième gouverneur du pays.
[color=black]Belshatsar, ne survécut, fut tué la nuit même de la prise de la ville, le 5 octobre 539 avant notre ère, quand, selon la Chronique de Nabonide « les troupes de Cyrus entrèrent dans la ville sans combattre »

A SUIVRE..... LA NOËL ET LE ROIS MAGES

J'ai souvent tendance à oublier la conduite outrageuse de Belshatsar à cette occasion. Merci pour le rappel

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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 11:15

Quelques précisions sur la noël ?

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Les religions de la chrétienté, célèbrent la nuit de Noël du 24 au 25 décembre.
Astronome, historiens, érudits de s églises s’accordent pour dire que le 25 décembre de l’an 1, n’est pas la date authentique de la naissance du Christ, ni le jour. La raison provient de quelques erreurs et de certains calculs inexacts qui ont échappé au moine scythe Dionisius Exiguus. Il vivait a Rome et reçut en 533 de notre ère, la mission de préciser rétroactivement le début de la nouvelle chronologie. Ce faisant, il oublia l’année zéro qui était à intercaler entre les années 1 avant et 1 après le Christ. De, toute façon son calcul était inexact, car les peules de l’antiquité y compris les Grecs instruits, les Romains et les Hébreux, ignoraient le zéro.
Pour eux, tous les numéros, commençaient avec le numéro un.
D’ailleurs, quand nous allions à l’école, l’instituteur ou l’institutrice, nous apprirent les chiffres romaines (I, II, IV, V, X, L, C, D, M ) on nous fut pas appris le chiffre zéro (0), puisque comme dit était inconnu chez les Romains. Déduction du fait, puisque n’existait pas chez eux le zéro, l’ère chrétienne à commencée avec l’an un et pas avec l’an zéro. Mais le raisonnement va encore plus loin. De ce point de vue, dérivent également les nombres dits ordinaux comme premier (1°) second ( 2°) dixième (10°) et de suite. Mais alors d’où nous vient le zéro ?L'histoire du zéro remonte à très, très, très longtemps… Elle remonte à une époque où le zéro lui-même n'existait pas, mais où la numération émergeait doucement. Car pour comprendre d’où vient le zéro, il faut comprendre les origines de l’écriture des chiffres. L’histoire débute en Mésopotamie, à l'ère du bronze (fin du néolithique). Une invention majeure naît alors sur cette terre aujourd'hui partagée par l'Irak et la Syrie. C’est la naissance de l’écriture. Selon certains historiens, elle résulterait d’une évolution naturelle issue du système de comptabilité des Mésopotamiens. Environ 2000 ans av J.C., la civilisation akkadienne remplace les Sumériens sur les terres de la Mésopotamie. Les Akkadiens inventent une nouvelle façon de représenter les nombres. Ils n’ont besoin que de deux signes : un clou (qui vaut 1) et un chevron (qui vaut 10). Et ils écrivent en base 60.
C'est à Babylone, en 500 av. J.C., qu’on s’aperçoit qu’il est nécessaire de trouver un signe pour remplir les colonnes vides. Pour traiter l’absence, on invente un signe qui n’est pas un chiffre mais plutôt une sorte de ponctuation : le double clou incliné. Ce signe sert à dire "il n'y a rien dans cette colonne". A cette époque, les Babyloniens utilisent donc le zéro en position médiane, c'est-à-dire à l'intérieur d'un nombre, mais ils ne l'utilisent pas en position finale, dans la première colonne. Pour eux, il n’est pas un chiffre.
L'histoire continue et nous arrivons au VIIIe siècle de notre ère.
La civilisation arabo-musulmane qui s’est installée sur les terres de la Mésopotamie s'empare alors du savoir des Grecs. Mais les Grecs ne connaissent pas la numération de position et ne participent pas à l’aventure du zéro. Les Musulmans n’héritent donc pas du calcul de position babylonien, mais ils rattrapent leur retard grâce à l’influence de l’Inde. Les Indiens sont beaucoup plus avancés que les Grecs dans le calcul. Ils possèdent neuf signes distincts pour compter de 1 à 9 et surtout ils connaissent la numération de position. Les Indiens posent le calcul à l’écrit mais ils rencontrent le même problème que les Babyloniens : ils ne savent pas comment traiter l'absence.
Puis, zéro arrive ! Les Indiens inventent sunya (qui signifie vide) qu'ils traitent très rapidement comme un chiffre : ils savent que lorsqu'on retire une quantité d'une autre quantité égale, il reste sunya, rien. Zéro apparaît donc après les neuf autres chiffres, c'est pourquoi les Indiens les dénombrent ainsi : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9 et 0. Les Arabes s’emparent alors de tous ces chiffres (que l’on qualifie d’arabes à tort) et ils traduisent sunya en as-sifr, qui devient ziffer puis zephiro. Ziffer donnera chiffre et zephiro donnera zéro. C'est donc le dernier venu qui a donné son nom à tous les chiffres. Après cette explication de comment nous est parvenu le zéro, reprenons notre sujet.Notre cher moine scythe Dionisius Exiguus, négligea les quatre années pendant lesquelles avait régné l’empereur romain Auguste, sous son nom véritable d’Octave.
En 330, l’empereur Constantin officialisa le remplacement du dieu solaire par la naissance du Christ. De cette époque, datent les premières représentations, sur les fresques des catacombes de Rome, de l'’enfant Jésus, des rois mages, de l’Annonciation. Le 25 décembre, en tant que jour de Noël, a été mentionné pour la première fois en 354 de notre ère. En 381, au Concile de Constantinople, l’'empereur Théodose fit adopter la date du 25 décembre comme un dogme. Pour les chrétiens d’Orient, la Nativité, restera cependant fixée au 6 janvier qui, pour l’Occident, devint jour de l’Epiphanie.
Sous l’empereur Justinien (527-565), ce jour fut reconnu officiellement comme jour de fête. Un ancien jour de fête romain joua un rôle important dans le choix de ce jour.Dans le culte de Mithra, venu de Perse, on fêtait le 25 décembre le Sol Invictus (sol invaincu) par le sacrifice d'’un taureau. Ce rite correspondait à la naissance du jeune dieu solaire qui surgissait d’un rocher sous la forme d’un nouveau-né.
Dans l’ancienne Rome, le 25 décembre était celui du (dies natalis invicti » qui signifie « jour anniversaire des invaincus », le jour du solstice d’hiver et en même temps, à Rome, le dernier des Saturnales qui depuis longtemps, avaient dégénéré en une sorte de carnaval déchaîné et étaient devenues, de ce fait une époque de l’année pendant laquelle les chrétiens se sentaient le plus à l’abri des persécutions. Sans doute, vous savez que chez les anciens Romains, était d’usage de faire des cadeaux au patron, accompagnés de vœux de bonheur pendant les jours des fêtes, spécialement pendant les calendes de janvier, en l’honneur de la déesse Strenna, de la quelle dérive le vocable étrenne.
En même temps que les historiens et les astronomes, les météorologues devaient aussi exprimer une opinion de poids au sujet de la fixation de la date de naissance de Jésus.
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D’après l’Evangile selon le docteur Luc : «Il y avait dans cette même contrée des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux » Luc 2 :8
Les météorologues ont entrepris de rigoureuses mensurations de la température à Hébron.
Quel temps fait-il en Palestine au mois de décembre ?
Il s’agit d’un mois d’hiver, froid et pluvieux. Cette région au sud des montagnes de Juda possède le même climat que la proche Bethléem. La courbe de température indique des gelées pendant trois mois. C’est pourquoi nous lisons au sujet du roi Yehoïaqim qu’il « était assis dans la maison d’hiver, c’était au neuvième mois, (novembre-decembre) et un brasier était allumé devant lui » Jérémie 36 :22
Le mois juif qui correspond à la fin de décembre et au commencement de janvier, est le dixième mois lunaire du calendrier sacré. On pense que le nom de Tébeth, donné à ce mois après la captivité babylonienne signifie «enfoncement» ou «enlisement», et qu’il se rapporte à la boue de ce mois hivernal où les pluies d’hiver sont souvent torrentielles. Dans son livre «La géographie de la Bible», l’écrivain Denis Baly rapporte que fin décembre voit de fréquentes gelées sur les hauteurs et parfois même des rafales de neige à Jérusalem. Bien que ce soit exceptionnel, les routes sont parfois bloquées par la neige. Ce fut probablement au mois de Tébeth que d’abondantes chutes de neige empêchèrent Tryphon, chef de l’armée syrienne, d’arriver à Jérusalem. Selon (Histoire ancienne des Juifs de Joseph Flavius livre XIII, chapitre XI).
Manifestement, le mois de Tébeth ne convenait ni pour les voyages ni pour passer la nuit aux champs.
Donc à l’époque de Noël, il gèle à Bethléem et, par basse température, on ne met pas le bétail dans les pâturages, en Terre Sainte, non plus. Cette constatation est encore étayée par une note du Talmud selon laquelle, dans cette région les troupeaux sont sortis en mars et rentrés dans les étables au début de novembre. Le bétail reste près de huit mois dehors.
A l’époque de Noël que nous parlons, le bétail était donc en Palestine aussi enfermé dans les étables, avec ses bergers.
Pour ces raisons et d’autres encore, le mois de décembre ne peut être celui de la naissance de Jésus. Par conséquent, évangile, selon Luc situe la naissance de Jésus avant le début de l’hiver, probablement autour du début d’octobre.
Avec la mondialisation des échanges culturels et la laïcisation de la société, les festivités liées à Noël prennent progressivement un caractère profane et familial et sont de plus en plus déconnectées de l'interprétation religieuse.
Je ne rentrerais en aucune façon en controverse concernant ces fêtes dites de fin d’années, si fêtes le sont, car pour moi, elles sont des fêtes des commerçants, hyper et super grands magasins et multinationales de l’alimentation, qui lors de ces fêtes triplent ou quadruplent leur chiffre d’affaires, et n’ont aucun rapport avec les enfants. Pense-t-on à ceux qui sont chômeurs, ne pouvant pas faire de cadeaux à leurs enfants ? Et les enfants du tiers et quart monde passant devant les vitrines illuminées avec des regards ébahis ? C’est facile à dire n’est-ce as ? Vous me répondrez il y a les organisations humanitaires pour cela. VOUS AVEZ RAISON !
Pour cela il y a 364 ou 365 jours si l’année est bissextile, pendant lequel nous pouvons leur faire des cadeaux. Pourquoi attendre une fête soi-disant religieuse ? Savez-vous que le plus beau cadeau que nous les parents ou grands parents pouvons leur faire tous les jours que Dieu a fait c’est leur dire combien nous les aimons ?
L’amour de ses parents est indispensable au développement d’un enfant. L’amour en parole, mais surtout en actes, et non seulement avec des jouets, que quelques jours plus tard, l’enfant ne s’en servira plus et iront aux oubliettes au profit d’une boite en carton, comme bien souvent arrive


A SUIVRE.....La fête des rois



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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 12:45

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] ... pour ces détails sur le zéro
Caleb a écrit:Savez-vous que le plus beau cadeau que nous les parents ou grands parents pouvons leur faire tous les jours que Dieu a fait c’est leur dire combien nous les aimons ?
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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 14:56

*****La fête des rois*****

Le jour de l'Epiphanie(en grec « manifestation » ) commémore la présentation de l'enfant Jésus aux rois mages autour de l'indémodable galette. Mais savez-vous que derrière cette manifestation religieuse se cache la célébration de rites païens ? Dans les sociétés pré-chrétiennes, cette fête correspondait à l'apparition du dieu Dionysos, originaire de Thrace, célèbre dans tout le monde grec. Cette divinité était rattachée aux saisons et mourait avec le déclin de la végétation pour ressusciter avec la lumière. Cette croyance rappelle le culte païen des Saturnales célébrant le retour du soleil lié au début du solstice d'hiver.Pendant ces journées de fêtes, on invitait famille et amis, on banquetait, on ornait maison et végétation de guirlandes, on s'offrait des chandelles de cire, des figurines de pain ou de terre cuite, des pièces de monnaie … On ne revêt plus la toge, mais la tunique, vêtement des pauvres et des esclaves et on peut même coiffer le pileus libertatis , "bonnet de liberté", la coiffure des esclaves affranchis. On trouve là l'origine des déguisements de carnaval et même celui de la "fête des fous" au Moyen-Age puisque tous sont égaux, les esclaves prennent la place des maîtres et, lors d'un banquet, est désigné "roi de la fête" celui qui a trouvé la fève dans le gâteau ; on note bien sûr ici l'origine de la "galette des rois"
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Tous les ans, es centaines de millions d’humains en ce monde entendent l’histoire des rois Mages venus d’Orient.
L’étoile de Bethléem, qui est le symbole inséparable de la fête de la nativité dans la chrétienté, accompagne aussi ses croyants dans la vie comme dans la mort, elle a aussi sa place sur les tombes à côté de la date de naissance.
Qui étaient « les Rois Mages » ?
Origène, Père de l'Eglise, dans ses Homélies sur la Génèse (Hom.Gén.14,3) qui, le premier, fixe leur nombre à trois en se basant sur les trois présents (or-encens-myrrhe). Les noms traditionnels de Gaspard, Melchior et Balthazar apparaissent pour la première fois dans un manuscrit du VIe siècle, conservé à la Bibliothèque nationale de France à Paris et intitulé Excerpta Latina Barbari. Ils y sont désignés sous les noms de Bithisarea, Melichior et Gathaspa. Vers la même époque, ils apparaissent dans un écrit apocryphe, l'Évangile arménien de l'Enfance, qui leur donne les noms de Balthazar, Melkon (Melchior) et Gaspard. Trois hommes aux habits magnifiques arrivant avec leurs chameaux à Bethléem près d’une étable où un bébé, Jésus, est couché dans une mangeoire, et offrent en guise de présent, de l’or, de l’encens et de la myrrhe. Le premier aurait été roi de l'Inde, le second roi des Arabes et le troisième roi des Perses. Ce troisième nom rejoint la légende qui entoure le roi Gondopharès Ier qui aurait été converti par l'apôtre Thomas (Actes de Thomas) (Livre apocryphe)
En fait, que dit la Bible à leur sujet ?
D’après la Bible, ces soi-disant mages venaient de « l’Est », d’où ils avaient appris la naissance de Jésus (Mat2 : 1, 2, 9). Le voyage jusqu’en Judée du être long. Lorsqu’ils finirent par le trouver, Jésus n’était plus un nouveau-né couché dans une étable : «Marie et le petit enfant habitaient dans une maison »Mat.2 :11. D’ailleurs il serait bien de lire la note en bas de page de l’évangile selon Mathieu dans la traduction de l’abbé Crampon 1905 et de celle de 1938 où est noté ceci : «La maison : Jésus n’était plus dans l’étable où il était né ».
La Bible donne à ces personnages le nom de mages ou d’« astrologues », mais passent sous silence combien ils étaient, ni comme ils s’appelaient. Matthieu signale aussi que ces mages venaient d'Orient. Il devait donc s'agir de membres d'une classe sacerdotale importante, comme il en existait alors chez les Perses, ayant à la fois un rôle politique, religieux et scientifique.
Autrement dit des païens, ou plutôt des gentils, comme on les appelait alors, ou bien , considérant leur origine, des Zoroastriens.
Les liens entre la magie et l’astrologie se voient dans la fascination de ces visiteurs pour l’étoile que les conduisit à Bethléem. La Bible condamne ouvertement toute forme de magie ainsi que les pratiques babyloniennes consistant à interroger les étoiles.
«Il ne se trouvera chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce la divination, aucun magicien, ni personne qui cherche les présages, ni aucun sorcier, ni personne qui lie autrui par quelque sortilège, ni personne qui consulte un médium, ou quelqu’un qui fait métier de prédire les événements, ou quiconque interroge les morts. Car tout homme qui fait ces choses est chose détestable pour Jéhovah et c’est à cause de ces choses détestables que Jéhovah ton Dieu les choses de devant toi » Deut.18 :10-122
«Qu’ils se lèvent donc et qu’ils te sauvent, les adorateurs des cieux, ceux qui observent les étoiles, ceux qui aux nouvelles lunes, dispensent la connaissance à propos des choses qui viendront sur toi »Isaïe 47 :13
Loin d’être bénéfiques, les renseignements, qu’ont reçus ces hommes ont provoqué la jalousie et la fureur du roi Hérode.
En conséquence, Joseph, Marie et Jésus ont du fuir en Égypte afin d’échapper au meurtre à Bethléem de tous les enfants mâle « depuis l’âge de deux ans et au-dessous ». Hérode avait soigneusement vérifié le moment où Jésus était né grâce au témoignage des astrologues (Mathieu 2 :16). Étant donné tous les maux qu’a engendrés cette visite, il est logique de penser que l’étoile ainsi que le message « concernant celui qui était né roi des Juifs » venaient de l’ennemi de Dieu, Satan le Diable, qui voulait éliminer Jésus.


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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 16:13

Caleb a écrit:*****La fête des rois*****

Le jour de l'Epiphanie(en grec « manifestation » ) commémore la présentation de l'enfant Jésus aux rois mages autour de l'indémodable galette. Mais savez-vous que derrière cette manifestation religieuse se cache la célébration de rites païens ?

Bon à savoir même si cette fête passe plutôt sous silence chez moi.

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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 17:29


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Savoir que la Bible est la Parole e Dieu, devrait pour le moins nous inciter à l’examiner. Le psalmiste donna l’assurance que ceux qui se livreraient à cet examen seraient heureux. Il écrivit : «Heureux est l’homme qui n’a pas marché dans le conseil des méchants (…) mais ses délices sont dans la loi de Jéhovah, et dans sa loi il lit à voix basse jour et nuit » Ps 1 :1,2 De son côté l’apôtre et missionnaire Paul dit que la Bible est «utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre » 2 Tim.3 :16
Il arrive néanmoins que les normes de la Bible ne soient pas populaires. Ainsi, elle condamne l’homosexualité, un mode de vie largement accepté dans le monde d’aujourd’hui lire (Romains 1 :24-2-7 ; 1 Cor. ; Tim.1 :9-11 Wink
Tandis que quelque 50 millions d’avortements sont pratiqués chaque année dans le monde, elle présente l’enfant à naître comme une vie précieuse, que l’on n’a pas le droit de détruire délibéreraient (Exode 21 :22,23 ; Psaume 36 :9 ; 139 :14-16 ; Jérémie 1 :5).
Mais que faire si nous avons du mal à accepter la position de la Bible sur des questions de ce genre ?
La Bible signale un autre domaine dans lequel nous avons besoin d’être aidés. Nous avons tous hérité d’une tendance au péché. «L’inclination du cœur de l’homme est mauvaise dès sa jeunesse » Genèse 8 :21 ; Romains 7 :21) Ce travers se fait d’autant plus sentir que nous vivons dans un monde qui n’observe pas les principes bibliques. Nous avons donc besoin d’aide tant pour comprendre la Bible, que pour mettre en pratique ce que nous y apprenons.
Il existe dans notre monde, une multitude de spécialistes dans presque tous les domaines : conseillers matrimoniaux et familiaux, chroniqueurs, thérapeutes prétendus tels, astrologues, médiums et autres qui ne demandent qu’à donner des conseils….moyennant finances bien sûr.
Mais quelle sorte de conseils offrent-ils ?Très souvent, ils écartent les normes bibliques de moralité au profit de la «nouvelle morale». La tendance aujourd’hui est à la tolérance ; on ne veut pas juger. On considère que tout est relatif ; il n’existe plus rien d’absolu, ni dans le bien, ni dans le mal. D’autres, pour prendre leurs décisions, suivent l’exemple des gens qui réussissent socialement et financièrement, les gens riches et célèbres. La société tient ces gens pour respectables, mais souvent ils ne prônent des vertus comme l’honnêteté et la confiance qu’en paroles. Quand le pouvoir ou le profit sont en jeu, beaucoup n’ont aucun scrupule à contourner les lois et à piétiner les principes moraux. Pour accéder à la célébrité, certains n’hésitent pas à adopter un comportement bizarre et choquant, au mépris des valeurs et des normes établies. Il en résulte une société permissive, mue par le profit, dans laquelle le mot d’ordre est : «Tout est permis ».
Faut-il s’étonner que les gens ne sachent plus ce qui est bien ou mal ?
Les mauvais conseils engendrent de mauvaises décisions, dont les conséquences déplorables se voient partout : familles brisées, toxicomanie, alcoolisme, bandes de jeunes violents, vagabondage sexuel et maladies sexuellement transmissibles, pour n’en citer que quelques-unes. C’est pourquoi la Sainte Bible nous encourage à fréquenter ceux qui désirent vivre conformément aux normes divines.
Tandis que l’actuel système enragé touche à sa fin, les obstacles à notre joie et à notre unité se multiplieront probablement. C’est pourquoi, guidés par les principes bibliques, servons-nous de notre langue pour faire du bien, non du mal. Dans la congrégation et au foyer, nos relations seront plus paisibles, et nous rendrons un excellent témoignage à Jéhovah, le “ Dieu heureux ”. — 1 Tim. 1:11.
Le psalmiste a écrit : «J’ai haï l’assemblée des malfaiteurs, et avec les méchants je ne m’assied pas. (…)Parmi les foules rassemblées je bénirai Jéhovah » Ps26 :5,12 ;
Et dans un autre Psaume nous lisons : «Qu’il est bon et qu’il est agréable pour des frères d’habiter ensemble dans une étroite union ! » Psaume 133 :1.
Les personnes qui étudient la Bible en compagnie des Témoins de Jéhovah discernent bien vite que leur enseignement est tiré des Saintes Ecritures. On ne répond pas à leurs questions en les renvoyant à des crédos, à des traditions humaines ou à l’opinion de personnages en vue. C’est la Parole de Dieu qui fait autorité.
La vérité concernant le Fils de Dieu peut avoir un effet saisissant sur celui qui la comprend. Augustin un des pères de l’église écrivit : «Aurais-tu peur en te donnant de te perdre ? Tu te perds au contraire, en refusant de te donner » "Ce fut le cas d’une polonaise, Danuta. Cela faisait huit ans qu’elle avait des contacts avec les Témoins de Jéhovah, elle appréciait ce qu’elle apprenait, mais n’avait pas fait du vrai culte son mode de vie. Un jour, on lui remit le livre Le plus grand homme de tous les temps, qui relate dans un style simple la vie de Christ. Tard dans la soirée, elle l’a ouvert avec l’idée d’en lire juste un chapitre. En fait, elle n’a refermé le livre que le lendemain à l’aube, après en avoir achevé la lecture. Elle a éclaté en sanglot et à supplié : «Jéhovah pardonne-moi » la lecture de ce manuel lui avait révélé plus clairement que jamais toute l’étendue de l’amour démontré par Jéhovah et son Fils. Elle a compris que pendant huit ans, par manque de gratitude, elle avait refusé l’aide que Dieu lui proposait patiemment. En 1993, elle s’est fait baptiser pour symboliser l’offrande de sa personne à Jéhovah sur le fondement de la foi en Jésus Christ."
Il est très facile aujourd’hui de se procurer une Bible.
On trouve au moins quelques-uns de ces petits livres dans les langues parlées par 98% de la population mondiale. Dès lors, il est regrettable que nombre de nos contemporains ne s’intéressent pas au message de la Bible. Même en cette ère vouée à la science, la Parole Divine, la Bible, est toujours particulièrement « utile pour enseigner ». Elle donne de bons conseils en matière de moralité, de relations humaines et sur bien d’autres sujets.

Tertullien en avait conscience de cela quand il écrivit dans son « Apologétique » chapitre XX «Pour vous dédommager de ces ajournements, nous vous offrons maintenant quelque chose de plus important : c’est la majesté des Ecritures. Elle prouvera leur divinité, si leur ancienneté ne la prouve pas, si leur antiquité est mise en doute. Et il ne faut pas chercher qui vous en instruiront : le monde, le siècle et les événements. Tout ce qui se passe était prédit ; tout ce qu’on y voit était annoncé.
La terre engloutit des villes ; les mers dévorent les îles ; les guerres étrangères et civiles déchirent les peuples ; les royaumes heurtent les royaumes ; la famine et la peste et tous les désastres locaux et les nombreux cas de mort désolent certains pays ; les humbles sont élevés et les grands sont humiliés ; la justice devient rare, l’iniquité devient fréquente, l’amour du bien s’engourdit ; les saisons mêmes et les corps célestes se dérangent et ne remplissent plus leur office ; l’ordre de la nature est troublé par des signes néfastes et des prodiges ; or, toutes ces calamités ont été décrites d’avance. Pendant que nous les subissons, nous les lisons ; pendant que nous les lisons, elles se vérifient. La vérité d’une prophétie est, sans nul doute, une preuve solide de sa divinité
»
PENSEZ-VOUS QUE SOIT DIFFÉRENT EN NOS JOURS AU VU DES ÉVÉNEMENTS ?
Que penser de la forte canicule de 2003 avec sa longue liste de morts ? On nous avait annoncé autour de 13000, mais je pense qu’ils y en avaient eu beaucoup plus pour ne pas alarmer la population. Et que dire des incendies criminels de nos forêts, les attentats terroristes ? Ne sont pas de cas fortuits vous savez ?
La Bible, offre la seule espérance certaine de connaître un avenir paisible. La lecture quotidienne de la Bible ne devrait pas avoir pour but de parcourir simplement un certain nombre de pages, mais d’en saisir le sens général de la matière à retenir. Prenons le temps de réfléchir à ce que nous lisons, essayons de vivre la pensée biblique. En nous réservant 15 minutes par jour à sa lecture nous en aurons achevé la lecture au bout d’un an. Maintenant si vous n’avez pas encore commencé la lire, pourquoi n’en prendrez vous de maintenant l’occasion. Il n’est pas nécessaire d’y consacrer beaucoup de temps ; toutefois le temps que vous y consacrerez, vous sera beaucoup profitable et vous en retirerez de grands bienfaits, car sa mise en pratique vous permettra d’agir avec sagesse et de connaître une vie riche sur le plan spirituel. En outre, vous, vous conformez à cet ordre, adressé il y a bien longtemps à Josué, conducteur de la nation d’Israël, texte que j’ai cité à plusieurs reprise : «Ce livre de la loi ne devra pas s’éloigner de ta bouche ; et il faudra que tu lises à voix basse en lui jour et nuit, afin que tu veilles à faire selon tout ce qui y est écrit ; car alors tu feras réussir ta voie et alors tu agiras sagement ». Josué 1 :8
La lecture et la méditation de la Bible nous aide à répondre à ces demandes :
1. Indépendance par rapport à la domination de Dieu procurera-t-elle un jour des bienfaits durables aux humains ?
2. Qu’est-ce qui est préférable : que les hommes soient dirigés par Dieu, ou qu’ils se dirigent aux même ?
3. Les hommes pourront-ils gouverner le monde avec justice et équité, tout en étant indépendant de leur Créateur ?
4. Les hommes ont-ils vraiment besoin de la direction divine ?
Un tel procédé s’appelle « critique biblique ». Ce terme « critique » est problématique, car il équivaut souvent à « trouver des erreurs ». Mais dans notre cas, on entend par « critique » l’étude approfondie d’un texte sacré. Il s’agit d’examiner sa structure, son langage, ses notions-clef afin de découvrir sur quoi il repose. Et c’est aussi le sens que je donne ici au mot « critique ». Cette critique n’entend aucunement réduire la portée du message biblique, au contraire. En fait j’essaye de comprendre et de m’expliquer ce message sous tous ses aspects. La Bible a tout de même raison car elle a vu la vérité avec les yeux de son temps. En effet, il est écrit : «Tous les hommes sont comme l’herbe des prés et toute gloire humaine ressemble à la fleur des prés. L’herbe sèche et sa fleur fane. Mais la Parole du Seigneur Dieu demeure éternellement »1 Pierre 1 :24,25 parole Vivante transcription d’Alfred Kuen


A SUIVRE...... Abordons notre conclusion par un résumé

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Message  Invité Ven 4 Mai 2012 - 19:11

Caleb a écrit:Soyons des lecteurs assidus de la Bible

Tandis que l’actuel système enragé touche à sa fin, les obstacles à notre joie et à notre unité se multiplieront probablement. C’est pourquoi, guidés par les principes bibliques, servons-nous de notre langue pour faire du bien, non du mal. Dans la congrégation et au foyer, nos relations seront plus paisibles, et nous rendrons un excellent témoignage à Jéhovah, le “ Dieu heureux ”. — 1 Tim. 1:11.
La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 583880
Caleb a écrit:Les personnes qui étudient la Bible en compagnie des Témoins de Jéhovah discernent bien vite que leur enseignement est tiré des Saintes Ecritures. On ne répond pas à leurs questions en les renvoyant à des crédos, à des traditions humaines ou à l’opinion de personnages en vue. C’est la Parole de Dieu qui fait autorité.
cheers
Caleb a écrit:A SUIVRE...... Abordons notre conclusion par un résumé
affraid Déjà la conclusion? No No No

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Message  wiidy Sam 5 Mai 2012 - 3:34

ooo Caleb tu nous propose du lourd ^^ super les articles La Bible un livre pour notre époque? - Page 5 117403
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Message  Invité Sam 5 Mai 2012 - 8:09

Abordons notre conclusion par un résumé

QUE DIT LA BIBLE?
Cette question semble absurde, car ayant la Bible sous les yeux, son contenu nous parait évident. mais le fait qu'elle soit accessible dans notre langue n'est pas de soi, un cas fortuit, j'ai mentionné à plusieurs reprises, mais, c'est le résultats d'efforts importants, menés pas plusieurs générations de traducteurs ou copistes. Quelques informations de résumer, éclaireront cette remarque.
  • La Bible est rédigée dans des langues qui nous sont étrangères: Le Nouveau Testament (Écritures grecques chrétiennes) en grec, l'Ancien Testament (les Écritures hébraïques) en hébreux et, à certains endroits, en araméen. Au cours de l'Histoire, les langues ont évolue, ce qui fait, que, l'hébreu et le grec de notre 21ème siècle est different considérablement des celui de l'antiquité

  • Un second point retiendra notre attention. A notre époque, personnes n'a jamais vu les textes originaux de la Bible. même les plus anciens manuscrits grecs ou hébreux sont des copies des copies remontant à une période encore plus reculée. les copies les plus anciennes sont bien antérieures à l'invention de l'imprimerie.

  • Chaque partie de la Bible contient des éléments d'une culture qui nous reste étrangère. Les hommes du 21ème siècle réagissent différemment des Grecs ou des Romains, sans parler des Cananéens ou des Égyptiens.

J'aimerais vous raconter une anecdote qui m'est arrivé un matin dans le cadre de mon activité chrétienne. je m'apprêtais à sonner à un interphone, lorsque surgit une brave dame vociférant: "Vous les Témoins de Jéhovah, êtes comme les poules qui picorent ici où là, dans votre Bible cherchant les versets qui vous conviennent"Après l'avoir remerciée pour son affirmation, démontrant que nous les Témoins de Jéhovah, scrutions les Écritures Sacrées, je voulais lui faire remarquer que le seul fait d'utiliser des textes situées en différents endroits de la Bible ne revenait pas à l’interpréter à notre convenance. D'ailleurs, lui fais-je remarquer le Fils de Dieu, Jésus lui même faisait pareil. En plusieurs circonstances disait :"il est écrit" et citait certaines parties des Écritures. Pourrions dire qu'il picorait ici où là?
Si la Bible n'a qu'un seul Auteur, Jéhovah Dieu, elle a, en revanche, de nombreux rédacteurs. Ce quelque quarante hommes ne se contredisent jamais, ce qui soit dit en passant, prouve que la paternité de l'ouvrage revient bien a Dieu.
Et pourtant, pas un d'entre eux ne dit tout ce qui peut l'être sur tel ou tel autre sujet. Pour comprendre la pensée de l'Auteur de la Bible sur un point bien précis, il faut donc rassembler la totalité des passages des Écritures qui s'y rapportent, et c'est précisément ce que nous nous efforçons de faire. Je lui cite un exemple assez puérile que voici: "Que pourrait bien penser une maîtresse de maison si son livre de recettes se prêtait à diverses interprétations? Quel intérêt y aurait-il à acheter un dictionnaire qui laisserait au lecteur le soin s'interpréter le sens des mots à son gré? Vous attendriez- vous à ce que Dieu offre un tel guide à ses créatures?Et, si c'était le cas, pourrait-on raisonnablement appeler cet ouvrage un "GUIDE?" Comme il est rassurant de savoir que la Bible ne se prête pas à toutes les interprétations! Si nous laissons son Auteur nous en fournir la clé, elle devient véritablement "utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner selon la justice" selon la déclaration paulinienne. 2 Tim.3:16
C'est alors, et seulement alors, qu'elle fera de nous des hommes "tout à fait qualifiés, parfaitement équipés pour toute œuvre bonne" 2 Tim.3:17
QUEL BONHEUR POUR NOUS D'AVOIR UNE BIBLE
Ce bonheur est d'autant plus grand si nous connaissons le contenu de ce livre, car nombre de personnes ignorent même quand, comment, pourquoi et par qui la Bible fut écrite. De plus, le seul écrit ancien digne de foi et véridique qui nous parle de Dieu est la sainte Bible. On reconnaît généralement que son niveau moral est particulièrement élevé et qu'elle soutient la vérité et l'honnêteté. Est-il logique de croire qu'un livre qui est un exemple de véracité en toutes choses, aurait falsifié les faits quand il s'agit de Dieu lui-même? Toutefois, c'est la lecture et l'intelligence de ce livre, le plus important du monde qui contribuera le plus à notre bonheur et à notre enrichissement.
ON NE DOIT PAS CONFONDRE AUTEUR ET RÉDACTEUR
Un livre peut être attribué à un certain auteur tout en ayant été écrit sous sa dictée par plusieurs secrétaires. C'est le cas de la Bible. Jéhovah Dieu est son unique Auteur. toutefois, comme mentionné plusieurs fois, il s'est servi d'environ quarante secrétaires humains pour consigner par écrit, sous son inspiration , ce qu' Il dictait. Pour Dieu donc, il n'était pas difficile de choisir le berger, le fermier, le pêcheur,le fabricant de tentes, le prêtre, le roi, le prophète, le médecin ou le percepteur d’impôts qui écrirait sous sa dictée. Pour le grand Auteur il importait peu que le rédacteur e^t été instruit à la cour du pharaon ou qu'il fût illettré et ordinaire. C'est la raison pour laquelle la Bible offre une diversité de styles aussi colorés que l'arc dans la nuée et un grand nombre de genres, tels que des chants, des prières, de la prose et de la poésie. cependant, dans toutes ses pages ont trouve une extraordinaire unité tant dans le thème que dans les desseins révélés. Il est à remarquer qu’aucun des livres dits "apocryphes", ceux dont l'origine est douteuse, n'est inclus dans ce catalogue des livres inspirés. il nous suffit de comparer les livres inspirés avec les écrits apocryphes pour comprendre la raison du rejet de ces derniers. Ils n'apportent aucune preuve de leur inspiration divine.
La canonicité d'un livre ne dépend ni de son ancienneté, ni du fait qu'il soit respecté par beaucoup, ni de son acceptation ou de son rejet par quelque concile, comité ou communauté. L'opinion d'hommes non inspirés n'a de valeur que si elle rend témoignage à ce que Dieu a déjà confirmé, gardé et protégé comme étant canonique. On trouve le témoignage le plus concluant de l'authenticité des trente neufs livres des Écritures hébraïques dans les paroles irrécusables de Jésus Christ et des rédacteurs des Écritures grecques chrétiennes. Jésus, par exemple, ne se plaignit pas de l'absence des écrits apocryphes dans le canon hébreu, ce qu'il aurait certainement fait i quelqu'un pour en altérer ce dernier, avait "retranché quelque chose des paroles inspirées de Dieu"Jésus accepta le canon hébreu tel qu'il l'avait reçu.« Ignorer les Écritures c’est ignorer le Christ » disait Jérôme le traducteur biblique. « En devenant familiers de la Parole de Dieu, vous y rencontrerez le Christ pour demeurer en intimité avec lui, et avec Jéhovah Dieu son père ([i]c'est moi qui ajoute
) »Voici une importante déclaration affirmant l'importance de la Sainte Bible au jour d'aujourd'hui.Montiero Williams, un célèbre professeur de Sanskrit, la langue primitive Indienne utilisée pour le Véda, a étudié pendant 42 ans les livres orientaux et les a comparés avec la Bible. Il disait : "Empile-les (les livres orientaux) sur la gauche de ton secrétaire, mets ta propre Sainte Bible sur la droite et laisse un grand espace entre les deux, car il y a un abîme entre les soi-disant saintes écritures de l'Orient et la Bible, un abîme qui ne peut être surmonté. Elles ne sont qu'une bougie, comparées au soleil de la Bible !"
Vous aurez noté tout au long de récit, que la Bible affirme être la Parole du seul vrai Dieu Jéhovah. De toute évidence, cette affirmation présuppose l'existence de l'Auteur de la Bible

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A SUIVRE......LES CONNAISSANCES MODERNES JUSTIFIENT-ELLES LA CROYANCE EN L'EXISTENCE DE DIEU,

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Message  Invité Sam 5 Mai 2012 - 17:40

Caleb a écrit:

J'aimerais vous raconter une anecdote qui m'est arrivé un matin dans le cadre de mon activité chrétienne. je m'apprêtais à sonner à un interphone, lorsque surgit une brave dame vociférant: "Vous les Témoins de Jéhovah, êtes comme les poules qui picorent ici où là, dans votre Bible cherchant les versets qui vous conviennent"Après l'avoir remerciée pour son affirmation, démontrant que nous les Témoins de Jéhovah, scrutions les Écritures Sacrées, je voulais lui faire remarquer que le seul fait d'utiliser des textes situées en différents endroits de la Bible ne revenait pas à l’interpréter à notre convenance. D'ailleurs, lui fais-je remarquer le Fils de Dieu, Jésus lui même faisait pareil. En plusieurs circonstances disait :"il est écrit" et citait certaines parties des Écritures. Pourrions dire qu'il picorait ici où là?
Si la Bible n'a qu'un seul Auteur, Jéhovah Dieu, elle a, en revanche, de nombreux rédacteurs. Ce quelque quarante hommes ne se contredisent jamais, ce qui soit dit en passant, prouve que la paternité de l'ouvrage revient bien a Dieu.
Et pourtant, pas un d'entre eux ne dit tout ce qui peut l'être sur tel ou tel autre sujet. Pour comprendre la pensée de l'Auteur de la Bible sur un point bien précis, il faut donc rassembler la totalité des passages des Écritures qui s'y rapportent, et c'est précisément ce que nous nous efforçons de faire. Je lui cite un exemple assez puérile que voici: [i]"Que pourrait bien penser une maîtresse de maison si son livre de recettes se prêtait à diverses interprétations? Quel intérêt y aurait-il à acheter un dictionnaire qui laisserait au lecteur le soin s'interpréter le sens des mots à son gré? Vous attendriez- vous à ce que Dieu offre un tel guide à ses créatures?Et, si c'était le cas, pourrait-on raisonnablement appeler cet ouvrage un "GUIDE?" Comme il est rassurant de savoir que la Bible ne se prête pas à toutes les interprétations! Si nous laissons son Auteur nous en fournir la clé, elle devient véritablement "utile pour enseigner, pour reprendre, pour remettre les choses en ordre, pour discipliner selon la justice" selon la déclaration paulinienne. 2 Tim.3:16
C'est alors, et seulement alors, qu'elle fera de nous des hommes "tout à fait qualifiés, parfaitement équipés pour toute œuvre bonne" 2 Tim.3:17

Bon fait de prédication! Merci Caleb cheers

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