que devons nous écouter, lire de bon aux yeux de notre Père ?

[Invité]

Salut,

Voilà, j'écoute de la musique, des cantiques qui sont dans la fausse religion, est-ce que c'est mauvais ?
que doit-on lire de bien qui ne soit pas outrageant ?
Bien à vous.

[JIJI-M]

Salut,

Voilà, j'écoute de la musique, des cantiques qui sont dans la fausse religion, est-ce que c'est mauvais ?
que doit-on lire de bien qui ne soit pas outrageant ?
Bien à vous.

1) qu'appelles-tu des cantiques de la fausse religion ?
La plupart des requiem de pianistes virtuoses du 17 et 18ème siècle sont basées sur la religion.

2) tu dis: "que doit-on lire de bien qui ne soit pas outrageant"
L'apôtre Paul répond à ta question, il dit dans sa lettre aux Philippiens 4: 8:

" Enfin, frères, toutes les choses qui sont vraies, toutes celles qui sont dignes, toutes celles qui sont justes, toutes celles qui sont pures, toutes celles qui méritent d’être aimées, toutes celles qui ont bon renom, s’il y a quelque vertu et s’il y a quelque chose qui soit digne de louanges, continuez à considérer ces choses."

Bien à toi et bonne continuation dans ton étude des Saintes Écritures. En progressant, les choses spirituelles se sembleront plus claires.
JIJI-M

[jean]

En complément aux questions posées par @JIJI-M, voici un début de réponse, je t'invite à lire les textes bibliques donnés en références.

Bien à toi.

@jean

(...)
>>>Paul a indiqué très clairement en ces termes: “Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, ou quelque autre chose que vous fassiez, faites tout pour la gloire de Dieu.” — 1 Corinthiens 10:31.

>>>La plupart des musiques et des chansons modernes ne rendent pas gloire à Dieu. Bien au contraire, elles bafouent les valeurs que les chrétiens défendent et pour lesquelles beaucoup ont accepté de mourir en prison ou dans des camps de concentration. Si donc il nous faut modifier nos goûts musicaux afin de ‘ne pas aimer le monde ni les choses qui sont dans le monde’, devrions-nous considérer qu’il s’agit là d’un trop grand sacrifice? — 1 Jean 2:15-17.

Les critères de la bonne musique

>>>Si, par respect pour les principes bibliques, nous rejetons la musique avilissante, par quoi pouvons-nous la remplacer? Eh bien, pourquoi ne pas s’intéresser à d’autres styles de musique? Il se peut qu’ils soient bien plus agréables et édifiants que ceux qui avaient notre préférence dans le passé. Voici par exemple ce qu’un ancien musicien de rock a dit à propos des changements qu’il a opérés:

>>>“J’ai eu du mal à passer des sonorités faciles du rock à une musique populaire acceptable et à la musique classique, plus élaborée. Mais quand j’ai pris conscience qu’elles avaient plus de valeur et que je ne pouvais plus souscrire à l’esprit qui se dégage habituellement de la musique moderne, le changement m’est apparu plus facile et plus satisfaisant. Tout à coup, je me suis rendu compte que ces genres de musique étaient sains. J’ai compris de quoi les préjugés que j’avais contre ces autres styles de musique m’avaient privé jusque-là.”

>>>Quantité de morceaux de musique classique et folklorique, ainsi que certaines chansons modernes ont une ligne mélodique agréable, des paroles saines et n’expriment pas une philosophie contraire aux principes bibliques. Ce qu’il faut, c’est trouver et apprécier une musique qui n’exerce pas une influence néfaste sur notre esprit, une musique qui évoque ‘ce qui est juste, chaste, ce qui a bon renom, ce qui est vertueux et louable’. — Philippiens 4:8.

La place de la musique dans la vie du chrétien

>>>Certains goûtent le plaisir de la bonne musique en chantant ou en apprenant à jouer d’un instrument. On peut retirer beaucoup de plaisir à jouer en solo et en groupe, avec des membres de sa famille et des amis. Mais, comme en toutes choses, il faut être équilibré. Un divertissement ou un passe-temps ne devrait jamais en venir à occuper une place excessive dans la vie d’un chrétien. Si cela arrivait, même une musique saine aurait des effets néfastes. Le chrétien risquerait alors de devenir ‘ami des plaisirs plutôt qu’ami de Dieu’. — 2 Timothée 3:4.

>>>La musique fait aussi partie intégrante du culte que nous rendons à Jéhovah. Dans l’antique Israël, Asaph et ses frères déclarèrent dans un chant: “Rendez grâce à Jéhovah; invoquez son nom, faites connaître parmi les peuples ses hauts faits! Chantez pour lui, exécutez des mélodies pour lui, préoccupez-vous de tous ses actes prodigieux.” Oui, la musique peut louer Dieu et lui être agréable. — 1 Chroniques 16:8, 9.

>>>Les cantiques du Royaume que les Témoins de Jéhovah chantent dans leurs Salles du Royaume sont basés sur des versets des Écritures, des psaumes, des prières, et des enseignements bibliques. N’apprécions-nous pas également beaucoup cette musique sacrée? Et ne devrions-nous pas manifester notre joie en chantant ces cantiques avec sentiment et enthousiasme? Même en d’autres occasions que les réunions chrétiennes, pourquoi ne pas se détendre en écoutant les Mélodies du Royaume, qui sont d’agréables arrangements de ces cantiques?

>>>L’orchestre qui exécute ces arrangements n’est composé que de Témoins de Jéhovah. Certains sont des professionnels qui jouent dans des orchestres symphoniques. D’autres, comme l’ancien musicien de rock cité plus haut, sont des jeunes gens talentueux qui aiment de nombreux styles de musique convenables. Ils n’ont pas le sentiment d’avoir perdu quelque chose en renonçant à la musique qui reflète une mentalité terrestre, démoniaque. Leur excellent exemple montre que si nous laissons les principes bibliques déterminer nos choix dans ce domaine, la musique, profane comme sacrée, peut nous procurer à nous aussi une joie profonde et saine. — Éphésiens 5:18-20.

Cf. w89 1/6 p. 28-29 *** Le plaisir de la musique — Comment le goûter? ***

Que lire ? Sages conseils de Salomon

>>>“ À FAIRE beaucoup de livres il n’y a pas de fin, et se consacrer beaucoup à eux est une fatigue pour la chair. ” (Ecclésiaste 12:12). En écrivant ces mots il y a quelque 3 000 ans, Salomon, sage roi d’Israël, ne décourageait pas la lecture. Il sous-entendait plutôt qu’il fallait être sélectif. Comme cet avertissement est opportun à notre époque où l’on imprime chaque année des milliards de pages dans le monde !

>>>Les nombreux livres dont Salomon parlait n’étaient manifestement ni édifiants ni réconfortants. Voilà pourquoi il a souligné que se consacrer à eux est “ une fatigue pour la chair ” et ne procure aucun bienfait durable.

>>>Cependant, Salomon voulait-il dire par là qu’aucun livre n’apporte de direction judicieuse et fiable ? Non, car il a également écrit : “ Les paroles des sages sont comme des aiguillons, et comme des clous plantés, ceux qui composent des recueils de sentences ; ils ont été donnés de la part d’un seul berger. ” (Ecclésiaste 12:11). Effectivement, il existe des écrits qui, “ comme des aiguillons ”, peuvent stimuler. Ils peuvent aiguillonner quelqu’un pour le faire avancer sur le droit chemin. De plus, “ comme des clous plantés ”, ils peuvent renforcer sa détermination et avoir un effet stabilisant.

>>>Où pouvons-nous trouver de telles paroles sages ? D’après Salomon, les plus éminentes sont celles qui émanent du seul Berger, Jéhovah (Psaume 23:1). Par conséquent, le mieux est de se reporter au livre inspiré par Dieu, la Bible. La lecture régulière de ces paroles inspirées peut aider à devenir “ pleinement qualifié, parfaitement équipé pour toute œuvre bonne ”. — 2 Timothée 3:16, 17.

Cf. w04 1/12 p. 32 *** Que lire ? Sages conseils de Salomon ***

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