Nos discussions sur la base du texte du jour JW.ORG – Mardi 29 novembre 2022

[jean]

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Bonjour,

Une bonne discussion sur notre texte du jour du 29/11/2022 basé sur Jacques 1:19, qu'en pensez vous ?

Le texte du jour sur JW.ORG ICI

Bien fraternellement
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[jean]

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Bien entendu, il ne s’agit pas d’une étude la Bible réunissant un étudiant, un enseignant et une personne qui assiste, mais examinons ce récit pour faire un lien avec le texte du jour :
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Trois compagnons de Job apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés, et chacun vint de son lieu : Élifaz le Témanite, Bildad le Shouhite et Zofar le Naamatite. Ils se mirent d’accord pour se retrouver afin d’aller témoigner leur sympathie à Job et le consoler.
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 Lorsqu’ils le virent de loin, ils ne le reconnurent pas. Alors ils pleurèrent bruyamment, déchirèrent leurs vêtements et lancèrent de la poussière en l’air et sur leurs têtes.  Puis ils restèrent assis par terre avec lui pendant sept jours et sept nuits. Aucun d’eux ne lui dit un mot, car ils voyaient combien sa douleur était grande. (Job 2:11-13)
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Chacun doit être toujours prêt à écouter, lent à parler (Jacq. 1:19).
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Après cela, Job prit la parole et se mit à maudire le jour de sa naissance.  Il dit : (Job 3:1, 2)
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Les différentes interventions de Job concernant ce dialogue tiennent en +/- 483 lignes (sur du papier au format A4)
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Alors Élifaz le Témanite répondit : Les différentes interventions d’ Élifaz tiennent en +/- 101 lignes (sur du papier au format A4)
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Alors Bildad le Shouhite répondit : Les différentes interventions de Bildad tiennent en +/- 41 lignes (sur du papier au format A4)
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Zofar le Naamatite répondit : Les différentes interventions de Bildad tiennent en +/- 45 lignes (sur du papier au format A4)
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Au total pour les trois faux consolateurs c’est près de 187 lignes de paroles qui pour certaines étaient : Des paroles irréfléchies [qui] sont comme des coups d’épée, (…). (Proverbes 12:18a)
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Continuons l’analyse avec : Alors Élihou, fils de Barakel le Bouzite, prit la parole. Il dit : « Je suis jeune et vous êtes âgés. C’est pourquoi je me suis respectueusement retenu de parler (…) (Job 32:6a)
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Pour sa part, les différentes interventions de d’Élihou tiennent en +/- 154 lignes (sur du papier au format A4)
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Un peu moins que les trois autres, mais les paroles du jeune homme vont permettre de remettre les choses en ordre.
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Des paroles irréfléchies sont comme des coups d’épée, alors que la langue des sages apporte la guérison. (Proverbes 12:18)
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Alors, du milieu de la tempête de vent, Jéhovah répondit à Job : (Job 38:1) l’intervention  de Jéhovah tient en +/- 110 lignes (sur du papier au format A4)
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Mais une courte intervention au combien intéressante avec des enseignements riches et profonds.
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Chacun doit être toujours prêt à écouter, lent à parler (Jacq. 1:19).
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C’est vrai, Élifaz le Témanite, Bildad le Shouhite, Zofar le Naamatite ont pris le « temps d’écouter » mais ils n’ont pas pris la « peine d’écouter » correctement, et c’est ce que leur fait remarquer le jeune Élihou.
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C’est vrai, Élifaz le Témanite, Bildad le Shouhite, Zofar le Naamatite ont pris le « temps pour parler » mais ils n’ont pas pris la « peine de parler avec justesse ». (Job 32:1-3)
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Revenons au thème du texte du jour, et le rôle que doit tenir celui qui assiste à une étude de la Bible.
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Ce que nous avons entendu et que nous connaissons, ce que nos pères nous ont raconté,    nous ne le cacherons pas à leurs descendants ; nous raconterons à la génération future les actions dignes de louanges de Jéhovah ainsi que sa force, les choses prodigieuses qu’il a faites.
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Ceux-ci mettraient alors leur confiance en Dieu. Ils n’oublieraient pas les œuvres de Dieu, mais ils obéiraient à ses commandements. (Psaume 78:3, 4, 7)
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En écoutant attentivement les réponses de l’étudiant et en méditant sur ce que l’enseignant nous a dit de cette personne, soyons positifs en lui évoquant un point de notre histoire pour que l’étudiant soit encourager à poursuivre son étude et sa future vie de chrétien.
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Pensons que si l’enseignant nous a invités à son étude, c’est que nous avions quelque chose à apporter, mais gardons cela en mémoire ; nous n’assistons pas pour supplanter !
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