CREUSONS LES ECRITURES : ANNE AU TEMPLE – L’AMOUR FIDELE EN ACTION

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CREUSONS LES ECRITURES : ANNE AU TEMPLE – L’AMOUR FIDELE EN ACTION
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Comment définiriez-vous l’amour fidèle ?
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C’est un amour motivé par le sens de l’engagement et par un attachement profond.
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C’est d’ailleurs ce qu’en pense David quand il décrit ce qu’il y avait comme amour entre lui et Jéhovah : « Je reste attaché à toi ; ta main droite me tient ferme. » (Psaume 63:8)
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Vous avez remarqué, d’un côté un attachement indéfectible et de l’autre, la main ferme de Jéhovah, la main droite !
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Faisons un retour dans le passé, et imaginez-vous dans la ville de Jérusalem en l’an 2 av. n.è., et pour la ixième fois vous voyez passer devant chez vous une dame d’un âge fort avancé qui se rend régulièrement au Temple de Jéhovah pour adorer. Vous la connaissez bien, car elle vous parle souvent des promesses de Jéhovah, et du Messie qui doit venir selon ce qui est mentionné dans la Saintes Ecritures de l’époque.
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En somme, elle est Témoin de Jéhovah, et vous voyez en elle une croyante fervente et exemplaire. Et c’est ce qu’elle est !
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Lisons le récit qu’en fait l’évangéliste Luc au chapitre 2 de son livre à partir du verset 36 :
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser.
(Cette femme était très avancée en âge. Elle avait vécu sept ans avec son mari après leur mariage,  et c’était alors une veuve de 84 ans.)
Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications.
 Et ce jour-là, elle s’approcha et se mit à remercier Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc 2:36-38)

Et voilà, c’est tout : 17 lignes dans une Bible moderne ou 5 lignes sur une feuille au format A4.
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Bon, il y a de la matière pour analyser le personnage n’est-ce pas ?

• Vous connaissez son âge : 84 ans.
  
• Elle est veuve depuis très longtemps.
  
• Elle a vécu avec son mari 7 ans et elle était vierge à son mariage.
  
• Elle est considérée comme une prophétesse.
  
• Elle habitait logiquement à Jérusalem.
  
• Elle n’était jamais absente du Temple.
  
• Elle rendait un « culte pur » en faisant des jeunes et des supplications.
  
• Elle avait une bonne connaissance des Ecritures de son époque.
  
• Elle en parlait à qui voulait l’entendre.
  

Ah oui, pour certifier son récit, Luc précise : Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser.
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Phanouël (autre orthographe : Fanouel) (de l’héb. “ Penouël ”, “ Face de Dieu ”). {it-2 p. 567}
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Asher (autre orthographe : Aser) - (Heureux, Bonheur).
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2. (…) Dans la bénédiction prophétique que Moïse prononça avant l’entrée d’Israël en Canaan, il prédit de nouveau une part prospère à Asher. La tribu devait figurément ‘ tremper son pied dans l’huile ’. (Dt 33:24, 25 ; voir aussi Jb 29:6.) Le territoire qui lui fut attribué s’étendait le long des plaines méditerranéennes, depuis le S. de la ville de Dor, au S. du mont Carmel, jusqu’à la frontière nord de la Palestine à Sidon (Jos 17:7-11 ; 19:24-31). Cette portion comprenait certaines des terres les plus fertiles d’Israël, sur lesquelles les oliviers donnaient de l’huile en quantité, tandis que d’autres produits fournissaient des mets délicats dignes d’une table royale (Gn 49:20 ; Dt 33:24). {it-1 p. 200}
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Anne venait donc d’une région prospère mais pour une raison inconnue, elle était venue vivre à Jérusalem.
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Et voilà, c’est tout. Sauf si, on se pose c’est autre question : « Mais pourquoi Jéhovah a-t-il fait consigner par Luc cette rencontre plus de cinquante ans plus tard ? » Oui, pourquoi ??
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Car toutes les choses qui ont été écrites jadis ont été écrites pour notre instruction, afin que, grâce à notre endurance et à la consolation des Écritures, nous ayons l’espérance. (Romains 15:4)
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Anne a donc dû laisser un souvenir bien ancré dans la mémoire de certaines personnes qui l’on rencontrée, dans les souvenirs de Marie, la mère de Jésus, on ne sait pas, mais ce que l’on sait, c’est que Jéhovah par l’entremise de son esprit saint a fait rédiger ces quelques lignes pour qu’elles nous servent pour MEDITER.
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« Anne faisait ce qu’il y avait à faire par amour fidèle »
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Ne nous arrêtons pas après la lecture de ces 17 lignes pendant notre étude de la Parole de Dieu la Bible. NON, CREUSONS.
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser.
(Cette femme était très avancée en âge. Elle avait vécu sept ans avec son mari après leur mariage,  et c’était alors une veuve de 84 ans.)
Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications.
 Et ce jour-là, elle s’approcha et se mit à remercier Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc 2:36-38)
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En l’an 2 av. n.è. Anne à 84 ans, donc elle est née en l’an 86 av. n.è..
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Pour un fidèle adorateur de Jéhovah, cette période trouble à mis à rude épreuve la foi de certains.
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Vers 142 av. n.è. : Simon Maccabée parvint à faire de Jérusalem la capitale d’une région qui n’était, en apparence, ni vassale ni tributaire de nations gentiles. {it-2 p. 10}
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104 av. n.è. : Aristobule Ier, grand prêtre de Jérusalem, s’arrogea même le titre de roi (…). Il n’était pourtant pas de la lignée davidique. {it-2 p. 10}
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Pendant cette période, Jérusalem n’était pas une ‘ ville de paix ’. Elle fut sérieusement affaiblie par des querelles intestines, enflammées par des ambitions égoïstes et attisées par des factions religieuses rivales, les Sadducéens, les Pharisiens, les Zélotes et d’autres. Pour régler une querelle violente qui opposait Aristobule II à son frère Hyrcan, on s’en remit à l’arbitrage de Rome. {it-2 p. 10}
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Anne à 23 ans
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63 av. n. è. : les forces romaines conduites par le général Pompée assiégèrent Jérusalem pendant trois mois afin de pénétrer dans la ville et de trancher le litige. (Douze mille Juifs seraient morts, bon nombre de la main d’autres Israélites. {it-2 p. 10}
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Après ces faits : Antipater II, un Iduméen, fut alors nommé gouverneur romain de Judée, tandis qu’un Maccabée restait grand prêtre et ethnarque à Jérusalem. {it-2 p. 11}
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Idumée - (du gr., “ [Pays] des Édomites ”).
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Du temps des Maccabées et des Romains, les frontières géographiques de l’Idumée n’englobaient pas le cœur de l’Édom antique, à l’E. de la Araba, mais seulement une partie du territoire qui avait appartenu jadis aux tribus de Siméon et de Juda.
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D’après le livre apocryphe de 1 Maccabées (4:29, 61 ; 5:65, Jé), l’Idumée incluait la région de Hébrôn jusqu’à Beth-Tsour au N., à environ 26 km au S.-S.-O. de Jérusalem.
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On lit aussi que Judas Maccabée infligea une défaite cuisante aux Iduméens (1 Maccabées 5:3).
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Plus tard, lit-on dans les écrits de Josèphe, Jean Hyrcan Ier soumit tous les Iduméens et leur permit de rester dans le pays à condition qu’ils acceptent de se faire circoncire et d’observer la loi juive.
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Plutôt que de quitter le pays, les Iduméens se plièrent à ces conditions (Antiquités judaïques, XIII, 257, 258 [IX, 1]). {it-1 p. 1168}

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Anne à 47 ans
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39 av. n.è. : Hérode (le Grand), fils d’Antipater, fut établi par Rome “ roi ” sur la Judée. Il n’obtint le pouvoir sur Jérusalem qu’en 37 ou 36 av. n. è., date à laquelle son règne commença effectivement. {it-2 p. 11}
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Hérode
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Nom d’une famille de dirigeants politiques des Juifs. Ils étaient Iduméens, ou Édomites. Ils professaient le judaïsme, car, d’après Josèphe, Jean Hyrcan Ier, chef maccabéen, leur avait imposé la circoncision vers 125 av. n. è.
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(…) Le fils d’Antipater, qui s’appelait aussi Antipater ou Antipas, fut le père d’Hérode le Grand. (…) Hérode, qui, en réalité, était Édomite tant du côté de son père que du côté de sa mère.
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1. Hérode le Grand, deuxième fils d’Antipater (Antipas) II et de sa femme Cypros. L’Histoire corrobore l’exactitude du bref aperçu que la Bible donne du caractère de cet homme : sans scrupules, rusé, suspicieux, débauché, cruel et sanguinaire. Il avait hérité la diplomatie et l’opportunisme de son père. Il faut cependant lui reconnaître des talents d’organisateur et de chef militaire. Josèphe le présente comme un homme d’une grande force physique doublé d’un excellent cavalier, habile au lancer du javelot et au maniement de l’arc (Guerre des Juifs, I, 429, 430 [XXI, 13]). Probablement faut-il voir en son génie de constructeur sa qualité la plus marquante. {it-1 p. 1110}

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36 ou 37 av. n.è. : Hérode commence son règne.
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18 av. n.è. : Dans Guerre des Juifs (I, 401 [XXI, 1]), Josèphe dit qu’Hérode rebâtit le temple dans la 15e année de son règne, mais dans Antiquités judaïques (XV, 380 [XI, 1]), il dit que ce fut dans sa 18e année. C’est cette dernière date que les spécialistes retiennent généralement, bien que le début du règne d’Hérode, ou la manière dont Josèphe le calcula, ne soit pas établi avec certitude. {it-2 p. 1049-1050}
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16 av. n.è. : D’après Josèphe, le sanctuaire fut rebâti en 18 mois (Antiquités judaïques, XV, 421 [XI, 6]). {it-1 p. 1111}
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2 av. n.è. : Anne à 84 ans
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Qu’est ce que cela nous apprend sur Anne, et en quoi cela peut nous être utile ?

• Anne « à peut-être perdu » son mari lors des violences perpétrées à Jérusalem pendant le siège romain.
  
• Anne devait subir le joug des infidèles et des non-croyants, et pire, les chefs religieux pesaient sur la vie des veuves.
  
• Anne qui pratiquait le culte pur devait le faire dans un édifice reconstruit par un édomite, un ennemi juré du peuple de Dieu.
  
• Anne était avancée en âge, et le Messie n’était toujours pas là.
  

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Mais…
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Mais : « Anne faisait ce qu’il y avait à faire par amour fidèle »
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Elle aurait pu s’aigrir en faisant tout ce qu’il faut pour plaire à Jéhovah, en disant que tout empirait vers le mal, pis, que Dieu avait peut-être abandonné son peuple !
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Pas du tout, elle était fidèle à son Dieu parce qu’elle avait une relation forte avec Lui !
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Comme nos frères et sœurs âgés et/ou de longue date qui comme Anne, ne se découragent pas d’assister et de participer aux réunions.
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Comme nos frères et sœurs âgés et/ou de longue date qui comme Anne, qui ne se lassent pas de parler des promesses de Dieu à toutes les personnes qu’elles rencontrent.
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Comme nos frères et sœurs âgés et/ou de longue date qui comme Anne, qui ne se retiennent pas de remercier Dieu pour tous les bienfaits qu’ils ont malgré les handicaps inhérents à la vieillesse.
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Comme nos frères et sœurs âgés et/ou de longue date qui comme Anne, qui n’arrêtent pas de prier et de supplier Dieu nuit et jour.
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Comme Anne, ils sont au bon endroit, ils font la bonne chose  et ils ont le bon état d’esprit.
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« Je reste attaché à toi ; ta main droite me tient ferme. » (Psaume 63:8)
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Jéhovah n’a pas déçu sa fidèle adoratrice !
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Bien sûr, Anne n’a pas vécu assez longtemps pour être disciple du Christ, elle n’a pas été « oint de l’esprit», et n’a pas pu prêcher la bonne nouvelle du Royaume.
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Non, mais Jéhovah l’a béni d’une autre manière :
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser.
(Cette femme était très avancée en âge. Elle avait vécu sept ans avec son mari après leur mariage,  et c’était alors une veuve de 84 ans.)
Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications.
 Et ce jour-là, elle s’approcha et se mit à remercier Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc 2:36-38)
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Cette frêle personne avancée en âge, a laissé un souvenir fort enraciné dans la mémoire de ses auditeurs qui cinquante ans plus tard, ils ont pu en parler à Luc.
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Vous par exemple, qui habitiez à Jérusalem à l’époque, et qui la voyiez passer tous les jours, et quand elle reviendra de cette journée historique pour vous « prêcher » la bonne nouvelle, et qu’elle vous dira avec un « cœur gros comme ça » : « Nous avons [vu] le Messie » (Jean 1:41 paraphrasé)
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Car elle l’aura vu avec les yeux de la foi comme les Témoins de Jéhovah rendent témoignage des vérités bibliques qui sont contenues dans les publications de l’esclave fidèle et avisé (Matthieu 24:45).
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Et puis, méditons sur : La perte d’un être cher et le veuvage qui s’ensuit, l’injustice dont nous pourrions être victime ou le Nom de Jéhovah qui est sali, et puis l’attente du jour de libération qui tarde selon nous.
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Et puis, Anne nous donne de nouveau de la force :
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser.
(Cette femme était très avancée en âge. Elle avait vécu sept ans avec son mari après leur mariage,  et c’était alors une veuve de 84 ans.)
 Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications.
Et ce jour-là, elle s’approcha et se mit à remercier Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc 2:36-38)
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« Jamais absente du Temple » = Elle était au bon endroit.
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« service sacré nuit et jour » = Elle faisait la bonne chose.
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« en jeûnant et en faisant des supplications » = Elle avait le bon état d’esprit.
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La bonne chose, au bon endroit et avec le bon état d’esprit.
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Et Jéhovah l’a récompensée, c’est ça l’amour fidèle.
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« Je reste attaché à toi ; ta main droite me tient ferme. » (Psaume 63:8)
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Et c’est l’exemple que nous a laissé Anne dans les 17 lignes rédigées par l’évangéliste Luc.
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Puissions-nous en faire de même, et que Jéhovah nous tienne fermement par sa main droite.
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Exposé basé pour partie sur la vidéo : « ‘Je reste attaché à toi ; tu me tiens ferme’ » présentée par Mark Noumair (assistant au Comité de l’enseignement) lors de la Remises des diplômes de la 150 éme classe de l’école biblique de Galaad, et disponible sur jw.org ICI

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La bonne chose, au bon endroit et avec le bon état d’esprit.
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, la fille de Fanouel, qui était de la tribu d’Aser. (Cette femme était très avancée en âge. Elle avait vécu sept ans avec son mari après leur mariage,  et c’était alors une veuve de 84 ans.) Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications. (Luc 2:36, 37)
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Puis il (c.-à-d. Jésus) entra dans le Temple et commença à jeter dehors ceux qui étaient là pour vendre,  en leur disant : « Il est écrit : “Ma maison sera une maison de prière”, mais vous en avez fait une caverne de voleurs. » (Luc 19:45, 46)
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Il y avait aussi une prophétesse appelée Anne, (…) Elle n’était jamais absente du Temple : elle y offrait un service sacré nuit et jour en jeûnant et en faisant des supplications. (Luc 2:36, 37)
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Et ce jour-là, elle s’approcha et se mit à remercier Dieu et à parler de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem. (Luc 2:38)
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La bonne chose, au bon endroit et avec le bon état d’esprit.
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Illustrations issues de la vidéo du programme musicale du dimanche après-midi de l’assemblée 2020 disponible sur jw.org ICI (à partir de 06:05)
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La version chantée se trouve sur jw.org ICI
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Et les paroles du chant se trouvent ci-après en dessous de la barre :
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Le Dieu de notre joie
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(Psaume 16:11)
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Tu me fais connaître le sentier de la vie. En ta présence, la joie se trouve en abondance ; à ta droite, il y a du bonheur pour toujours. (Psaume 16:11)
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Paroles en dessous de la barre:

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[Amaytois]

Magnifiques recherches

Cela démontre une chose, Anne avait 84 ans, de nos jours, bien des personnes âgées végètent dans des homes, ou bien se déclarent trop vieux, trop vieille. Faux archi faux connaissez-vous Kuttiyamma. Elle est indienne elle a 104 ans et elle apprend à lire et écrire.

Alors entendre dire il est trop tard pour changer est bien triste, à notre époque, il y a de fidèles veuves dans toutes les assemblées du monde, déjà avancées voir très avancées en age, elles offrent un service sacré à Dieu, nuit et jour tout comme Anne. Nous sommes si heureux d’avoir parmi nous des femmes comme cette prophétesse.

Même à un âge avancé, hommes et femmes peuvent se vouer à Jéhovah et symboliser l’offrande de leur personne par le baptême.

[folens]

Superbes

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