Nos discussions sur la base du texte du jour JW.ORG – Samedi 24 février 2024

[jean]

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Bonjour,

Une bonne discussion sur notre texte du jour du 24/02/2024 basé sur Isaïe 41:13, qu'en pensez vous ?

Le titre de l'article d'étude de La Tour de Garde concerné est : « L’amour qu’a le Christ nous oblige »

Le texte du jour sur JW.ORG ICI
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Bien fraternellement
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[jean]

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Jésus est mort sur le poteau, et il faut respecter la Loi qui dit :
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« Si un homme commet un péché qui mérite la condamnation à mort, qu’il ait été mis à mort et que tu l’aies pendu à un poteau,  son cadavre ne passera pas la nuit sur le poteau.
Tu veilleras à l’enterrer le jour même, car un cadavre pendu est chose maudite par Dieu.
Tu ne profaneras pas le pays que Jéhovah ton Dieu te donne en héritage. (Deutéronome 21:22, 23)
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Mais qui va se proposer pour réaliser les autres prophéties messianiques ?
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Lisons les récits bibliques qui en parlent, et pour commencer :
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(-1-) Vers 41 de n. è. en Palestine, Matthieu écrit : À la fin de l’après-midi, un homme riche d’Arimathie arriva.
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Il s’appelait Joseph et était lui aussi devenu un disciple de Jésus.
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 Cet homme alla voir Pilate et lui demanda le corps de Jésus.
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Alors Pilate ordonna qu’on le lui donne.
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 Joseph prit le corps, l’enveloppa dans du fin lin pur  et le déposa dans sa tombe, qu’il avait creusée dans la roche et qui était toute neuve.
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Puis il roula une grosse pierre devant l’entrée de la tombe et il partit. (Matthieu 27:57-60)
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(-2-) vers 56-58 de n. è. à Césarée, le disciple Luc écrit : Voici qu’il y avait un homme appelé Joseph, un membre du Conseil, qui était bon et juste.
 (Cet homme n’avait pas voté en faveur de leur complot et de leur action.)
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Il était d’Arimathie, une ville de Judée, et il attendait le royaume de Dieu.
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 Il alla voir Pilate pour lui demander le corps de Jésus.
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Il le descendit du poteau, l’enveloppa dans du fin lin et le déposa dans une tombe creusée dans la roche et où l’on n’avait encore mis personne.
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 C’était le jour de la Préparation, et le sabbat allait commencer. (Luc 23:50-54)
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(-3-) Vers 60-65 de n. è. à Rome, Marc écrit : Comme c’était le jour de la Préparation, c’est-à-dire la veille du sabbat, et qu’on était déjà à la fin de l’après-midi,  Joseph d’Arimathie, membre respecté du Conseil qui attendait lui aussi le royaume de Dieu, eut le courage d’aller voir Pilate pour lui demander le corps de Jésus.
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 Mais Pilate se demanda s’il était possible que Jésus soit déjà mort.
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Il fit donc appeler l’officier pour lui demander si c’était le cas.
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 Comme l’officier lui en donna la confirmation, il permit à Joseph de prendre le corps.
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 Après avoir acheté du fin lin et avoir descendu le corps, Joseph l’enveloppa dans le fin lin et le déposa dans une tombe qui était creusée dans la roche.
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Puis il roula une pierre jusqu’à l’entrée de la tombe. (Marc 15:42, 43, 44-46)
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(-4-) L’apôtre Jean qui va rédiger son évangile quelques dizaines d’années plus tard (vers 98 de n. è. à Éphèse, ou à proximité) va écrire :
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Or, après ces choses, Joseph d’Arimathie, qui était un disciple de Jésus, mais en secret parce qu’il avait peur des Juifs, demanda à Pilate s’il pouvait emporter le corps de Jésus.
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Pilate lui en donna la permission.
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Joseph vint donc et emporta le corps.
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 Nicodème, l’homme qui était allé voir Jésus de nuit la première fois, vint lui aussi ; il apportait un mélange de myrrhe et d’aloès qui pesait environ 100 livres.
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 Ils prirent le corps de Jésus et l’enveloppèrent de toiles de lin, avec les aromates, selon la coutume des Juifs pour les enterrements.
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 Or, il y avait un jardin à l’endroit où il avait été exécuté, et dans le jardin, il y avait une tombe toute neuve où personne encore n’avait été déposé.
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 Comme c’était le jour de la Préparation des Juifs et que la tombe était proche, ils y déposèrent Jésus. (Jean 19:38-42)
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Si vous comparez les quatre récits, notez les détails donnés par chacun, en vous rappelant que l’apôtre Jean :
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Quand Jésus vit sa mère et le disciple qu’il aimait se tenant près de là, il dit à sa mère :
« Femme, voici ton fils. »
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 Puis il dit au disciple :
« Voici ta mère. »
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Et dès cette heure-là, le disciple la prit chez lui. (Jean 19:26, 27)
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En vous rappelant que Jean est donc un témoin oculaire des événements, et c’est intéressant de savoir qu’il ajoute un autre protagoniste qui dû lui aussi faire preuve de courage, parce que l’apôtre Jean est le seul à l’évoquer :
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Alors les agents revinrent vers les prêtres en chef et les pharisiens, et ceux-ci leur dirent :
« Pourquoi ne l’avez-vous pas amené ? »
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 Les agents répondirent :
« Jamais un homme n’a parlé de cette façon. »
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 Les pharisiens répliquèrent :
« Vous ne vous êtes tout de même pas laissé tromper, vous aussi ?
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 Pas un seul des chefs ou des pharisiens n’a eu foi en lui, n’est-ce pas ?
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 Mais cette foule qui ne connaît pas la Loi, ce sont des maudits. »
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 Nicodème, qui était allé voir Jésus auparavant et faisait partie de ces pharisiens, leur dit :
 « Notre Loi ne juge pas un homme sans l’avoir d’abord entendu et sans avoir appris ce qu’il fait, n’est-ce pas ? »
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 Ils lui répondirent :
« Tu n’es tout de même pas de Galilée, toi aussi ?
Fais des recherches et vois que, de Galilée, il ne se lèvera pas de prophète. » (Jean 7:45-52)
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Et oui, Nicodème le pharisien, a lui aussi montré son attachement à Christ, et a compris ce que l’apôtre Paul dira plus tard et qui sert de verset thème et de titre de l'article d'étude de La Tour de Garde retenu pour aujourd’hui :
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En effet, l’amour qu’a le Christ nous oblige, car voici la conclusion à laquelle nous sommes arrivés :
Un seul homme est mort pour tous ; ainsi donc, tous étaient morts.
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 Et il est mort pour tous afin que ceux qui vivent ne vivent plus pour eux-mêmes, mais pour celui qui est mort pour eux et a été ressuscité. (2 Corinthiens 5:14, 15)
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Pour lire convenablement, les quatre récits, il faut se rappeler pour qui était destiné chaque évangile et donc chaque détail compte, et permet de comprendre avec force, le courage qu’une personne intéressée peut devenir un disciple de Jésus, et ensuite, prendre le baptême chrétien en reconnaissance du sacrifice de Jésus.
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Et c’est là l’intérêt du verset thème servant de support au texte du jour qui dit :
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Moi, Jéhovah ton Dieu, je prends ta main droite, moi, celui qui te dit :
« N’aie pas peur.
Je t’aiderai » (Is. 41:13).
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L’expression « n’aie pas peur » apparaît trois fois en Isaïe 41, aux versets 10, 13 et 14.
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Ces versets mentionnent également souvent le pronom « je » (désignant Jéhovah).
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Pourquoi Jéhovah a-t-il veillé à ce qu’Isaïe utilise aussi souvent ce pronom ?
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Pour faire ressortir une idée importante : c’est seulement en faisant confiance à Jéhovah que nous pouvons apaiser nos peurs.
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w19 janvier p. 3 « Ne t’inquiète pas, car je suis ton Dieu »
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Mais aussi, Jéhovah nous dit : Oui, je t’aiderai ; vraiment, je te soutiendrai avec ma main droite, (v.10) et Car moi, Jéhovah ton Dieu, je prends ta main droite, (v.13)
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Rappelez-vous ce point essentiel : Jéhovah est en face de nous, il veut et il a le pouvoir de nous venir en aide comme Il l’a fait pour Joseph d’Arimathie et pour Nicodème qui ont tous les deux vaincu leur peur et qui pris conscience que le sacrifice de Jésus est une acte d’amour et que : l’amour qu’a le Christ nous oblige.……..à avoir confiance en Jéhovah.
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