Le Codex Sinaiticus "sous la loupe"
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Le Codex Sinaiticus "sous la loupe"
Bonsoir à tous & à toutes,
Pour les "amoureux" des belles lettres, voici le Codex Sinaiticus sous la loupe.
Le site du Codex Sinaiticus ici
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Bonne lecture.
Agapé.
@jean
Pour les "amoureux" des belles lettres, voici le Codex Sinaiticus sous la loupe.
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Le Codex Sinaïticus est l'un des livres les plus importants dans le monde. Ces pièces manuscrites sont ainsi vieilles de plus de 1600 ans, le manuscrit contient la Bible chrétienne, en grec, dont la plus ancienne copie complète du Nouveau Testament.
Son texte lourdement corrigé est d'une importance exceptionnelle pour l'histoire de la Bible et le manuscrit -
le plus vieux livre substantielle pour affronter l'Antiquité - est d'une importance capitale pour l'histoire du livre.
Bonne lecture.
Agapé.
@jean
_________________
Références bibliques tirées des Saintes Écritures — Traduction du monde nouveau
(sauf mention contraire)
Extraits des publications et manuels d'études bibliques :
Copyright [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 2023 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania. Tous droits réservés.
Ceci signifie la vie éternelle : qu’ils apprennent à te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. (Jean 17:3)
‘ Vous tous, Juifs et gens des nations, il faudra que vous sachiez que je suis Jéhovah. ’
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Re: Le Codex Sinaiticus "sous la loupe"
Un trésor sauvé de la destruction à feuilleter sur internet
ON A DIT du Codex Sinaiticus qu’il était “le livre le plus important, le plus passionnant et le plus précieux qui soit”. Pourquoi?
Pas seulement en raison de son âge, au moins 1 600 ans, mais parce qu’il constitue un élément essentiel du catalogue actuel des manuscrits de la Bible. Voici l’histoire captivante de sa redécouverte par Tischendorf, il y a à peine plus d’un siècle.
C’est ainsi qu’en mai 1844, après avoir passé quatre années à consulter les meilleures bibliothèques d’Europe, Tischendorf se rendit au monastère Sainte-Catherine, sur le mont Sinaï, à 1 400 mètres au-dessus de la mer Rouge. On ne pouvait pénétrer dans la retraite quasi fortifiée des moines qu’en montant dans un panier suspendu à une corde et en passant par une petite ouverture pratiquée dans un mur.
DES EFFORTS RÉCOMPENSÉS
Les moines autorisèrent Tischendorf à faire des recherches dans leurs trois bibliothèques, mais il n’y trouva rien. Or, comme il s’apprêtait à partir, il aperçut ce qu’il cherchait: d’anciens parchemins entassés dans une grande corbeille, dans l’entrée de la bibliothèque principale! Le bibliothécaire lui expliqua qu’ils étaient destinés à être brûlés comme l’avaient déjà été deux autres pleines corbeilles. Tischendorf fut abasourdi de trouver parmi ces parchemins 129 pages du plus ancien manuscrit qu’il avait jamais vu: une traduction grecque de portions des Écritures hébraïques. On lui en donna 43 pages, mais on ne lui permit pas d’en emporter davantage.
En 1853, Tischendorf revint au monastère, mais n’y découvrit qu’un fragment de la Genèse couché sur le même manuscrit du IVe siècle. Il était convaincu “que ce manuscrit contenait à l’origine l’intégralité de l’Ancien Testament, mais qu’il avait été presque entièrement détruit depuis longtemps”. Le manuscrit complet, qui devait probablement comporter 730 pages, était écrit en caractères grecs onciaux (capitales) sur vélin, une fine peau de mouton ou de chèvre.
Six ans plus tard, Tischendorf rendit visite pour la troisième fois aux moines du mont Sinaï. La veille de son départ, on lui montra par hasard, non seulement les parchemins qu’il avait sauvés du feu 15 ans auparavant, mais aussi de nombreux autres. Il y avait là, en totalité, les Écritures grecques chrétiennes et une partie de la traduction en grec des Écritures hébraïques.
On autorisa Tischendorf à emporter ce manuscrit au Caire, en Égypte, pour en faire une copie et l’envoyer ensuite au tsar de Russie comme présent de la part des moines. Ce manuscrit est aujourd’hui exposé au British Museum, à côté du Codex Alexandrinus. Les 43 pages ramenées antérieurement sont conservées à la bibliothèque universitaire de Leipzig, en République démocratique allemande.
Nous pouvons être reconnaissants à Tischendorf d’avoir consacré sa vie et ses compétences à rechercher d’anciens manuscrits de la Bible, et tout particulièrement d’avoir sauvé le fameux Codex Sinaiticus.
Mais, par-dessus tout, nous exprimons notre gratitude à Jéhovah, qui a veillé à ce que sa Parole soit préservée avec tant d’exactitude pour notre profit.
source : Yannick
--
Agapé.
@jean
ON A DIT du Codex Sinaiticus qu’il était “le livre le plus important, le plus passionnant et le plus précieux qui soit”. Pourquoi?
Pas seulement en raison de son âge, au moins 1 600 ans, mais parce qu’il constitue un élément essentiel du catalogue actuel des manuscrits de la Bible. Voici l’histoire captivante de sa redécouverte par Tischendorf, il y a à peine plus d’un siècle.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | Constantin von Tischendorf naquit en Saxe, dans le nord de l’Europe, en 1815. Alors qu’il étudiait le grec à l’université de Leipzig, il était troublé par la Haute critique de la Bible promue par de célèbres théologiens allemands qui cherchaient à démolir l’authenticité des Écritures grecques chrétiennes. Tischendorf acquit pour sa part la conviction que l’étude des manuscrits primitifs confirmerait l’authenticité du texte biblique. Il résolut donc de faire, à titre personnel, des recherches dans tous les manuscrits connus, espérant même en découvrir d’autres au cours de ses voyages. |
C’est ainsi qu’en mai 1844, après avoir passé quatre années à consulter les meilleures bibliothèques d’Europe, Tischendorf se rendit au monastère Sainte-Catherine, sur le mont Sinaï, à 1 400 mètres au-dessus de la mer Rouge. On ne pouvait pénétrer dans la retraite quasi fortifiée des moines qu’en montant dans un panier suspendu à une corde et en passant par une petite ouverture pratiquée dans un mur.
DES EFFORTS RÉCOMPENSÉS
Les moines autorisèrent Tischendorf à faire des recherches dans leurs trois bibliothèques, mais il n’y trouva rien. Or, comme il s’apprêtait à partir, il aperçut ce qu’il cherchait: d’anciens parchemins entassés dans une grande corbeille, dans l’entrée de la bibliothèque principale! Le bibliothécaire lui expliqua qu’ils étaient destinés à être brûlés comme l’avaient déjà été deux autres pleines corbeilles. Tischendorf fut abasourdi de trouver parmi ces parchemins 129 pages du plus ancien manuscrit qu’il avait jamais vu: une traduction grecque de portions des Écritures hébraïques. On lui en donna 43 pages, mais on ne lui permit pas d’en emporter davantage.
En 1853, Tischendorf revint au monastère, mais n’y découvrit qu’un fragment de la Genèse couché sur le même manuscrit du IVe siècle. Il était convaincu “que ce manuscrit contenait à l’origine l’intégralité de l’Ancien Testament, mais qu’il avait été presque entièrement détruit depuis longtemps”. Le manuscrit complet, qui devait probablement comporter 730 pages, était écrit en caractères grecs onciaux (capitales) sur vélin, une fine peau de mouton ou de chèvre.
Six ans plus tard, Tischendorf rendit visite pour la troisième fois aux moines du mont Sinaï. La veille de son départ, on lui montra par hasard, non seulement les parchemins qu’il avait sauvés du feu 15 ans auparavant, mais aussi de nombreux autres. Il y avait là, en totalité, les Écritures grecques chrétiennes et une partie de la traduction en grec des Écritures hébraïques.
On autorisa Tischendorf à emporter ce manuscrit au Caire, en Égypte, pour en faire une copie et l’envoyer ensuite au tsar de Russie comme présent de la part des moines. Ce manuscrit est aujourd’hui exposé au British Museum, à côté du Codex Alexandrinus. Les 43 pages ramenées antérieurement sont conservées à la bibliothèque universitaire de Leipzig, en République démocratique allemande.
Nous pouvons être reconnaissants à Tischendorf d’avoir consacré sa vie et ses compétences à rechercher d’anciens manuscrits de la Bible, et tout particulièrement d’avoir sauvé le fameux Codex Sinaiticus.
Mais, par-dessus tout, nous exprimons notre gratitude à Jéhovah, qui a veillé à ce que sa Parole soit préservée avec tant d’exactitude pour notre profit.
source : Yannick
--
Agapé.
@jean
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