Nos discussions sur la base du texte du jour JW.ORG – Dimanche 24 décembre 2023

[jean]

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Bonjour,

Une bonne discussion sur notre texte du jour du 24/12/2023 basé sur Exode 20:2, 3, qu'en pensez vous ?

Le titre de l'article d'étude de La Tour de Garde concerné est : « Vous devez être saints »

Le texte du jour sur JW.ORG ICI
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Bien fraternellement
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[jean]

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En rapport avec le thème de l’article d'étude numéro 48 de La Tour de Garde retenu pour aujourd'hui, nous étions invités à lire quelques conseils que l’apôtre Pierre a écrit sous inspiration :
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C’est pourquoi mobilisez vos facultés pour agir ; gardez tout votre bon sens ; mettez votre espérance dans la faveur imméritée qui vous sera apportée lors de la révélation de Jésus Christ.
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 Tels des enfants obéissants, ne vous laissez plus modeler par les désirs que vous aviez autrefois, dans votre ignorance,  mais, comme le Saint qui vous a appelés, devenez saints vous aussi dans toute votre conduite,  parce qu’il est écrit :
« Vous devez être saints, car je suis saint. » (1 Pierre 1:13-16)
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L’apôtre Pierre, un proche de Jésus, savait ce que voulait dire « Vous devez être saints, car je suis saint. », car il a vu Jésus à l'œuvre et comment il mettait en pratique ce commandement venant de son Père.
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En plongeant son regard dans la Loi parfaite venant de Jéhovah, les renvois bibliques au dernier mot saint sont :
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Car je suis Jéhovah votre Dieu ; vous devez vous sanctifier et devenir saints, car je suis saint.
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Vous ne devez donc pas vous rendre impurs par toute bête pullulante qui se déplace sur la terre. (Lévitique 11:44)
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« Dis à toute la communauté des Israélites :
“Vous devez être saints, car moi, Jéhovah votre Dieu, je suis saint. (Lévitique 19:2)
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« “Vous devez vous sanctifier et devenir saints, car je suis Jéhovah votre Dieu. (Lévitique 20:7)
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Vous devez être saints pour moi, car moi, Jéhovah, je suis saint, et je vous mets à part des peuples pour que vous m’apparteniez. (Lévitique 20:26)
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Nous voyons donc que ce n’est pas une mission impossible pour des personnes imparfaites de suivre ce commandement : « Vous devez être saints, car je suis saint. »
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Vous avez noté que les quatre renvois sont tirés du livre du Lévitique, et puisque l’article d’étude parle du chapitre 19 de ce livre, regardons les passages suivants :
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« “Et si vous offrez à Jéhovah un sacrifice de paix, vous le sacrifierez de façon à vous attirer son approbation.
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 Le sacrifice sera mangé le jour où il est offert et le lendemain ; ce qui restera le troisième jour sera brûlé.
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 Mais si quelqu’un en mange le troisième jour, c’est une chose repoussante qui ne sera pas approuvée.
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 Celui qui en mangera portera la responsabilité de sa faute, car il aura profané une chose sainte de Jéhovah ; il devra être retranché de son peuple. (Lévitique 19:5-8)
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Ce n’était quand même insurmontable pour les Israélites, surtout quand on connaît la signification et le but de ce sacrifice dont l’ouvrage de référence Etudes Perspicaces des Ecritures (it-2 p. 847) explique à l’entrée : Sacrifices, offrandes :
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Les sacrifices de communion agréables à Jéhovah signifiaient la paix avec Dieu.
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L’adorateur et sa maisonnée y avaient part (...).
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Le prêtre officiant recevait une portion, et les prêtres de service une autre portion. (...)
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Ainsi, les prêtres, les adorateurs et Jéhovah partageaient en quelque sorte ce repas, ce qui signifiait des relations de paix.
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Quiconque (...) souillait ou profanait le repas, soit parce qu’elle était impure elle-même, soit parce qu’elle mangeait une chose infecte aux yeux de Jéhovah Dieu, montrant du mépris pour les choses sacrées.
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On ne peut pas dire que c’était un commandement pesant n’est-ce pas !?!
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« “Si un homme couche avec une femme et a un rapport avec elle alors qu’elle est une servante promise à un autre homme et qu’elle n’a pas été rachetée ou libérée, il y aura punition.
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Cependant, ils ne seront pas mis à mort, car elle n’était pas encore libérée.
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 L’homme amènera son sacrifice de réparation à Jéhovah, à l’entrée de la tente de la rencontre :
un bélier en sacrifice de réparation.
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 Le prêtre fera le rite de réconciliation en sa faveur avec le bélier du sacrifice de réparation, devant Jéhovah, pour le péché qu’il a commis ; et le péché qu’il a commis lui sera pardonné. (Lévitique 19:20, 21-22)
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La non plus, ce n’était quand même insurmontable pour les Israélites, surtout qu’ils bénéficiaient de la miséricorde divine car voici ce qu’en dit l’ouvrage de référence Etudes Perspicaces des Ecritures (it-1 p. 920) qui explique à l’entrée : Fornication :
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Si un homme commettait la fornication (...), il fallait les punir. Cependant, on ne devait pas les mettre à mort (...), sans doute parce que la femme n’était pas encore libre et pleinement maîtresse de ses actes, comme une fiancée libre l’aurait été.
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Le prix de rachat n’avait pas encore été payé, du moins pas intégralement, et elle était encore l’esclave de son maître.
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Jéhovah dit encore à Moïse :
 « Si quelqu’un pèche et se montre infidèle envers Jéhovah en trompant son prochain au sujet d’une chose qui lui a été confiée ou qui lui a été laissée en gage, ou s’il vole ou dépossède son prochain,  ou s’il trouve une chose perdue et ment à ce sujet, et si à propos de tout péché de ce genre qu’il a commis, il fait un faux serment, voici ce qu’il devra faire : (...) il amènera au prêtre, comme sacrifice de réparation pour Jéhovah, un bélier sans défaut pris dans le petit bétail, selon la valeur estimée, pour un sacrifice de réparation.
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 Le prêtre fera le rite de réconciliation pour lui devant Jéhovah, et tout ce dont il s’est rendu coupable lui sera pardonné. » (Lévitique 6:1-7)
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Oui, nous pouvons apprendre beaucoup de choses en méditant sur les lois données à la nation d’Israël par Jéhovah !
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Pourquoi ?
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1°) Parce qu’elles nous montrent quel Dieu bon et miséricordieux nous adorons et que nous servons.
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2°) De plus, elles nous aident à comprendre comment (ré)agir pour : « Vous devez être saints, car je suis saint. »
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3°) Et elles nous montrent qu’obéir à Dieu n’est pas trop difficile, parce qu’un autre proche de Jésus, l’apôtre Jean écrira sous inspiration :
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Mes petits enfants, je vous écris ces choses pour que vous ne commettiez pas de péché.
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Et pourtant, si quelqu’un vient à commettre un péché, nous avons un assistant auprès du Père, Jésus Christ, un juste.
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 Et il est un sacrifice de réconciliation pour nos péchés, pas seulement pour les nôtres cependant, mais aussi pour ceux du monde entier.
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 Et voici comment nous savons que nous avons appris à le connaître :
si nous continuons d’obéir à ses commandements.
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 Si quelqu’un dit :
« J’ai appris à le connaître », mais n’obéit pas à ses commandements, c’est un menteur, et la vérité n’est pas en lui.
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 Mais si quelqu’un obéit à sa parole, en celui-là l’amour pour Dieu a vraiment été rendu parfait.
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Par là nous savons que nous sommes en union avec lui.
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 Celui qui dit qu’il reste en union avec lui est lui-même tenu de continuer à vivre comme Jésus a vécu. (1 Jean 2:1-6)
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Par là nous saurons que nous venons de la vérité, et nous apaiserons notre cœur devant Dieu,  et cela quelle que soit la raison pour laquelle notre cœur nous condamnerait, car Dieu est plus grand que notre cœur et il connaît toutes choses.
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 Bien-aimés, si notre cœur ne nous condamne pas, nous pouvons parler librement à Dieu ;  et tout ce que nous demandons, nous le recevons de lui, parce que nous obéissons à ses commandements et faisons ce qui est agréable à ses yeux.
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 En effet, voici son commandement :
que nous ayons foi dans le nom de son Fils Jésus Christ et que nous nous aimions les uns les autres, tout comme il nous en a donné le commandement.
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 De plus, celui qui obéit à ses commandements reste en union avec lui, et lui en union avec celui-là.
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Et par l’esprit qu’il nous a donné, nous savons qu’il reste en union avec nous. (1 Jean 3:19-24)
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Toute personne qui croit que Jésus est le Christ est née de Dieu, et toute personne qui aime Dieu, celui qui a fait naître, aime celui qui est né de lui.
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 C’est ainsi que nous savons que nous aimons les enfants de Dieu :
lorsque nous aimons Dieu et que nous appliquons ses commandements.
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 Car voici ce que signifie aimer Dieu :
c’est obéir à ses commandements.
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Or, ses commandements ne sont pas pénibles,  parce que toute personne qui est née de Dieu remporte la victoire sur le monde.
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Et voici ce qui nous a permis de vaincre le monde :
notre foi. (1 Jean 5:1-4)
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Ne retrouvons-nous pas dans ces paroles du disciple que Jésus aimait tant tout ce qu’expriment les passages du livre du Lévitique ?
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Alors, voilà la clé du succès pour être saint : Car voici ce que signifie aimer Dieu :
c’est obéir à ses commandements.
Or, ses commandements ne sont pas pénibles,  parce que toute personne qui est née de Dieu remporte la victoire sur le monde.
Et voici ce qui nous a permis de vaincre le monde : notre foi.
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Avec foi et en étant obéissant, nous pouvons réussir ce challenge : « Vous devez être saints, car je suis saint. »
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