Nos discussions sur la base du texte du jour JW.ORG – Lundi 12 septembre 2022

[jean]

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Bonjour,

Une bonne discussion sur notre texte du jour du 12/09/2022 basé sur Luc 19:10, qu'en pensez vous ?

Le texte du jour sur JW.ORG ICI

Bien fraternellement
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[jean]

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Mais voici comment Dieu nous montre son amour : Christ est mort pour nous alors que nous étions encore pécheurs. (Romains 5:8)
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N’est-ce pas là, la plus grande preuve d’amour de Jéhovah, et l’intérêt qu’Il porte à notre modeste personne ?
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Jésus va expliquer à l’aide de trois exemples (Ou « paraboles ») ce qui a été perdu, et l’ordre dans lequel sont mentionnées les comparaisons doivent nous faire réfléchir : L’action se situe probablement en Pérée en l’an 32 après la fête de l’inauguration, et Jésus se trouve confronté à : [d]es pharisiens comme les scribes [qui ]murmuraient : « Cet homme accueille des pécheurs et mange avec eux. » (Luc 15:2)
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De qui parlaient-ils ? les collecteurs d’impôts et les pécheurs se rassemblaient autour de Jésus pour l’écouter. (Luc 15:1)
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Alors il leur donna cet exemple :  « Si l’un de vous a 100 brebis et qu’il en perde une, ne laissera-t-il pas les 99 autres dans le pâturage pour chercher celle qui est perdue jusqu’à ce qu’il la trouve ?  Et quand il l’a trouvée, il la met sur ses épaules et se réjouit.  Puis, quand il revient chez lui, il appelle ses amis et ses voisins, et leur dit : “Réjouissez-vous avec moi, parce que j’ai retrouvé ma brebis qui était perdue.”  Je vous dis que, de la même façon, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de se repentir. (Luc 15:3-7)
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Rappelez-vous que les auditeurs de Jésus sont très conscients de ce que représente la perte d’une brebis tant pour le commun peuple qu’au niveau comptable pour les autres !
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Le berger connait son troupeau, et il s’aperçoit qu’il en manque une, non pas quand il les fait rentrer dans l’enclos, mais pendant qu’elles pâturent. Il est attentif au bien être de son troupeau.
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Les chefs religieux juifs étaient très loin d’une telle sollicitude, surtout que les collecteurs d’impôts, surtout ceux qui étaient Juifs, étaient haïs parce que leur métier consistait à percevoir l’impôt pour les Romains détestés. Ils étaient traités avec mépris, et voilà que Jésus les enseigne sur ce qu’est la miséricorde de Dieu : Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (Luc 19:10)
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Ensuite, Jésus cite cet exemple suivant : « Ou bien si une femme a dix drachmes et qu’elle en perde une, ne va-t-elle pas allumer une lampe, balayer sa maison et chercher soigneusement jusqu’à ce qu’elle la trouve ?  Et quand elle l’a trouvée, elle appelle ses amies et ses voisines, et leur dit : “Réjouissez-vous avec moi, parce que j’ai retrouvé la drachme que j’avais perdue.”  Je vous dis que, de la même façon, les anges de Dieu se réjouissent pour un seul pécheur qui se repent. » (Luc 15:8-10)
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Quelque soit la personne qui écoute, elle sait qu’une drachme vaut presque le salaire d’une journée de travail. N’importe qui ferait tout son possible pour retrouver cet argent n’est-ce pas !?!
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Mais l’exemple de Jésus mentionne le chiffre 10, ce qui peut sous-entendre que la pièce perdue pouvait avoir une valeur toute particulière, puisqu’elle faisait partie d’un ensemble ; il s’agissait peut-être d’un héritage ou encore d’un élément d’une parure constituée de drachmes à laquelle la femme tenait beaucoup.
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Dans une prophétie concernant Jésus, il est dit : j’étais alors près de lui comme un habile ouvrier. J’étais celle à qui il était particulièrement attaché, jour après jour. Je me réjouissais tout le temps devant lui ;  je me réjouissais au sujet de sa terre devenue habitable, et j’étais particulièrement attachée aux fils des hommes. (Proverbes 8:30, 31)
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Jésus comme Jéhovah font leur possible pour que tous les humains parviennent à la repentance, et que dans ce cas ci, le collier ou la parure soit complète pour le plus grand plaisir de celle qui le porte et des personnes qui l’admirent.
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Les chefs religieux juifs étaient très loin d’une telle sollicitude, surtout que pour eux : cette foule qui ne connaît pas la Loi, ce sont des maudits (Jean 7:49), et voilà que Jésus les enseigne sur ce qu’est la miséricorde de Dieu : Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (Luc 19:10)
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Et voilà donc le troisième exemple : Le fils prodigue (Luc 15:11-32)
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Les Pharisiens et les scribes murmuraient parce que Jésus faisait bon accueil aux collecteurs d’impôts et aux pécheurs, et qu’il mangeait avec eux. Comme les autres juifs, ils considéraient que les collecteurs d’impôts les avaient quittés pour se mettre au service de Rome. Un peu comme de la même manière que le cadet part pour un pays lointain après avoir reçu sa part d’héritage.
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Mais voilà que Jésus ajoute un détail concernant le fils perdu : Il est allé jusqu’à se faire embaucher par un des citoyens du pays, qui l’a envoyé dans ses champs pour garder les porcs. Il aurait bien voulu se nourrir des gousses de caroubier que les porcs mangeaient, mais personne ne lui donnait quoi que ce soit. (Luc 15:15, 16)
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Pour les juifs : Le porc, parce qu’il a le sabot complètement divisé, mais qu’il ne rumine pas ; il est impur pour vous. (Lévitique 11:7) Et voilà que Jésus dit que : Mais le père a dit à ses serviteurs : “Vite, apportez un beau vêtement, le plus beau, et mettez-le-lui. Mettez-lui aussi une bague au doigt et des sandales aux pieds.  Et amenez le veau engraissé, tuez-le, mangeons et faisons la fête. (Luc 15:22, 23)

Voilà donc de belles leçons sur ce qu’est la miséricorde de Dieu : Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (Luc 19:10)
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Ainsi, nous comprenons que les comparaisons à propos de la brebis et de la drachme perdues, mettent l’accent sur les grands efforts déployés par celui qui a perdu quelque chose pour retrouver son bien.
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En revanche, la troisième comparaison, celle du fils prodigue, met en évidence un autre aspect, celui d’une ligne de conduite à suivre pour retrouver celui qui est perdu.
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Mais Dieu, dans son immense miséricorde, en raison du grand amour dont il nous a aimés,  nous a fait vivre et nous a unis au Christ, alors même que nous étions morts à cause de nos fautes ; c’est par faveur imméritée que vous avez été sauvés. (Éphésiens 2:4, 5)
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Reprenons un extrait d’une Tour de Garde qui disait : « « Dans ces trois comparaisons, vous remarquerez que lorsque la chose perdue est retrouvée, non seulement le propriétaire se réjouit, ce qui est juste et raisonnable, mais encore la maison tout entière, les amis et les voisins sont également invités à se réjouir. Jésus expliqua cela en disant : “C’est ainsi, je vous le dis, qu’il se produit de la joie parmi les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se repent.” (Luc 15:10).
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Jésus montrait donc qu’il mettait en pratique la sagesse céleste en recevant avec joie ceux qui se repentaient sincèrement. Il dénonça également la conduite injustifiée des chefs religieux qui, manquant de sagesse, se montraient mesquins et pleins de suffisance à l’égard de leurs frères moins privilégiés. En tant que Juifs, ils étaient tous frères, membres du peuple de Dieu, et appartenaient à un seul Propriétaire ; ils avaient tous besoin des services du Médecin, Jésus-Christ, pour être guéris et pour retourner à Jéhovah. — Marc 2:17. {Fin de citation} {source : w65 1/12 p. 726}
Ces pensées présentes à l’esprit, nous comprenons l’importance pour les anciens :
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- De retrouver les brebis perdues comme dans la comparaison du fils prodigue.
- De retrouver les brebis égarées comme dans la comparaison de la Drachme.
- De retrouver les brebis inactives comme dans la comparaison de la brebis perdue.
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Ces exemples doivent nous servir d’encouragement de savoir que nous avons de la valeur pour Jéhovah et pour Jésus qui a dit : Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. (Luc 19:10)
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[Amaytois]

Bonjour

Tous et toutes nous étions perdus, mais, si nous lisons Jean 3:16 " Car Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que tous ceux qui exercent la foi en lui ne soient pas détruits mais aient la vie éternelle."

Oui, nous étions comme Zachée, lire Luc 18:35 à 19:10, nous voyons que Jésus continue de chercher et de rétablir l'alliance entre Jéhovah et notre personne.

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