CREUSONS LA PAROLE DE DIEU – Faites-vous la démarche pour être guéri ?

[jean]

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Petite analyse en 8 parties de quelques miracles de Jésus dont nous pourrions, comme pour un prisme, apprécier un facette de lecture différente pour nous permettre de dégager une leçon en rapport avec la guérison spirituelle, et les actions à faire pour en bénéficier, soit nous, soit ceux qui nous écoutent !.
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Comme vous le savez, lors de son séjour sur terre, Jésus a opéré quelques miracles, quelques guérisons, et même des résurrections pour démontrer qu’il était choisi par Dieu et pour montrer ce qui arriverait quand le Royaume serait-là.
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Avec les années et la routine aidant, nous pourrions nous dire que nous savons tout cela, mais comme à l’école biblique de Guiléad, il faut creuser le récit, encore et encore, notamment en le regardant sous un autre angle et se poser quelques questions supplémentaires.
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Quand vous lisez les récits de guérison opérés par Jésus, avez-vous noté quelque chose de particulier entre tous ?
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Serait-il possible qu’ils nous aident pour nous même et/ou pour aider d’autres personnes à guérir spirituellement parlant !?!
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Alors, en route pour notre opération : « Trouver des perles de valeur en creusant la Parole de Dieu la Bible. »
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[jean]

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Partie numéro 1
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Commençons par le second miracle de Jésus, après celui de l’eau changé en vin lors du festin de mariage à Cana. Nous sommes en 30 de notre ère, dans la même région de Galilée et :
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Alors il vint de nouveau à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.
Or, il y avait à Capharnaüm un fonctionnaire du roi dont le fils était malade.
Quand cet homme apprit que Jésus était arrivé de Judée en Galilée, il vint le voir et lui demanda d’aller guérir son fils, qui était sur le point de mourir.
Mais Jésus lui dit : « Si vous ne voyez pas des miracles et des choses prodigieuses, vous ne croirez jamais. »
Le fonctionnaire du roi lui dit : « Seigneur, viens avec moi avant que mon petit enfant ne meure. »
Jésus lui dit : « Rentre chez toi ; ton fils vit. »
L’homme crut la parole que Jésus lui avait dite et il s’en alla.
Or, pendant qu’il rentrait chez lui, ses serviteurs vinrent à sa rencontre pour lui dire que son garçon était vivant.
Il leur demanda donc à quelle heure son fils s’était senti mieux.
Ils lui répondirent : « Sa fièvre a disparu hier, vers une heure de l’après-midi. »
Le père sut alors que c’était à l’heure même où Jésus lui avait dit : « Ton fils vit. »
Lui et toute sa famille crurent donc. (Jean 4:46-53)
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Quel(s) détail(s) avez-vous relevé dans ce récit qui pourrai(en)t vous inciter à faire la démarche pour être guéri spirituellement parlant ?
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Pour répondre à certaines questions, cherchons : Qui étaient présents ? Qu’on fait les personnages mentionnés ?? Qu’ont-ils dit ???
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Lisons les récits parallèles relatifs à cette période du ministère terrestre de Jésus :
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Quand Jésus apprit que Jean avait été arrêté, il se retira en Galilée.  (Matthieu 4:12)
Plus tard, il quitta Nazareth et s’installa à Capharnaüm, au bord de la mer, dans le territoire de Zabulon et de Nephtali.  C’était pour que s’accomplisse ce que le prophète Isaïe avait annoncé :  « Ô Galilée des nations, pays de Zabulon et pays de Nephtali, vous qui êtes au bord de la route de la mer, de l’autre côté du Jourdain !  Le peuple assis dans les ténèbres a vu une grande lumière, et la lumière s’est levée sur ceux qui sont assis dans une région où règne l’ombre de la mort. » (Matthieu 4:13-16)
À partir de ce moment, Jésus commença à prêcher et à dire : « Repentez-vous, car le royaume des cieux s’est approché. » (Matthieu 4:17)
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Puis il alla à Nazareth, où il avait été élevé, et le jour du sabbat, il entra dans la synagogue, comme il en avait l’habitude.
Quand il se leva pour lire,  on lui donna le rouleau du prophète Isaïe. Il ouvrit le rouleau et trouva l’endroit où il était écrit :  « L’esprit de Jéhovah est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer de bonnes nouvelles aux pauvres. Il m’a envoyé pour annoncer aux prisonniers qu’ils seront libérés et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, pour rendre la liberté aux écrasés,  pour prêcher l’année où Jéhovah accorde sa faveur. »
Puis il roula le rouleau, le rendit au serviteur et s’assit.
Et les yeux de tous, dans la synagogue, étaient fixés sur lui.
Alors il commença à leur dire : « Aujourd’hui, ce passage des Écritures que vous venez d’entendre est accompli. »
Tous disaient du bien de lui.
Ils s’étonnaient des paroles captivantes qu’il prononçait, et ils se disaient entre eux : « C’est bien un fils de Joseph, n’est-ce pas ? »
Alors il leur dit : « Vous allez certainement m’appliquer ce dicton : “Médecin, guéris-toi toi-même.” Et vous allez me dire : “Nous avons entendu parler de ce qui a été fait à Capharnaüm. Fais-le donc ici aussi, dans ta propre ville.” »  Il ajouta : « Vraiment, je vous dis qu’aucun prophète n’est accepté dans sa propre région.  Je vous le dis en vérité : Il y avait beaucoup de veuves en Israël à l’époque d’Élie, quand le ciel a été fermé pendant trois ans et six mois, et il y a eu une grande famine dans tout le pays.  Pourtant, Élie n’a été envoyé vers aucune de ces femmes, mais seulement vers une veuve de Sarepta, dans la région de Sidon.  Il y avait aussi beaucoup de lépreux en Israël à l’époque du prophète Élisée. Pourtant, aucun d’eux n’a été purifié ; seul Naamân le Syrien l’a été. »
En entendant ces paroles, tous ceux qui étaient dans la synagogue se mirent en colère.  Ils se levèrent et l’entraînèrent hors de la ville. Ils le conduisirent au sommet de la montagne sur laquelle leur ville était construite pour le jeter en bas la tête la première.
Mais il passa au milieu d’eux et continua son chemin. (Luc 4:16-30)
Il descendit à Capharnaüm, une ville de Galilée. Et il enseignait les gens le jour du sabbat. (Luc 4:31)
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Le fonctionnaire, qui avait une place importante, a entrepris avec humilité la démarche d’aller trouver Jésus pour empêcher son enfant de mourir. Imaginez que Capharnaüm est distante de +/- 26 kilomètres de Cana, ce qui représente pour l’époque, un fameux voyage.
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Que savait-il de Jésus ? Pas grand-chose, sauf ce que les habitants de Capharnaüm et des alentours, disaient de Jésus ! Mais une chose est certaine, il avait foi que l’enseignant pouvait faire quelque chose.
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Un autre détail intéressant, Jean qui narre ce miracle d’une guérison à distance, n’est  pas encore un disciple qui suit constamment Jésus, car : En marchant au bord de la mer de Galilée, il vit deux frères : Simon, qu’on appelle Pierre, et son frère André. Ils étaient en train de lancer un filet dans l’eau, car c’étaient des pêcheurs.  Il leur dit : « Venez avec moi, et je ferai de vous des pêcheurs d’hommes. »
Ils abandonnèrent aussitôt leurs filets et le suivirent.
En continuant son chemin, il vit deux autres frères : Jacques fils de Zébédée et son frère Jean. Ils étaient dans un bateau avec leur père en train de réparer leurs filets. Il les appela.
Ils laissèrent immédiatement le bateau et leur père, et ils le suivirent.
Alors il se mit à parcourir toute la Galilée : il enseignait dans les synagogues, il prêchait la bonne nouvelle du Royaume et il guérissait toutes sortes de maladies et de handicaps.  (Matthieu 4:18-23)
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Et pourtant, porté par l’esprit saint, Jean qui rédige son évangile vers l’en 98 de notre ère, c.-à-d. 68 ans après ces évènements, le relate d’une manière circonstancié afin de nous aider à comprendre certaines choses.
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Il y avait d’autres personnes présentes, car le récit nous dit : Après ces deux jours, il partit de là [c.-à-d. de Samarie] pour la Galilée.
Jésus avait pourtant affirmé lui-même qu’un prophète n’est pas honoré dans son propre pays.
Quand donc il arriva en Galilée, les Galiléens l’accueillirent, parce qu’ils avaient vu toutes les choses qu’il avait faites à Jérusalem pendant la fête ; car eux aussi étaient allés à la fête.
Alors il vint de nouveau à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin. (Jean 4:43-46)
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Donc, les habitants sont enthousiastes d’avoir cette présence de Jésus sur leurs terres et dans leurs villes, mais voilà, ils n’avaient pas ce que le fonctionnaire d’Hérode avait ! Avez-vous noté la réaction de Jésus à la demande du fonctionnaire : « Si vous ne voyez pas des miracles et des choses prodigieuses, vous ne croirez jamais. » (Jean 4:48) et pourtant, il opère la guérison ! Pourquoi ? Parce que celui-ci avait foi en Jésus ! Et plus :
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Lui [c.-à-d. le fonctionnaire] et toute sa famille crurent donc. (Jean 4:53)
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Quelle leçon pour nous ?
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En tant que Témoins de Jéhovah, donnons toujours une bonne image de nous et du culte pur que nous rendons à Dieu, pour qu’un jour, une personne qui veut en savoir plus sur la Bible, ai confiance en nous, et qu’elle fasse la démarche pour être guérie spirituellement parlant.
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Quel point est relevé : La foi !
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Références
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it-1 p. 399-400 – Capernaüm
Le plus grand homme de tous les temps (gt) chap. 20 – Un second miracle à Cana
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A suivre …

[jean]

…/…  suite
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Partie numéro 2
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Au tour d’un lépreux de bénéficier d’un miracle de Jésus :
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Après qu’il fut descendu de la montagne, de grandes foules le suivirent.
Et, voyez, un lépreux s’avança, s’inclina devant lui et lui dit : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. »
Tendant la main, Jésus le toucha et lui dit : « Je le veux ! Deviens pur. »
Et immédiatement, il fut purifié de sa lèpre.
Jésus ajouta : « Surtout, n’en parle à personne. Par contre, va te montrer au prêtre et fais l’offrande que Moïse a ordonnée. Ce sera un témoignage pour eux. » (Matthieu 8:1-4)
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récits parallèles :
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Un lépreux vint vers lui et le supplia à genoux en disant : « Si tu le veux, tu peux me rendre pur. »
Jésus fut ému de pitié. Il tendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux ! Deviens pur. »
Sa lèpre disparut immédiatement, et il devint pur.
Jésus lui dit de partir, aussitôt après lui avoir donné ces ordres :  « Surtout, n’en parle à personne. Par contre, va te montrer au prêtre et offre, pour ta purification, ce que Moïse a ordonné. Ce sera un témoignage pour eux. »
Mais une fois parti, l’homme commença à raconter à tout le monde ce qui lui était arrivé.
À cause de cela, Jésus ne pouvait plus entrer dans une ville sans être remarqué. Il restait donc à l’extérieur, dans des endroits isolés. Mais on continuait à venir vers lui de partout. (Marc 1:40-45) - (ou Luc 5:12-16)
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Quel(s) détail(s) avez-vous relevé dans ces récits qui pourrai(en)t vous inciter à faire la démarche pour être guéri spirituellement parlant ?
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Pour répondre à certaines questions, cherchons : Qui étaient présents ? Qu’on fait les personnages mentionnés ?? Qu’ont-ils dit ???
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Nous remarquons qu’il y a les disciples et une grande foule qui suit le petit groupe pour diverses raisons.
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Que fait le lépreux ?
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Il est dit : « un lépreux (Luc écrit : un homme plein de lèpre) s’avança, s’inclina devant lui (Luc écrit : Il tomba à genoux, face contre terre) ; le supplia à genoux »
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C’est la première action effectuée avec foi par le lépreux ! Que savait-il de Jésus ? Pas grand-chose, sauf que ce que les habitants des alentours, disaient de Jésus ! Mais une chose est certaine, il avait foi que le Seigneur pouvait faire quelque chose.
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Les trois évangélistes s’accordent pour écrire : « Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. » (Matthieu 8:2b) « Si tu le veux, tu peux me rendre pur. » (Marc 1:40b)  « Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. » (Luc 5:12b)
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Et c’est la deuxième action effectuée par le lépreux, une demande sincère.
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Le lépreux (plein de lèpre, ce qui sous-entend un stade avancé de la maladie) doit vivre à l’écart jusqu’à sa guérison. Mais, il a foi en ce que Jésus peut faire, et il s’avance vers lui confiant qu’il fera quelque chose !
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Quelle leçon pour nous ?
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En tant que Témoins de Jéhovah voués et baptisés, notre lèpre « spirituel » a disparu dès que les vérités bibliques nous ont touché, mais remarquez la troisième action opérée par le lépreux une fois guéri : Mais une fois parti, l’homme commença à raconter à tout le monde ce qui lui était arrivé. (Marc 1:45a) Quelle belle marque de reconnaissance n’est-ce pas !?!
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Pour nous aussi, le ministère du champ est une marque de reconnaissance envers Jéhovah, et son fis Christ Jésus. Nous voulons toucher le cœur des personnes pour qu’elle fasse la démarche d’être guérie spirituellement parlant.
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La foi dans la prière et dans le Royaume de Dieu ! Quels points sont relevés : Prier avec foi et par amour pour ce que Dieu à fait pour nous, nous devons proclamer avec zèle la bonne nouvelle du Royaume.
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Références
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nwtsty – Notes d’étude sur Luc chapitre 5 verset 12 : un homme plein de lèpre
Jésus : le chemin, la vérité, la vie (jy) chap. 25 p. 65 Jésus guérit un lépreux avec compassion
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A suivre …

[jordan]

Merci mon cher frère jean bien aimé pour ton très bon travail

[jean]

…/… suite
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Partie numéro 3
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Quelques semaines ont passé, et nous voilà à Jérusalem aux environs de la Pâques de l’an 31 de notre ère.
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Après cela, il y eut une fête des Juifs, et Jésus monta à Jérusalem.
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 Or, à Jérusalem, près de la porte des Moutons, il y a une piscine appelée en hébreu Bethzata, avec cinq portiques.  Sous ces portiques étaient couchés une foule de malades, d’aveugles, de boiteux et de gens avec des membres paralysés.
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(voir Notes sur Jean chapitre 5 verset 3 & verset 4)
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Il y avait là un homme qui était malade depuis 38 ans.
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Voyant cet homme couché là et sachant qu’il était malade depuis longtemps déjà, Jésus lui dit : « Veux-tu guérir ? »
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Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me mettre dans la piscine quand l’eau est agitée ; alors pendant que moi je m’y rends, un autre descend avant moi. »
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Jésus lui dit : « Lève-toi ! Prends ta couchette et marche. »
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Et aussitôt l’homme fut guéri, et il prit sa couchette et se mit à marcher. C’était le jour du sabbat. (Jean 5:1-9)
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Quel(s) détail(s) avez-vous relevé dans ce récit qui pourrai(en)t vous inciter à faire la démarche pour être guéri spirituellement parlant ?
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Pour répondre à certaines questions, cherchons : Qui étaient présents ? Qu’on fait les personnages mentionnés ?? Qu’ont-ils dit ???
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L’apôtre Jean écrit : « Sous ces portiques étaient couchés une foule de malades, d’aveugles, de boiteux et de gens avec des membres paralysés. » Ce qui sous entend que beaucoup de personnes désiraient bénéficier des bienfaits miraculeux de cette piscine.
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Mais pourquoi Jésus a-t-il choisi cet homme en question ?
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Le rédacteur biblique précise : « malade depuis 38 ans - et sachant qu’il était malade depuis longtemps déjà », Jésus montre déjà l’empathie qu’il a pour cette personne, car il sait qu’elle est très malheureuse, mais il y a aussi un autre détail intéressant :
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Aucun des autres juifs ne prend cas de cette homme : « Seigneur, je n’ai personne pour me mettre dans la piscine quand l’eau est agitée ; alors pendant que moi je m’y rends, un autre descend avant moi. »
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Les Ecritures disponibles à l’époque disaient par exemple : « “Si ton frère qui vit près de toi devient pauvre et ne peut plus subvenir à ses besoins, tu devras le soutenir comme tu soutiendrais un résident étranger ou un immigrant, afin qu’il reste en vie parmi vous. (Lévitique 25:35)  « Si l’un de tes frères devient pauvre chez toi dans l’une des villes du pays que Jéhovah ton Dieu te donne, n’endurcis pas ton cœur et ne ferme pas ta main à ton frère pauvre. (Deutéronome 15:7)
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Que démontre le fait de préciser que ce paralytique n’avait pas d’aide extérieur ? Que ses frères étaient égoïstes ! Et Jésus leurs en fit la remarque bien souvent !!
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Dernier détail, pour être guéri, l’homme n’a pas dû se rendre dans l’eau comme le voulait la croyance de l’époque.
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Quelle leçon pour nous ?
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La foi et l’endurance ! Malgré son handicap, et les années passées en souffrant, cet homme avait foi en son Dieu. Aujourd’hui, les chrétiens, avec ou sans handicap, se doivent de rester fidèle, intègre et endurant en attendant patiemment que le monde nouveau promis par Dieu arrive. Là, nous serons guéris de tous les maux !
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Références
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w86 15/6 p. 24 – Jésus fait des œuvres bonnes pendant le sabbat
w88 1/9 p. 31 – Questions des lecteurs
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A suivre …

[jean]

…/… suite
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Partie numéro 4
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La guérison que nous allons approfondir maintenant, c’est déroulé vers 31 ou 32 de notre ère.
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3 rédacteurs des évangiles la retranscrive selon leur ressenti et les informations reçues.
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Luc écrit : Quand Jésus fut de retour, une foule l’accueillit aimablement, car tout le monde l’attendait. (…). Alors que Jésus était en route, la foule le serrait de près.
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Or il y avait une femme qui avait des pertes de sang depuis 12 ans et que personne n’avait pu guérir. (Marc précise : Elle était allée voir de nombreux médecins, mais leurs traitements l’avaient fait beaucoup souffrir, et elle avait dépensé tout son argent. Elle n’allait pas mieux ; au contraire, elle allait encore plus mal.)
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(Marc dit encore : Quand elle apprit ce qu’on disait de Jésus, elle s’approcha de lui par-derrière dans la foule et toucha son vêtement,  car elle se disait : « Si je touche simplement ses vêtements, je serai guérie. » (voir Matthieu))
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Elle s’approcha de lui par-derrière et toucha la frange de son vêtement. Immédiatement, le saignement s’arrêta. (Marc écrit : et elle sentit qu’elle avait été guérie de sa pénible maladie.)
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(Marc écrit : Jésus se rendit compte aussitôt qu’une force était sortie de lui. Il se retourna au milieu de la foule et demanda : « Qui a touché mes vêtements ? »)
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Jésus demanda : « Qui m’a touché ? »
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Alors que chacun disait que ce n’était pas lui, Pierre dit : « Enseignant, la foule t’entoure et te serre de près. »
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Mais Jésus dit : « Quelqu’un m’a touché, car je sais qu’une force est sortie de moi. »
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(Marc écrit : Mais il regardait tout autour de lui pour voir qui avait fait cela.  La femme savait ce qui lui était arrivé.)
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Voyant qu’elle n’était pas passée inaperçue, la femme vint, toute tremblante, se jeter à ses pieds : elle expliqua devant tous pourquoi elle l’avait touché et qu’elle avait été guérie aussitôt.
Mais il lui dit : « Ma fille, ta foi t’a guérie. Va en paix. » (marc ajoute : « et sois guérie de ta pénible maladie. »)
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(Luc 8:40-48 ; récits parallèles ; Marc 5:21-34 ; Matthieu 9:18-22)
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Quel(s) détail(s) avez-vous relevé dans ce récit qui pourrai(en)t vous inciter à faire la démarche pour être guéri spirituellement parlant ?
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Pour répondre à certaines questions, cherchons : Qui étaient présents ? Qu’on fait les personnages mentionnés ?? Qu’ont-ils dit ???
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Nous savons que les disciples, dont Pierre sont présents, il y a aussi, une grande foule de gens de diverses conditions, des religieux hostiles aux actes salvateurs de Jésus. Et même, Un des présidents de la synagogue, qui s’appelait Jaïre (Marc 5:22) qui lui, par contre, avait foi en la puissance de Jésus. Et puis, une femme très malheureuse de son handicap.
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La Loi mosaïque expliquait : « “Si une femme a un écoulement de sang, elle restera sept jours dans l’impureté due à ses règles. Quiconque la touche sera impur jusqu’au soir.  Tout ce sur quoi elle se couche pendant l’impureté due à ses règles sera impur et tout ce sur quoi elle s’assied sera impur.  Quiconque touche son lit devra laver ses vêtements, se baigner dans l’eau et être impur jusqu’au soir.  Quiconque touche un objet, quel qu’il soit, sur lequel elle s’est assise, devra laver ses vêtements, se baigner dans l’eau et être impur jusqu’au soir.  Quiconque touche le lit ou un autre objet sur lequel elle s’est assise sera impur jusqu’au soir.  Si un homme couche avec elle et que le sang de ses règles vienne sur lui, il sera impur sept jours, et tout lit sur lequel il se couchera sera impur.
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« “Si une femme a un écoulement de sang qui dure de nombreux jours, alors que ce n’est pas la période de ses règles, ou bien si elle a un écoulement qui se prolonge au-delà de la période de ses règles, elle sera impure tous les jours de son écoulement, comme aux jours de l’impureté due à ses règles.  Tout lit sur lequel elle se couche l’un des jours de son écoulement deviendra comme le lit sur lequel elle se couche pendant l’impureté due à ses règles, et tout objet sur lequel elle s’assied deviendra impur comme pendant l’impureté due à ses règles.  Quiconque les touche sera impur et devra laver ses vêtements, se baigner dans l’eau et être impur jusqu’au soir. (Lévitique 15:19-27)
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Vous imaginez sans peine qu’elle prend un fameux risque en tentant d’approcher de Jésus pour ne fusse que : « toucher la frange de son vêtement ». Quel courage, et quelle foi n’est-ce pas !?!
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C’est très important pour les anciens des assemblées chrétiennes d’être abordables par tous, même les femmes. Jésus n’a pas pris ombrage de la démarche de la désespérée qui enfreignait un commandement de la Loi, non, il en discernait l’esprit, et a fait preuve  de miséricorde et de compassion. Ne dit-il pas avec chaleur : « Ma fille, ta foi t’a guérie. Va en paix. »
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Autre détail : « Elle était allée voir de nombreux médecins, mais leurs traitements l’avaient fait beaucoup souffrir, et elle avait dépensé tout son argent. Elle n’allait pas mieux ; au contraire, elle allait encore plus mal. »
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Dans le ministère du champ, nous rencontrons quelquefois des personnes déçues des religions et des offices quelles ont fréquentés par le passé. L’enseignement que nous donnons au moyen des vérités bibliques contenues dans la Bible, peut être un « remède salvateur » pour elle, Fais tout ton possible pour te présenter à Dieu comme un homme approuvé, un ouvrier qui n’a aucune raison d’avoir honte, qui expose correctement la parole de la vérité. (2 Timothée 2:15)
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Autre détail : « Quand elle apprit ce qu’on disait de Jésus »
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En tant que Témoins de Jéhovah voués et baptisés, quelle image donnons-nous aux personnes qui nous connaissent ou que nous côtoyons de loin ou de près ?
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Nous n’opérons pas des « miracles » mais les personnes qui ont changé radicalement de vie pour plaire à Jéhovah sont des exemples de guérison, et c’est une bonne publicité que nous pourrions transmettre en donnant le lien d’une biographie à une connaissance qui rencontre un (ou des) problème(s) similaire(s) !
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Quelle leçon pour nous ?
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La foi et le courage ! Malgré son handicap, et les années passées en souffrant, cette femme a eu foi en Jésus. Aujourd’hui, les chrétiens donnent de bons et beaux exemples de guérisons spirituelles, mais comme la femme, les personnes de l’extérieur doivent comprendre qu’ils doivent courageusement : saisir fermement le vêtement d’un Juif, en disant : ‘Nous voulons aller avec vous, car nous avons entendu dire que Dieu est avec vous.’” » (Zacharie 8:23) !
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Références
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nwtsty - Notes d’étude sur Matthieu chapitre 9 verset 20 – pertes de sang
w95 15/7 p. 16 § 3-4 – Les chrétiennes méritent honneur et respect
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A suivre …

[jean]

…/… suite
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Partie numéro 5
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Sautons des autres faits marquants de la vie terrestre de Jésus, et arrêtons-nous à un miracle qui s’est déroulé en 32 de notre ère après la Pâques dans la région de Phénicie.
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2 rédacteurs bibliques narrent la rencontre de Jésus avec une……étrangère. Prenons le récit de Matthieu, et les détails supplémentaires mentionné par Marc seront entre ().
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Jésus partit de là pour aller dans la région de Tyr et de Sidon.
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(Là, il entra dans une maison. Il voulait que personne ne le sache, mais il ne put passer inaperçu.  À peine était-il arrivé qu’)
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Une femme de cette région, une Phénicienne, (entendit parler de lui) vint vers lui (se jeta à ses pieds.) et cria : « Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de David ! Ma fille est sous l’emprise cruelle d’un démon. »
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Mais il ne lui répondit pas un mot.
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Ses disciples s’approchèrent de lui et lui demandèrent : « Dis-lui de s’en aller, parce qu’elle n’arrête pas de nous suivre en criant. »
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(La femme était d’origine grecque, et de nationalité syro-phénicienne. Elle lui demanda plusieurs fois d’expulser le démon de sa fille.)
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Il répondit : « Je n’ai été envoyé que vers les brebis perdues de la nation d’Israël. » 
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Mais la femme vint s’incliner devant lui et lui dit : « Seigneur, aide-moi ! » 
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Il lui répondit : (« Laisse d’abord les enfants manger à leur faim. ») « Ce n’est pas bien de prendre le pain des enfants et de le jeter aux petits chiens. »
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Elle dit : « C’est vrai, Seigneur. Mais les petits chiens (,sous la table,) mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. »
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Alors Jésus lui répondit : « Ô femme, grande est ta foi ! Ce que tu désires t’est accordé. »
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(« Tu peux rentrer chez toi. Parce que tu as dit cela, le démon est sorti de ta fille. »)
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Et immédiatement, sa fille fut guérie.
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(Elle rentra donc chez elle et trouva la petite fille allongée sur le lit. Le démon était sorti d’elle.)
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(Matthieu 15:21-28 ; récit parallèle : Marc 7:24-30)
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Voir : nwtsty – Notes d’étude sur Matthieu chapitre 15 verset 22 : Phénicienne
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L’idée première sera donnée par l’apôtre Pierre quelques années plus tard : Il dit : « À présent, je comprends vraiment que Dieu n’est pas partial,  mais qu’il approuve toute personne qui le craint et fait ce qui est juste, quelle que soit sa nation. (Actes 10:34a, 35)
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Cette Syro-Phénicienne, une cananéenne en somme, à démontré beaucoup de foi, en résistant à l’opposition des disciples de Jésus, en insistant auprès de Jésus plusieurs fois, en ne se choquant pas de la réponse de Jésus, et en reconnaissant son pouvoir.
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Quelle leçon pour nous ?
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La foi et la haine du racisme ! Malgré son origine et le fait qu’à l’époque, Jésus avait d’autres priorités, cette femme à profité pleinement du passage de Jésus dans sa région pour faire la démarche d’aller le trouver avec foi. Malgré l’instance des disciples de l’éloigner, Jésus l’a accueilli avec bonté.
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Apprendre une langue serait un plus dans notre ministère productif, car cela nous ouvrirait des perspectives d’augmenter les chances de conduire une étude de la Bible.
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Nous voulons nous aussi que : habitants de la terre, [de] toute nation, et tribu, et langue, et peuple. (Révélation 14:6b) puissent bénéficier de la faveur immérité de Dieu afin d’être sauvés à Armaguedon.
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Souvent, ces personnes n’ont qu’une vague idée du christianisme, et même aucune notion vu la religion existante dans leur pays d’origine. Ouvrons-leurs la voie de la guérison spirituelle.
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A suivre …

[folens]

[jean]

(Bravo)  (Super)

Ah, mon frère bien-aimé Michel est toujours-là

reçois un saint

Merci mon cher frère jean bien aimé pour ton très bon travail (merci)

Avec plaisir, mais que serais-je sans l'aide de papa Jéhovah, et des publications de l'EFA ?  

[jean]

…/… suite
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Partie numéro 6
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Le miracle suivant, l’avant dernier de cet exposé nous conduit en Samarie, et concerne 10 lépreux ;
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En route vers Jérusalem, il passa entre la Samarie et la Galilée.
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Alors qu’il entrait dans un village, dix lépreux vinrent vers lui. Mais ils restèrent à une certaine distance.  Ils crièrent : « Jésus, Enseignant, aie pitié de nous ! »
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Quand il les vit, Jésus leur dit : « Allez vous montrer aux prêtres. »
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Et pendant qu’ils s’en allaient, ils furent purifiés.
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Quand il vit qu’il était guéri, l’un d’eux revint sur ses pas en glorifiant Dieu d’une voix forte.  Et il tomba à genoux aux pieds de Jésus, face contre terre, en le remerciant.
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Or c’était un Samaritain.
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Alors Jésus dit : « Tous les dix ont été purifiés, n’est-ce pas ? Où sont donc les neuf autres ?  Est-ce que personne d’autre que cet homme d’une autre nation n’est revenu rendre gloire à Dieu ? »
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Puis il lui dit : « Lève-toi et va. Ta foi t’a guéri. » (Luc 17:11-19)
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Quelle(s) idée(s) pourrions-nous dégager de ce récit en rapport avec ce petit travail de réflexion ?
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La réputation de Jésus s’est étendue à de nombreux endroits du pays, et la Samarie est dans le nombre. Les dix lépreux ne sont donc pas tous samaritains, mais celui qui est reconnaissant à Jésus de l’avoir guéri l’est !
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Néanmoins, ils ont foi en la puissance de Jésus, puisqu’ils partent tous vers les prêtres, et c’est en route qu’ils sont guéris, mais un seul, reviendra vers Jésus.
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Quelle(s) leçon(s) pour nous ?
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La foi et la reconnaissance ! Si nous conduisons une étude biblique avec une personne qui s’est montré plus qu’intéressée par nos diverses échanges avec elle, mais qu’elle ne va pas jusqu’au bout de son étude, et ne franchit pas le cap du baptême chrétien, ne baissons pas les bras.
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Paul a écrit : Moi, j’ai planté, Apollos a arrosé, mais c’est Dieu qui faisait pousser,  si bien que ce n’est pas celui qui plante ni celui qui arrose qui est important, mais Dieu qui fait pousser. (1 Corinthiens 3:6, 7)
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C’est Jéhovah qui voit dans le cœur ce que vaut une personne, et c’est Lui qui décide qui sera digne d’être présent dans le monde nouveau.
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Des dix lépreux qui ont bénéficié de la guérison donnée par le pouvoir de Jésus, un seul a loué et glorifié Dieu. Nous pouvons imaginer qu’il a ensuite suivi Jésus.
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Si faire des disciples est improductif pour nous, soyons quand même reconnaissant à Dieu de nous compter comme ses « vrais adorateurs » : Car nous sommes les collaborateurs de Dieu. (1 Corinthiens 3:9a)
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Références
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nwtsty – Notes d’étude sur Luc chapitre 17 versets 11, 12, 14
w89 1/6 p. 8 – Il guérit dix lépreux lors de son dernier voyage à Jérusalem
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A suivre …

[jean]

…/… suite
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Partie numéro 7
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Le miracle suivant, et le dernier de cet exposé nous conduit à l’est du Jourdain en 32 de notre ère après la fête de l’inauguration, et concerne 2 aveugles ;
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3 évangélistes se penchent sur la question et nous livre un récit avec leur ressenti personnel et les  détails qu’ils ont jugés utile de mentionner : J’ai pris comme texte de référence celui de Marc :
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Ils arrivèrent à Jéricho. (nb. Il y avait deux Jéricho l’ancienne et la nouvelle)
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Alors que Jésus et ses disciples sortaient de Jéricho accompagnés d’une très grande foule, Bartimée (le fils de Timée) (nb. Seul Marc donne le nom), un mendiant aveugle (Matthieu précise : deux aveugles), était assis au bord de la route (Luc précise : et mendiait.).
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(Luc écrit : Comme il entendait une foule qui passait, il se mit à demander ce que c’était.)
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Quand il entendit que c’était Jésus le Nazaréen qui passait, il se mit à crier : « Fils de David, Jésus, aie pitié de moi ! » (Matthieu écrit : de nous)
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Beaucoup (Luc écrit : Ceux qui marchaient en tête) lui disaient d’un ton sévère de se taire, mais il criait encore plus : « Fils de David, aie pitié de moi ! » (Matthieu écrit : de nous)
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Jésus s’arrêta donc et dit : « Appelez-le. »
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Ils appelèrent l’aveugle en lui disant : « Courage ! Lève-toi : il t’appelle. » (nb. Seul Marc précise cela)
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Il jeta alors son manteau, se leva d’un bond (nb. Seul Marc précise cela) et alla vers Jésus.
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Jésus lui demanda : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » (Matthieu écrit : pour vous)
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L’aveugle lui répondit : « Rabbouni, (Matthieu & Luc écrivent : Seigneur) que je retrouve la vue. » (Matthieu écrit : redonne-nous)
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Jésus (Matthieu écrit : Ému de pitié, il leur toucha les yeux,) lui dit : (Luc écrit : « Retrouve la vue. »), « Va, ta foi t’a guéri. »
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Il retrouva immédiatement la vue, et il se mit à suivre Jésus. (Matthieu écrit : Et ils le suivirent) (Luc écrit : en glorifiant Dieu.)
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(Luc écrit : En voyant cela, tout le peuple aussi loua Dieu.)
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(Marc 10:46-52 ; récits parallèles : Matthieu 20:29-34 ; Luc 18:35-43)
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Voilà, nous avons extraits du minerai, nous commençons à classer les informations et à trier ce qui nous intéressent pour un domaine en particulier, celui cher à notre thème : La foi.
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Que savons-nous de la scène, de l’endroit et des personnages ?
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Déjà Jéricho est une ville double, dont Hérode le Grand en fit d’une partie de la nouvelle ville, un palais d’été. Il y a donc une population importante qui y réside et d’autres personnes qui y transitent puisque c’est un endroit de passage frontalier important. S’ajoute la foule qui suit Jésus depuis un bout de temps.
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Autre détail : Bartimée se renseigne sur le tumulte, ne démonte pas quand on lui dit de se taire, bondit dès qu’on l’appelle et appelle affectueusement Jésus : « mon enseignant » (ou Rabbouni), et il appelle Jésus « Fils de David » reconnaissant par là le rôle de Jésus.
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Autre détail : Jésus lui dit : « Va, ta foi t’a guéri. » Et, c’est la définition qu’en donne l’apôtre Paul : La foi est la certitude absolue de ce qu’on espère, la preuve évidente de réalités invisibles. (Hébreux 11:1)
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Et pour finir : Lui et son compagnon d’infortune ont suivi Jésus.
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Quelle(s) leçon(s) pour nous ?
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La foi et l’action ! En plus d’avoir foi, il est mentionné par les écrivains : « Qu’ils suivirent immédiatement Jésus ». Ils n’ont pas remis au lendemain l’action de devenir disciple de Jésus, non tout de suite, et même, s’ils sont restés des anonymes dans les disciples de Jésus, Dieu a fait conserver cette guérison et le nom d’un des deux bénéficiaires à notre intention !
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Nous qui sommes Témoins de Jéhovah voués et baptisés, nous sommes des « Bartimée » modernes, nous avons donc « ouvert nos yeux », nous avons bondis de notre apathie, et nous suivons les traces de Jésus.
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Nous devons donc transmettre cela aux personnes qui étudient la Bible avec nous ou avec nos compagnons chrétiens.
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Bartimée est cité par son nom, son compagnon est anonyme, mais tous les deux sont concernés par : À cette époque-là, ceux qui craignent Jéhovah parlèrent l’un avec l’autre, chacun avec son compagnon, et Jéhovah prêtait attention et écoutait.
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Et un livre de souvenir fut écrit devant lui pour ceux qui craignent Jéhovah et pour ceux qui méditent sur son nom. (Malachie 3:16) Et nous aussi, nous sommes concernés.
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Références
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nwtsty – Notes d’étude sur Matthieu chapitre 20 versets 29, 30, 34
nwtsty – Notes d’étude sur Marc chapitre 10 versets 51
it-1 p. 273 – Bartimée
w89 15/9 p. 8 – Jésus enseigne à Jéricho
w08 1/5 p. 31 – Le saviez-vous ?
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A suivre …

[jean]

…/… suite et fin.
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Partie numéro 8
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Pour conclure, qu’avons-nous appris de quelques miracles opérés par Jésus ?
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Nous avons appris à creuser la parole de Dieu la Bible, et de voir au-delà d’un simple récit.
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Nous avons dégagé des idées, des enseignements, des encouragements, pour nous et pour les autres. Nous avons appris que nous pouvons sensibiliser les personnes de l’extérieur par nos actions, notre réputation et les « choses » réalisées.
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Nous bénéficions des effets d’une guérison spirituelle en démontrant :
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1°) Notre foi comme le fonctionnaire de Capharnaüm.
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2°) Notre foi dans la prière et dans le Royaume de Dieu comme le lépreux.
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3°) Notre foi et l’endurance comme le malade de la piscine appelée Bethzata.
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4°) Notre foi et le courage comme la femme à l’écoulement de sang.
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5°) Notre foi et la haine du racisme comme en a bénéficié la femme Syro-Phénicienne.
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6°) Notre foi et la reconnaissance comme un des dix lépreux.
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7°) Notre La foi et l’action comme Bartimée et son compagnon.
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Comme mentionné en introduction, le point commun entre les 7 bénéficiaires d’une guérison effectuée par Jésus était leur foi !
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Une foi authentique, que Jésus a discerné chez toutes les personnes qui sont venues à sa rencontre.
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Et c’est cette foi qui nous permet de guérir spirituellement parlant :
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[...] La foi est la certitude absolue de ce qu’on espère, la preuve évidente de réalités invisibles. (Hébreux 11:1)
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[...] D’ailleurs, sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu, car celui qui s’avance vers Dieu doit croire qu’il existe et qu’il devient celui qui récompense ceux qui le cherchent de tout cœur. (Hébreux 11:6)
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[...] À quoi cela sert-il, mes frères, que quelqu’un dise qu’il a de la foi, s’il n’a pas d’œuvres ? (…), la foi seule, sans les œuvres, est morte. (Jacques 2:14-17)
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Etc….
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Vous l’avez compris, nous devons agir pour entretenir le grand bouclier de la foi (Éphésiens 6:16b).
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Et nous devons agir pour inviter de nombreuses personnes à se joindre à vous pour bénéficier d’une guérison spirituelle en attendant le moment où :
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Alors j’ai entendu une voix forte venant du trône dire : « Voyez ! La tente de Dieu est avec les humains, et il habitera avec eux, et ils seront son peuple. Et Dieu lui-même sera avec eux.  Et il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort n’existera plus ; il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur. Les choses anciennes ont disparu. » (Révélation 21:3, 4)
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« Ces paroles sont dignes de foi et vraies ; (…) Écoute ! (…). Heureux celui qui tient compte des paroles prophétiques de ce rouleau. » (Révélation 22:6, 7)

[folens]

Hello Merci, comme toujours c'est excellent.    Michel

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