Voir un guérisseur !

[bironta]

Bonjour ,

Le zona est une maladie de peau qui fait souffrir et qui actuellement
est quasiment incurable par la mèdecine actuelle .
Il y'a une méthode qui marche bien par le biais de guérisseur, qui enléve le feu.
Est-ce chrétien de consulté ces personnes qui soulagent souvent d'une façon
efficace  cette maladie qui ne guérit jamais ?
Certains guérisseurs sont des charlatans qui évoquent des esprits ou autres,
par contre d'autres possédent ce don sans pour autant implorer un esprit quelconque !
Que faut t'il en penser ?

[JIJI-M]

par contre d'autres possédent ce don sans pour autant implorer un esprit quelconque !
Que faut t'il en penser ?

Bonjour,
je rebondis sur ta dernière phrase.
Comment posséder un don de guérison, si ce n'est par un moyen surnaturel ?
Donc, forcément, un tel "guérisseur", consciemment ou non a un lien avec les démons.
Voilà ce qu'il faut en penser.

[jordan]

Aujourd'hui il y a des traitements qui existent,
Les bains d'argile, non seulement, mais je pense qu'il y a également des traitements comme l'homéopathie etc...
Aussi,
Certaines personnes peuvent être atteinte psychologiquement d'où le fait de faire appel à des charlatans
Il faut savoir que certains patients qui souffrent c'est aussi parfois le mentale (dépression)
Comme par enchantement, lorsque ces personnes n'ont plus de dépression, elle sont guéries sans pour autant avoir subi un traitement pour ce qu'elle avaient auparavant.
L'asthme par exemple est souvent lié sur le plan psychologique.
Non, si on devait faire appel à ces gens dont tu parles et qui seraient à même de guérir les personnes en imposant les mains "de leur soit disant pouvoir", cela se saurait  
Amitié fraternel

[Invité]

Je ne savais pas que le zona est une maladie incurable, ma mère l'a eu elle en a été guérie, mon oncle l'a eu dans l'oeil et guérit aussi.  Je sais que le zona est le même virus que la varicelle.

Aujourd'hui il y a beaucoup de médecins qui emploie des méthodes que Jéhovah n'aime pas (hypnose par exemple) il nous faut faire très attention pour ne pas lui déplaire dont ATTENTION;

[bironta]

Incurable dans le sens où ce virus reste à vie
dans le corps et se réactive parfois s'en qu'on sache
vraiment pourquoi en revanche il peut rester en silence
et ne jamais  récidiver !
Si vous avez un reméde je suis preneur . . . . . 

[Invité]

Les guérisons miraculeuses sont-elles le fait de Dieu?

L’HOMME était malade depuis 38 ans. “Veux-tu être rendu à la santé?” lui demanda Jésus. Si vous aviez été à la place de cet homme, n’auriez-vous pas répondu aussitôt par l’affirmative? Voici ce que Jésus lui dit: “Lève-toi, prends ton lit portatif et marche.” Quel fut l’effet de ses paroles? “Aussitôt l’homme fut rendu à la santé; et il prit son lit portatif et se mit à marcher.” — Jean 5:5-9.
Cette guérison divine n’est qu’un des nombreux miracles que Jésus opéra durant son ministère terrestre (Matthieu 11:4, 5). Aujourd’hui, les guérisseurs soutiennent que Dieu accomplit encore des guérisons semblables, en quoi ils sont appuyés par le témoignage de milliers de personnes qui déclarent avoir été guéries par leur intervention.
Des différences fondamentales
Un examen de la Bible fait apparaître plusieurs différences fondamentales entre les guérisons mentionnées dans le récit biblique et celles des guérisseurs à notre époque. Par exemple, Jésus et ses disciples ne se sont jamais fait payer. “Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement”, enseigna Jésus (Matthieu 10:8). Ils suivaient en cela l’exemple d’Élisée, lequel refusa le don de Naaman, un homme qu’il avait guéri de la lèpre (2 Rois 5:1, 14-16). Par conséquent, en faisant payer leurs services, les guérisseurs ne respectent pas ce précédent biblique.
Notons également qu’aux temps bibliques les guérisons étaient constatables soit sur-le-champ soit dans un bref délai. En voyant un homme “qui était boiteux depuis la matrice de sa mère”, l’apôtre Pierre lui dit: “Au nom de Jésus Christ le Nazaréen, marche!” Et on lit ensuite: “À l’instant la plante [des] pieds [du boiteux] et ses chevilles devinrent fermes; et, se dressant d’un bond, il se mit debout et commença à marcher.” (Actes 3:1-8). Vous trouverez d’autres exemples en Actes 5:15, 16 et 14:8-10.
Aujourd’hui, par contre, les guérisons prennent souvent des jours, des semaines, voire des mois pour être effectives! Autre détail significatif, les guérisseurs ont tendance à se limiter aux maladies fonctionnelles, comme la cécité, la paralysie ou la surdité — infirmités qui ont parfois une cause psychologique. Le chirurgien Paul Brand fait cette observation: “Quand une lésion organique est irréversible — une jambe amputée, un œil manquant ou les follicules pileux détruits — on assiste rarement à des miracles.” Mais Jésus, lui, a guéri “toute sorte de maladies et toute sorte d’infirmités”, y compris les anomalies de nature incontestablement organique, telles qu’une main desséchée. — Matthieu 9:35; Marc 3:3-5.
‘C’est le manque de foi!’
Il est malheureux de constater que beaucoup de grands malades se rendent à des ‘croisades du miracle’ pour rentrer chez eux aussi mal en point qu’avant. Les guérisseurs expliquent ces échecs en affirmant: ‘Ils manquent de foi!’ Mais cela sent l’imposture, comme le confirme cette remarque du docteur William Nolen: “À la différence du médecin traditionnel, le guérisseur n’a jamais à endosser la responsabilité d’un échec. Je dois avouer que j’aimerais avoir la possibilité de me retrancher derrière une telle excuse lorsque je suis impuissant devant une maladie.”
Ni les prophètes de Dieu, ni Jésus, ni ses disciples n’ont jamais eu besoin d’arguer du manque de foi d’un infirme qu’ils n’auraient pu guérir. Certes, le manque de foi peut expliquer le nombre limité de ceux qui sont venus demander une guérison. Mais lorsqu’ils venaient, ils étaient invariablement et totalement guéris! — Marc 6:5, 6.
D’ailleurs, des individus qui de toute évidence manquaient de foi ont été guéris. Naaman, par exemple, le chef de l’armée syrienne, ne croyait pas vraiment voir disparaître sa lèpre de la manière préconisée par le prophète Élisée. C’est seulement après avoir recouvré la santé qu’il a admis: “Voici donc que je sais assurément que par toute la terre il n’y a de Dieu nulle part sauf en Israël.” (2 Rois 5:11-13, 15). L’argument bien fragile des guérisseurs ne tient donc pas.
Le don de guérisons: disparu de nos jours
Néanmoins, n’est-il pas vrai que le don miraculeux de guérisons était courant chez les premiers chrétiens (1 Corinthiens 12:9)? Tout à fait, mais il y avait d’excellentes raisons pour que des miracles aient lieu alors. Pendant quinze siècles, la nation d’Israël selon la chair avait été le peuple élu de Dieu; mais, au Ier siècle de notre ère, elle avait été rejetée à cause de son manque de foi et remplacée par la toute nouvelle congrégation chrétienne. Ces premiers chrétiens avaient besoin d’une aide extraordinaire pour affermir leur foi et pour donner la preuve au monde extérieur qu’ils avaient l’appui de Jéhovah Dieu.
Par conséquent, la congrégation chrétienne naissante a reçu des dons miraculeux, y compris celui de guérisons. Ces dons étaient à la fois un “signe” pour les incroyants et un moyen de nourrir la foi des croyants (1 Corinthiens 14:22). Cependant, près de vingt siècles plus tard, le christianisme n’en est plus à ses débuts (voir 1 Corinthiens 13:9-13). La Bible est achevée depuis longtemps et elle est diffusée par millions d’exemplaires. C’est pourquoi les véritables chrétiens peuvent facilement, pour étayer ce qu’ils enseignent, renvoyer leurs interlocuteurs non croyants aux pages de la Bible. Ils n’ont plus besoin de manifestations miraculeuses.
Paul avait également précisé que les dons surnaturels seraient “abolis”. (1 Corinthiens 13:8.) Ces dons ne se transmettaient que directement par les apôtres de Jésus Christ ou en leur présence (Actes 8:18-20; 10:44-46; 19:6). Après la mort des apôtres, les phénomènes miraculeux ont cessé.
Selon l’Encyclopédie de littérature biblique, théologique et ecclésiastique (angl.) de McClintock et Strong (tome VI, page 320), il est “incontestable que pour la période des cent années qui suivirent la mort des apôtres on a peu de témoignages, sinon aucun, de miracles opérés par les premiers chrétiens”.
Des raisons de se méfier
Jésus Christ avait annoncé que le temps viendrait où beaucoup lui diraient: “Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé en ton nom, et expulsé des démons en ton nom, et fait de nombreuses œuvres de puissance en ton nom?” Et pourtant Jésus leur répondrait: “Je ne vous ai jamais connus! Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la loi.” (Matthieu 7:22, 23). Si ce n’est pas l’esprit de Dieu, qu’est-ce qui se cache donc derrière l’apparente réussite des guérisseurs à accomplir des “œuvres de puissance”?
Dans certains cas, il s’avère qu’il s’agit de fraude pure et simple. Par exemple, un quotidien du Zimbabwe, le Herald, a mentionné le cas de trois personnes qu’un guérisseur réputé se vantait d’avoir guéries, et a dénoncé l’imposture en ces termes: “Un premier enfant ne voit et ne parle toujours pas; un second n’a jamais été ni sourd ni muet; et une femme, qui était seulement sourde, n’entend toujours pas.”
Parfois, la séance de guérison semble avoir un effet placebo sur le souffrant; ou encore, notamment lorsqu’il s’écoule un long intervalle avant que la guérison devienne effective, il semble que les mécanismes naturels de défense de l’organisme entrent en jeu. Dans son livre La science et les phénomènes paranormaux (angl.), le docteur William Nolen affirme qu’environ “80 % des patients qui viennent voir un [médecin traditionnel] ont des maladies spontanément résolutives — autrement dit des maladies qui évoluent spontanément vers la guérison”. Le temps aidant, un guérisseur peut par conséquent s’attribuer le mérite de la guérison.
Enfin, la Bible explique que “Satan lui-même se transforme continuellement en ange de lumière” afin de tromper les humains (2 Corinthiens 11:14). En 2 Thessaloniciens 2:9, 10, Paul donne cette autre explication: “La présence de celui qui méprise la loi est selon l’opération de Satan, avec toutes les œuvres de puissance [“toutes sortes de miracles”, Crampon 1905], et avec des signes et des présages mensongers, et avec toutes les tromperies de l’injustice pour ceux qui périssent.” Nous devons donc être sur nos gardes: les guérisons miraculeuses sont souvent le fait de puissances démoniaques! “Je ne veux pas, dit Paul, que vous deveniez les associés des démons. Vous ne pouvez pas boire la coupe de Jéhovah et la coupe des démons.” — 1 Corinthiens 10:20, 21.
Quand un chrétien est malade
Certes, une guérison miraculeuse peut être une solution tentante pour un malade. Notons toutefois qu’Épaphrodite, le compagnon de Paul, est tombé malade au point de frôler la mort (Philippiens 2:25-27). Timothée, le proche compagnon de Paul, souffrait également de “fréquents ennuis de santé”. (1 Timothée 5:23.) Pourtant, Paul n’a guéri miraculeusement ni l’un ni l’autre. En outre, quand lui-même a eu besoin de soins médicaux, il a peut-être fait appel à Luc, “le médecin bien-aimé”, qui voyageait avec lui. — Colossiens 4:14.
De même aujourd’hui, un chrétien qui est malade peut rechercher l’aide d’un médecin capable, en écartant toute solution de nature démoniaque ou tout rapport avec des charlatans, à présent si répandus dans de nombreux pays. Il peut aussi prier, non pour obtenir une guérison miraculeuse, mais pour avoir la sagesse qui lui permette d’affronter sa maladie (Jacques 1:5). Il peut enfin implorer Dieu de le ‘soutenir sur le divan de douleur’. — Psaume 41:3.
Évidemment, il est décourageant de constater que sa maladie échappe à l’action de la médecine. Néanmoins, même malade, le chrétien doit lutter pour ‘se pénétrer des choses les plus importantes’, et ne pas permettre à ses soucis de santé d’éclipser totalement ses préoccupations d’ordre spirituel (Philippiens 1:10). Il peut puiser du réconfort dans l’espoir qu’il nourrit de vivre sous la domination du Royaume de Dieu où “aucun résident ne dira: ‘Je suis malade.’” — Ésaïe 33:24; 65:17-19.
Indéniablement, cet espoir d’un monde nouveau et juste a bien plus de valeur que les promesses vides des guérisseurs. Témoin le cas de Peter, un aveugle d’Akumadan (Ghana). Pendant 26 ans, il a été membre de différentes Églises guérisseuses dans l’espoir de guérir sa cécité. Mais aucun guérisseur ne lui a ouvert les yeux; puis, lorsqu’il était encore membre d’une secte guérisseuse, des Témoins de Jéhovah l’ont rencontré.
En se servant de la Bible, ils ont expliqué à Peter que le Royaume de Dieu apportera la guérison totale de toutes les infirmités. Voilà qui lui a ouvert les yeux, figurément parlant. Rempli de gratitude pour les vérités bibliques merveilleuses, il est devenu prédicateur à plein temps du Royaume de Dieu, il y a maintenant trois ans. Il attend avec impatience le moment où, de façon littérale, ‘les yeux des aveugles s’ouvriront, et les oreilles des sourds seront débouchées’. — Ésaïe 35:5, 6.
Aidées par la Parole de Dieu, des milliers de personnes se sont, comme lui, affranchies de la confiance qu’elles plaçaient à tort dans les guérisseurs.

W87 1/12 p5

[coquelicot]

Bonjour ,

Le zona est une maladie de peau qui fait souffrir et qui actuellement
est quasiment incurable par la médecine actuelle .
Il y'a une méthode qui marche bien par le biais de guérisseur, qui enlève le feu.
Est-ce chrétien de consulté ces personnes qui soulagent souvent d'une façon
efficace  cette maladie qui ne guérit jamais ?
Certains guérisseurs sont des charlatans qui évoquent des esprits ou autres,
par contre d'autres possèdent ce don sans pour autant implorer un esprit quelconque !
Que faut t'il en penser ?

après un grand choc affectif un zona m'est sorti dans le dos (dans la nuit) une brûlure intense vraiment du feu ,horrible et une fatigue incroyable , mon médecin ma soigné rapidement d'abord la "brulure" est devenue supportable puis petit a petit mon zona a disparu ,en 8/10 jours ...Malheureusement impossible de me rappeler la contenance du traitement  

[coquelicot]

Traitement
Existe-t-il un traitement efficace contre le zona? Quantité de remèdes ont été essayés au fil des siècles, mais force est de constater que les traitements actuellement disponibles ne font guère plus qu’atténuer légèrement les symptômes et combattre la douleur jusqu’à ce que la maladie guérisse d’elle-même.
De récents travaux sur l’utilisation d’agents antiviraux dans le traitement de diverses infections à herpès ont donné des résultats prometteurs pour le zona. C’est le cas, par exemple, de l’aciclovir qui, sans être curatif, ralentit cependant la réplication du virus et, chez certains sujets, apaise la douleur et réduit la durée de la maladie. Selon les chercheurs, pour obtenir les meilleurs résultats, il faut entreprendre le traitement le plus tôt possible.
Dans une étude réalisée à la faculté de médecine de l’université du Colorado, des malades du zona à qui l’on avait fait absorber par voie orale jusqu’à 800 milligrammes d’aciclovir cinq fois par jour pendant dix jours ont présenté un tableau clinique beaucoup moins marqué sous le rapport des lésions cutanées, des croûtes et des douleurs que les sujets qui avaient reçu des placebos. Les chercheurs sont divisés par contre quant à savoir si l’aciclovir diminue l’intensité des douleurs postzostériennes. Une relative efficacité dans le traitement de la maladie est également enregistrée avec un autre antiviral, la vidarabine. Par ailleurs, des recherches sur un vaccin sont en cours, mais elles n’en sont encore qu’au stade expérimental.
Nombre de ceux qui ont eu un zona disent que la douleur serait plus supportable si elle n’était pas continue. De fait, elle est présente jour et nuit, épuisant le malade tant mentalement que physiquement.
Quand la douleur devient particulièrement vive, le médecin peut décider de prescrire des analgésiques plus puissants pendant quelques jours malgré de possibles effets secondaires. Si le malade les supporte, des compresses humides froides peuvent avoir une action apaisante. L’application locale plusieurs fois par jour d’une crème contenant 1 % de sulfadiazine argentique procure parfois du soulagement. Ne touchez pas aux vésicules; ne les grattez pas et ne les recouvrez pas de bandages.
Les lésions guérissent peu à peu, mais beaucoup de malades n’en ont pas fini avec les souffrances; le zona leur porte en effet un second coup sous la forme de douleurs postzostériennes, particulièrement débilitantes pour les personnes âgées et les sujets immunodéprimés. Cette douleur cuisante et pulsatile est difficilement supportable. Pour la combattre, on recourt, dans certains cas, aux corticostéroïdes, mais les données médicales sont peu concluantes sur l’efficacité et l’innocuité de ces substances puissantes. Face à des douleurs persistantes, les médecins prescrivent parfois de l’amitriptyline, un antidépresseur, mais cette substance risque d’aggraver la situation, notamment en cas d’utilisation prolongée.
Curieusement, des résultats plutôt prometteurs en matière d’analgésie ont été obtenus avec une pommade contenant de la capsaïcine, une substance extraite du poivron rouge utilisé pour faire de la poudre de piment. On ne peut toutefois l’appliquer qu’après cicatrisation des vésicules. Atteinte d’un zona particulièrement douloureux, une malade a trouvé du soulagement grâce à un appareil d’électrostimulation transcutanée qu’elle a porté jour et nuit pendant plusieurs semaines. Les légères décharges électriques masquaient l’intense douleur interne et la laissaient libre de ses mouvements.
Il existe également une longue liste de remèdes de famille, dont la plupart ont trait au régime alimentaire (pauvre en arginine) et à l’apport de compléments (vitamines B et C, L-lysine). Certaines personnes louent les vertus de l’application locale de vinaigre de cidre; d’autres font confiance à la vitamine E pour accélérer la cicatrisation des pustules.
Que le zona vous frappe, et il serait étonnant que vos amis ne vous proposent pas spontanément leurs remèdes favoris. Il en est d’utiles et d’autres non. Quoi qu’il en soit, ces intentions peuvent être comme un baume sur vos souffrances: elles vous montrent que vos amis se soucient de vous, et ce témoignage peut vous faire plus de bien que leurs remèdes.
Disons, en conclusion, que le patient et son médecin peuvent faire certaines choses pour limiter l’ampleur de la maladie et atténuer la douleur. Mais en déclarant: “Cela ressemble à un zona”, peut-être votre médecin veut-il vous faire comprendre que le mieux à faire est de vous armer de patience et d’endurance en attendant que les moyens de défense dont le Créateur a dotés notre organisme viennent à bout de la maladie.
RV:1994/2/4/

[Contenu sponsorisé]