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La Bible n’est pas une fiction « Parole d’archéologues »

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Message  Invité Dim 27 Juil 2014 - 15:42


Interview avec le bibliste Simone Venturini,  Chercheur des Archives Secrets  du Vatican et professeur  di Exégèse du Pentateuque a la Pontificale Université de la Sainte Croix, écrivain du «   Les Fouilles récentes confirment l’historicité des Saintes Ecritures »  et le cas du sceau de 2700 ans mentionnant Bethléem.
Des archéologues israéliens ont découvert un sceau portant la portant la plus ancienne mention de Bethléem jamais trouvée, remontant à 2700 ans. « La Bible parle de Bethléem, maintenant nous avons la preuve que cette ville existait bien à cette époque là » à déclaré Eli Shukron, archéologue de l’Autorité israélienne pour les antiquités
Le sceau de la grandeur d’un
Centimètre et demi, a été trouvé dans la soi-disant Cité de David, un grand site archéologique à l’extérieur des murs de Jérusalem, où on retient que le roi avait construit son palais.
Vatican Insider à interrogé Simone Venturini, auteur entre autre du “Livre secret de Jésus” (Newton Compton)

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Professeur Venturini, quels effets à cette découverte en rapport à la ville natal de Jésus ?

« Il est facile pour celui qui est habitué a déduire l’historicité de la Sainte Bible, trouver des arguments pour dire que telle ou telle autre cité relatée dans la Bible en réalité n’a jamais existée. Surtout en Italie, où la presse est à jour sur tel sport ou tel autre, mais peut ou rien de sur le livre qui est le fondement de la civilisation européenne, la Sainte Bible. C’était le cas pour la ville de Nazareth. Jusqu’à quelques années, aucune preuve de son existence qui fut antérieure au III sec. de N.E, mais depuis 2009, l’archéologue Yardenna Alexandre démontra de façon irréfutable d’avoir reporter a la lumière du jour le restes d’une modeste habitation, datant du premier siècle, l’époque de Jésus.
La découverte faite pendant les fouilles archéologiques près l’aire du Jérusalem National Park, est autant importante. Le sceau servant probablement pour l’envoie des payements des impôts dues par la cité de Bethléem au roi de Juda, est daté autour du huit –septième siècle a.C .Le sceau porte l’inscription en hébreux « l’shvat-bat-lechem- (l’mele)ch ».Cette inscription nous fournit notices essentielles de l’envoie au roi qui gouvernait le royaume du sud, la Judée.
Pour la première fois le nom de la cité de Bethléem apparait aussi hors les pages de la Bible.
Il est évident qu’à ce point est difficile douter de l’existence de la cité dans la quelle naquit Jésus, qui apparemment la cité existait au moins huit cent ans avant sa naissance ».
Pendant ce temps, l’archéologie continue de confirmer l’historicité et la fiabilité des saintes Ecritures.
Le cas plus récent est celui de l’équipe d’archéologues guidés par le professeur Yosef Garfinkel de l’Institut d’Archéologie de l’Université hébraïque de Jérusalem, qui pendant les fouilles a Khirbet Qeiyafa, une ville à l’Ouest de Jérusalem adjacente à la vallée d’Elah, ont découvert des assemblages riches en céramiques, pierres, ustensiles en métal et objet de culte.
On a aussi porté à la lumière, trois grandes pièces qui servaient de sanctuaire de culte. »
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De quelle façon cette découverte de nouvelles pièces datant de l’époque davidique renforce Bible ?
Cela concerne une découverte archéologique toute récente, effectué à environ 30 kilomètres sud-est de Jérusalem. Pendant les recherches du professeur Yosef Garfinkel cité plus haut, ont été mis au jour des pièces qui pourraient révolutionner les études actuelles des Saintes Ecritures.
Dans la dernière décennie, beaucoup de biblistes doutèrent avec force qu’avant l’huitième siècle de notre ère, qu’il existât un véritable royaume d’Israël organisé et socialement  bien structuré.

Les restes de Kirbet Qeiyafa, datés au carbone 14 entre le onzième et dixième siècle avant notre ère démontrent au contraire qu’au temps de David et Salomon son fils, existaient des cités fortifiés, socialement structurées comme écrit plus haut, prouvant qu’il s’agissait d’un royaume solide et stable. Ce n’est pas tout, le fait qu’on n’ait pas trouvé des ossements d’origine porcine ou images sculptées représentant divinités diverses, démontrent que l’origine du culte monothéiste en Israël soit plus ancien de ce que les érudits soient disposés d’admettre. Enfin, même les lois imposant des règles alimentaires (cfr Levitique 11 :7) ne représenteraient pas un développement tardif d’une antique et moins restrictive alimentation.
En définitive, la Bible n’est pas un livre de fiction. »
En quoi la description de ces lieux corresponde a ceux presents dans les pages sacrées de la Bible pendant le regne du roi David ?
«  Les découvertes de Khirbet Qeiyafa nous aident a comprendre un peu mieux les particularités architectoniques sophistiquées du temple de Jérusalem. Avant que le professeur Garfinkel ramène au jour les petits modelés de sanctuaires, remontant a environ une trentaine d’années avant la construction du temple de Salomon, on était obligés de supposer la physionomie de l’énigmatique description faite dans le premier livre des Rois (chapitres 6,7).
Maintenant, nous savons par exemple comment étaient faites ses colonnes et les caractéristiques de certains de ses ornements, ou bien après les études de Yardenna Alexandre, pouvons reconstruire une habitation de Nazareth remontant à l’époque de Jésus, une de celles dans la quelle probablement ont vécus Jésus, Joseph et Marie ».
En conclusion: L’archéologie est elle “une alliée” Ou “ennemie “ de la foi?
« L’archéologie est une allié de la foi dans le sens que nous donne une grande consistance dans nos rapports  avec Dieu. Ce n’est pas une idée qui pour le moins pour les chrétiens peut être élaborée a partir des modes et les exigences du moment. En réalité, la foi en un Dieu unique qui se révéla à l’homme a des racines extrêmement lointaines nous rappelant que la Bible est incontournable pour comprendre en profondeur le mystère de l’homme »

(http://vaticaninsider.lastampa.it) Pour ceux qui lisent l'italien

Traduction effectuée par votre serviteur

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Message  coquelicot Mer 5 Nov 2014 - 11:01

C’est à propos de la venue de Joseph en Égypte puis de l’arrivée et du séjour de toute la famille de Jacob dans ce pays que la Bible fournit les renseignements les plus détaillés sur l’Égypte. Les découvertes archéologiques démontrent que l’image qu’en donnent les Écritures est on ne peut plus fidèle et qu’elle n’aurait raisonnablement pas pu être présentée ainsi par un écrivain qui aurait vécu longtemps après les événements relatés . . Duncan, dans son livre New Light on Hebrew Origins (1936, p. 174), écrit-il à propos de l’auteur du récit concernant Joseph : “ Il fait un emploi exact des titres authentiques en usage à l’époque dont il parle, et là où il n’y a pas de terme hébreu équivalent, il adopte tout simplement le mot égyptien et le transcrit en hébreu. ” Les noms égyptiens, la fonction de gérant domestique de Potiphar confiée à Joseph, les maisons d’arrêt, les titres de “ chef des échansons ” et de “ chef des panetiers ”, l’importance que les Égyptiens accordaient aux rêves, l’habitude des boulangers (panetiers) égyptiens de porter les corbeilles de pain sur la tête (Gn 40:1, 2, 16, 17), la fonction de premier ministre et d’administrateur des vivres que le pharaon accorda à Joseph, la façon dont il l’investit de cette fonction, l’horreur que les gardiens de moutons inspiraient aux Égyptiens, la forte influence des magiciens à la cour égyptienne, l’installation des Israélites dans le pays de Goshèn, les coutumes funéraires des Égyptiens, toutes ces indications et bien d’autres contenues dans la Bible sont clairement corroborées par les découvertes archéologiques faites en Égypte. — Gn 39:1–47:27 ; 50:1-3.
À Karnak (l’ancienne Thèbes), au bord du Nil, une inscription gravée sur le mur sud d’un immense temple égyptien confirme que Shishaq (Sheshonq Ier) mena une campagne militaire en Palestine, comme le rapportent 1 Rois 14:25, 26 et 2 Chroniques 12:1-9. Le relief géant qui décrit ses victoires montre 156 prisonniers palestiniens enchaînés, chacun d’eux représentant une ville ou un village dont le nom est indiqué en hiéroglyphes. Parmi ces noms, on a identifié Rabbith (Jos 19:20), Taanak, Beth-Shéân et Meguiddo (où on a découvert un fragment d’une stèle ou d’une colonne portant une inscription de Shishaq) (Jos 17:11), Shounem (Jos 19:18), Rehob (Jos 19:28), Hapharaïm (Jos 19:19), Guibéôn (Jos 18:25), Beth-Horôn (Jos 21:22), Ayyalôn (Jos 21:24), Soko (Jos 15:35) et Arad (Jos 12:14). Dans cette liste des conquêtes du roi figure même le “ champ d’Abram ”, ce qui constitue la plus ancienne référence à Abraham dans les textes égyptiens. Dans cette région on a également découvert un monument de Mérneptah, fils de Ramsès II, qui comporte un hymne dans lequel apparaît le nom “ Israël ” pour la seule fois dans les textes égyptiens anciens.
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